Alléluia Hamdoulilah, Mazel Tov, Youpi, c'est la rentrée. Promis, on pleurera pas en se disant "A ce soir" à la porte de l'école. Promis, on
3 septembre 2012 1 03 /09 /septembre /2012 1838 Chouette, c’est la rentrée On va bien s’amuser ! Finis crabes et crustacés C'est la rentrée, Le sable des poches est tombé. Chouette, c’est la rentrée La maîtresse est bronzée ! Chouette, c’est la rentrée La classes est bien rangée; Zut, c’est la rentrée, Bientôt fini l’été ! Zut, c’est la rentrée Plus de grasses matinées ! Chouette, c’est la rentrée, J’ai de nouveaux souliers ! Zut, c’est la rentrée, J’ai un peu mal aux pieds ! Chouette, c'est la rentrée, L'école n'a pas déménagé, Chouette, c'est la rentrée, Voici venu le temps d'y retourner !
Cematin, papa est venu me chercher, juste après le lait-chocolat ! J'étais drôlement contente, mais maman était triste pasque je ne reviens que dans 15 jours !Je le sais qu'elle était triste pasque elle me l'a dit hier soir et puis elle a un peu pleuré aussi quand la voiture de papa a démarré.Elle ne s'arrêtait pas de vouloir me faire des bisoux..
Séparation difficile comment lui faire accepter l’école à 3 ans ? Dernière question posée le 29/11/2021 Bonjour, Mon fils de 3 ans est rentré en première section de maternelle en septembre. Il pleure tous les matins quand je dois partir et le laisser avec la maîtresse. De plus, le préparer le matin est très difficile. Il ne m’écoute pas, cherche à gagner du temps pour retarder l’habillement et pique des colères quand il n’arrive pas à se préparer alors que je lui propose mon aide et qu’il ne la veut pas ou à chaque fois que je l’habille ou lui mets ses chaussures et que j’ai mal mis quelque chose, il se met en colère et refuse tout, et tout cela en pleurant. Je n’arrive plus à garder mon calme et me fâche. Cela devient très difficile à gérer. La réponse de notre expert SALINIER Catherine, Dr, Pédiatre Pédiatre Ambulatoire & Past Présidente de l'AFPA Bonjour, Manifestement votre enfant n’est pas prêt pour cette séparation qu’est l’école et il est malheureux. Vous devez prendre en compte cette souffrance. Il vous faut tout prendre en compte comment était-il gardé avant ? Comment cela se passait-il ? Comment va-t-il dans sa relation avec vous en dehors de l’école ? Quels sont ses horaires d’école ? Garderie ou non ? Combien de temps lui donnez vous pour se préparer ? Comment se passent les soirées ? Avez-vous beaucoup de temps disponible pour lui, vous et son papa ? Pourriez-vous ne le mettre à l’école que le matin ? Avez-vous discuté avec la maîtresse ? Comment va-t-il quand vous avez disparu ? Comment est-il avec les autres enfants ? Allez-vous jusque dans la classe ? Vous montre-t-il ses réalisations dans sa classe ? Voilà autant de questions à se poser pour être sûrs de lui donner assez de temps, d’être bien disponible pour lui quand vous êtes ensemble. Le matin, bien sûr, préparez-vous bien avant pour n’avoir que lui à vous occuper. Prenez votre petit déjeuner calmement ensemble toute la famille si c’est possible sans agitation et sans Tv bien sûr, soyez près de lui pendant qu’il s’habille, profitez-en pour faire son lit et ranger sa chambre. Le temps doit être lent, quitte à le réveiller 15 minutes plus tôt. Racontez-lui ce que vous allez faire de votre journée, vous, son papa etc… Racontez-lui ce que vous ferez ensemble le soir. Parlez-lui de sa maîtresse, de ses amis. Bref soyez très présente et apaisante, plutôt que pressée et impatiente. Si toute cette réflexion et tous ces aménagements n’améliorent pas la situation c’est que votre enfant a un problème avec la séparation, et quelques entretiens avec un psychologue seraient utiles. Mais pas avant une sérieuse analyse du mode de vie et du démarrage de la journée. Toutes les question sur ce thème Mon enfant pleure depuis peu quand je le dépose à l’école il y a 9 mois La réponse de notre expert Bonjour Madame, C’est sûr que l’école à 2 ans et demi, surtout quand on n’a pas été en crèche, c’est... Bonjour Mon petit garçon a fait sa rentrée en septembre. Il avait 2 ans et demi. Cela s’est super bien passé. Depuis septembre il prenait plaisir à aller l’école. Il demandait même à y aller. Et depuis quelques jours changement radical. Il pleure tous les jours le matin quand je le dépose à l’école. La maîtresse m’a dit que ça durait 5 mn et après la matinée se passe bien. Mais je me posais la question pourquoi un changement aussi soudain ? Cela me fait mal au cœur à chaque fois. Je l’ai gardé avec moi jusqu’à ses deux ans et demi. Pas de crèche pas de nounou. Merci pour votre réponse. Bonjour Madame, C’est sûr que l’école à 2 ans et demi, surtout quand on n’a pas été en crèche, c’est un peu difficile …. On est bien petit à cet âge ! Alors au début c’est amusant et quand on est en forme c’est agréable et puis, de temps en temps, quand on grandit, quand on est moins en forme, quand il y a eu l’interruption de vacances, quand on se rend compte un peu que c’est “pour toujours” il y a des moments difficiles. Cela peut-être difficile aussi si un copain n’a pas été gentil ou … ou … ou …. allez savoir . L’essentiel est que la maitresse vous dit que tout va bien tout le reste de la journée. Bien sûr que cela fait mal au cœur je vous comprends bien mais … c’est la vie. Il vous faut l’aider du mieux possible. Trouvez des petites astuces en rituel de séparation un bisou dans la poche du pantalon, un petit caillou à toucher pour penser à maman… un bisou de rouge à lèvre dans la main qui dure jusqu’au soir …etc … Votre enfant doit se sentir compris mais en même temps vous devez lui montrer que vous avez confiance en lui et qu’il va “gagner la bagarre sur sa tristesse”. Surtout gardez le contact avec la maitresse et l’Atsem pour qu’elles l’accueillent de façon plus étroite en ce moment. Je suis sûre que tout va s’arranger Bonne chance Mon fils de 3 ans refuse d’aller à l’école. il y a 10 mois La réponse de notre expert Bonjour Madame, Un petit garçon de 3 ans est absolument incapable de comprendre qu’on va à école pou... Bonjour, Mon fils de 3 ans et demi ne veut pas aller à l’école. Il faut savoir qu’il n’a jamais été en crèche, il a été gardé par ses grands-parents paternels. A 2 ans et demi nous avons d’abord débuté avec des demi-journées pour qu’il commence en douceur. Mais avec le covid et comme il était souvent malade il n’a pas pu s’y rendre de manière régulière. Donc il pleurait beaucoup dès le matin au réveil, il refusait de s’habiller, de manger, et à l’école pareil. Lorsque je le laissais, il pleurait beaucoup. Ensuite sa maitresse disait qu’il s’arrêtait et qu’il jouait et que c’était un enfant chouette en classe quand il le veut bien. Cette année-ci à partir de septembre je l’ai changé d’école, mais c’est la même chose, sauf que cette fois-ci nous avons décidé de le laisser des journées entières pour qu’il prenne plus ses marques car on s’est dit que peut-être avec des demi-journées, ce n’était pas suffisant. La différence aussi c’est qu’il dit qu’il aime bien sa maitresse et qu’il y a beaucoup de jeux amusants. Mais les pleurs ne cessent pas. Donc maintenant ce sont des pleurs le matin, et parfois même en journée à l’école. Il dit toujours qu’il ne veut pas aller à l’école mais qu’en fait il va au travail comme maman et papa. Donc on lui explique que pour pouvoir aller travailler il faut d’abord aller à l’école pour apprendre et avoir un travail qu’on aime plus tard. Il ne mange rien toute la journée, le matin à la maison il prend juste un verre de lait. Et à l’école il ne boit rien et ne mange rien, pas une miette. Je pense aussi qu’il fait juste pipi mais pas ses grands besoins à l’école. Car dès qu’il rentre à la maison il fait ses grands besoins. Je remarque donc qu’il a une grande perte d’appétit car même une fois rentré à la maison et les week-ends, il ne veut rien manger. Donc il est très souvent malade. Mais je pense quelque part que ça l’arrange, comme ça il ne va pas à l’école. De plus il dit toujours qu’il ne joue qu’avec les filles de sa classe et pas les garçons. Je sais que la séparation est difficile car nous avons une relation très fusionnelle tous les deux. Depuis bébé il a toujours eu du mal à s’endormir, je devais toujours le bercer dans mes bras pour qu’il s’endorme jusqu’au jour ou j’étais épuisée et ou il a fini par dormir dans mon lit avec son papa. Aujourd’hui j’ai encore du mal à le retourner dans sa chambre. Mais son endormissement est un calvaire, il lui faut entre 1h et 1h30 pour s’endormir, c’est vraiment épuisant. Pourtant il ne fait pas de sieste à l’école. Je tiens à préciser aussi qu’il a un petit frère de 16 mois. Ils sont très complices tous les deux. Mon petit de 16 mois est lui aussi gardé par ses grands-parents actuellement. Donc il se pourrait qu’il y ait une petite jalousie vis-à -vis de ça, je ne sais pas. Bonjour Madame, Un petit garçon de 3 ans est absolument incapable de comprendre qu’on va à école pour avoir un métier plaisant… Il se trouve que, actuellement, en France, on va à l’école à 3 ans parce que c’est obligatoire sauf à faire l’école à la maison. Donc tout va bien, on n’a pas de question à se poser ni d’explications compliquées et incompréhensibles pour lui, à lui donner. En ce qui concerne votre enfant et tout ce que vous me racontez de ses difficultés de sommeil depuis toujours et la façon dont vous dites “nous sommes fusionnels tous les deux” il me semble que la question est bien plus d’angoisse de séparation chez votre fils et sans doute chez vous-même aussi et que c’est cela qu’il faut prendre en compte et non l’école en elle-même. Le type d’attachement de votre enfant, la relation entre lui et vous fusion, difficultés de séparation, anxiété sont suffisamment anciens pour que je vous conseille quelques entretiens psychologiques pour rectifier dès à présent la trajectoire de son développement psychoaffectif vers plus de sécurité interne et éviter qu’il se construise ainsi dans l’anxiété. Mais encore une fois, l’école n’y est pour rien, sauf à être un révélateur de sa fragilité psychique actuelle, qu’il faut consolider. Bon courage à ce petit bonhomme bien malheureux qu’il faut aider. Ma fille ne veut pas aller à l’école et pleure quand je la depose il y a 2 ans La réponse de notre expert Bonjour Madame, A vous lire je vois que cette petite fille bénéficie de beaucoup de votre attention ... Bonjour, Ma fille de 3 ans pleure chaque matin devant l’école. Avant cela, elle a été 4 jours par semaine à la crèche. Nous savons qu’elle a besoin de temps pour s’adapter, plus qu’un autre enfant car tout changement est compliqué pour elle. Mais aujourd’hui je ne sais plus comment réagir face à ses pleurs. La maîtresse me disait ce matin que depuis le retour de vacances elle pleure même en journée en disant qu’elle veut sa maman. C’est une petite fille très dynamique, curieuse, et cherchant sans cesse à être stimulée. Ce qui la passionne en ce moment par exemple, c’est d’apprendre à compter, écrire les lettres de l’alphabet. En rentrant de l’école, elle récite, chante et joue à la maîtresse. A midi, elle mange au périscolaire mais là aussi, elle ne veut pas y aller. Elle a toujours eu des problèmes d endormissement car elle n’arrive pas à lâcher prise. Elle se pose beaucoup de questions. Je précise également que je suis pour le moment en congé parental et vais reprendre le travail d’ici 2 semaines. Sa petite sœur, quant à elle, démarre la crèche la semaine prochaine démarrage décalé pour cause de cas covid. Merci d’avance pour votre réponse. Bonjour Madame, A vous lire je vois que cette petite fille bénéficie de beaucoup de votre attention et de beaucoup de vos attentes. Ce n’est pas banal un enfant de 3 ans qui demande à compter et écrire les lettres de l’alphabet. Cela veut dire qu’elle est vive et curieuse. C’est vrai et aussi que vous la “nourrissez” de toutes ces connaissances ce qui est bien mais demande une attention soutenue de votre part tout à fait légitime et bénéfique à la maison. Mais elle ne retrouve pas forcément cette attention spécifique à l’école où l’attention de la maitresse doit être diluée de fait entre tous les enfants. Pourtant votre enfant a eu l’habitude du groupe à la crèche. Je note que votre enfant a été confrontée à l’arrivée de sa petite soeur et aussi au fait que vous êtes à la maison avec le bébé alors qu’elle doit aller à l’école et je me pose la question si cet état de fait n’est pas la cause principale de son refus de l’école. Il vous reste 15 jours de congé parental. Je sais bien que l’école est obligatoire maintenant mais je propose que vous voyiez avec la maitresse si pendant les 2 semaines qui vous restent de congé vous ne pourriez pas ne la mettre que le matin. Je lis aussi que c’est une petite fille qui a toujours eu des problèmes de sommeil et vous dites qu’elle ne peut pas lâcher prise mais je lis moi qu’elle ne peut pas … vous lâcher … ni pour dormir depuis toujours ni pour aller à l’école maintenant. Votre petite fille a probablement une angoisse de séparation dont il faudrait s’occuper avec l’aide d’une psychologue bien habitué aux enfants. Ces séances seraient aussi tournées vers vous dans votre charge d’anxiété en général, dans votre attachement et vos attentes vis à vis de votre enfant. Tout cela n’est pas grave mais c’est vrai qu’il vaut mieux s’en occuper maintenant que de laisser cette enfant en difficulté. Pourquoi mon enfant de 3 ans pleure au moment de le laisser à l’école ? il y a 2 ans La réponse de notre expert Bonjour Madame, On ne peut pas éviter la tristesse de la séparation à un enfant… Ni à un adulte non ... Bonjour, Avant la rentrée, mon enfant était chez une assistante maternelle avec son frère qui a 5 ans et demi avec qui ça se passait très bien, elle était formidable. Lui avait qu’une envie c’était d’aller à l’école comme son frère, il allait même faire des bisous à sa maîtresse actuelle. Moi, la maman, je viens tous les soirs le chercher à l’école et le matin, mamie, de temps en temps papa car il est en déplacement toutes les semaines pendant 3 jours. Il est dans la période je ne vois que par mon papa. Au moment de le laisser à l’école que ce soit maman ou papa, les pleurs, rien avec mamie mais c’est pas la joie quand même. Après très bien d’après la maîtresse, par contre chaque changement de classe ou cantine, des pleurs. Et le soir il est content de nous raconter “a moi est pleins de copains, j’ai fait du bricolage et j’ai fait ça…” que faire pour éviter cette tristesse ? Bonjour Madame, On ne peut pas éviter la tristesse de la séparation à un enfant… Ni à un adulte non plus votre tristesse de le voir pleurer. Tout n’est pas toujours merveilleux dans la vie et il faut bien accepter les moments difficiles… Par contre on peut très bien apprendre à accepter cette tristesse et ainsi lutter contre elle. Il faut retenir que dès que vous êtes partis votre enfant va bien et qu’avec la maitresse tout se passe bien. Le fait qu’il pleure moins avec Mamie est tout à fait logique car il n’est pas attaché à Mamie comme il est attaché à vous et la séparation d’avec Mamie est plus facile puisque ” l’attache ” est plus lâche si je puis dire. Il est logique que tout changement de lieu entraîne encore cet effort de se détacher de la sécurité du lieu précédent et l’angoisse de partir vers “inconnu” même si la cantine est déjà connue c’est une petite rupture d’avec la classe. Alors voila, tout cela est bien fréquent ces difficultés d’adaptation à l’école prenez le avec compréhension mais légèreté. C’est en étant vous même calmes et sereins que vous le rassurerez le mieux et lui donnerez la force de se séparer… Bonne courage à ce petit bonhomme et à vous ! Ma fille de 5 ans pleure tous les jours pour ne pas aller a l’école que faire ? il y a 2 ans La réponse de notre expert Bonjour Madame, Vous ne me parlez pas du caractère de votre enfant en dehors de cette question de l’... Bonjour, Ma fille de 5 ans pleure tous les jours même le week-end et me dit qu’elle ne veut pas aller a l’école. Les raisons varient. La maitresse est trop sévère, elle n’aime pas la cantine, elle a peur que je vienne en retard pour la sortie de l’école, elle est fatiguée. Il faut savoir que depuis qu’elle est en crèche 5 mois elle pleure pour ne pas y aller. Avec mon mari nous avons essayé plusieurs moyens pour prendre en charge son chagrin. On en parle avec elle, lui expliquant que jamais on ne n’oublierai a l’école, que l’école est une chance d’apprendre et de se faire pleins de copains, que chaque soir nous seront là . Que nous l’aimons et que nous allons tous ensemble trouver une solution pour qu’elle aime aller à l’école. Mais cela devient de plus en plus compliqué pour son papa et moi, mais également pour sa sœur de 9 ans. Je ni arrive plus et me sens démunie. Bonjour Madame, Vous ne me parlez pas du caractère de votre enfant en dehors de cette question de l’école. Vous ne me dites rien de son comportement à l’école une fois qu’elle y est. Vous ne me dites pas non plus si effectivement elle a des copains à l’école et si vous le voyez à l’extérieur avec leurs parents. Vous ne me parlez pas de son sommeil, de son endormissement, de sa facilité ou non à aller chez ses grands-parents, à y dormir. Vous ne me dites pas comment elle est en famille quand il ne s’agit pas de l’école, ni comment elle est avec sa sœur. Vous ne me dites pas ce que dit la maitresse de votre enfant et ce qu’elle pense mettre en place pour aider votre enfant… Je vous dit tout cela pour vous montrer qu’il n’existe pas de réponse stéréotypée à votre question pour quelqu’un comme moi qui ne sait rien d’autre de votre famille ni de votre enfant. Vous comprenez bien qu’il peut s’agir d’une angoisse de séparation globale, ce qui est très probable puisque dès la crèche elle a eu ces difficultés. Une angoisse de séparation qui dure doit être traitée par une psychothérapie. Lela psychologue clinicien prendra en compte toute l’histoire de cette enfant, votre histoire aussi à vous, les parents, et vos propres angoisses de séparation éventuelles. Ilelle prendra en compte tout le comportement global de votre enfant et son caractère. Il elle aidera votre enfant à vaincre cette appréhension de la séparation d’avec vous. Vous pouvez en plus de cela avoir un entretien vous les deux parents et votre enfant avec la maitresse et la psychologue scolaire qui peut elle aussi intervenir auprès de votre enfant dans le cadre de la classe. Mais, vous avez raison, il n’est pas raisonnable de laisser cette enfant plus longtemps avec ce souci. Il convient de l’aider au-delà de votre propre aide de parents dont je vois qu’elle est déjà très importante. Ma fille de 3 ans et demi pleure avant d’aller à l’école et ne veut pas y aller, que faire ? il y a 2 ans La réponse de notre expert Bonjour Madame, Pour beaucoup d’enfant cette rentrée à 3 ans est difficile. Mais effectivement comme... Bonjour, Ma fille de 3 ans et demi qui est en moyenne section pleure tous les matins lorsque son père la dépose à 8h20 à l’école. Avec le protocole sanitaire nous devons attendre devant la grille et là elle se met dans un état de pleurs et quand arrive son tour d’entrer, elle se met à pleurer à gros sanglots en disant ” je t’aime papa, je t’aime maman” plusieurs fois. Elle dit ne pas vouloir aller à l’école. Par contre, quand je la dépose à la garderie le matin, cela se passe mieux. Nous avons essayé de jouer avec elle avant, de la rassurer, d’établir un rituel de la journée, lui expliquer ce qu’elle va faire, qu’elle retrouvera ses copines, et que nous comprenons que cela n’est pas facile pour elle d’être sans nous la journée, que c’était normal, mais rien n’y fait. Elle n’arrive pas à faire face à ce trop plein d’émotions. Bonjour Madame, Pour beaucoup d’enfant cette rentrée à 3 ans est difficile. Mais effectivement comme vous le dites ils n’ont pas le choix. Alors même que dans beaucoup de pays l’école maternelle n’existe même pas… Mais nous sommes en France. Les deux parents travaillent et tous les enfants ou presque vont à l’école pré-élémentaire. Je sens que vous êtes beaucoup dans l’empathie avec votre petite fille et prenez beaucoup en compte ses difficultés pour la rassurer. C’est bien. C’est très bien. Mais au bout d’un moment il faut un peu de légèreté. Je veux dire que trop de compassion parfois augmente l’angoisse de l’enfant car il sent finalement la même angoisse chez le parent, ou pire de la culpabilité d’ être obligé de faire vivre cela à l’enfant. Alors même que vous n’avez aucune culpabilité à avoir puisque vous même n’avez pas le choix. Il conviendrait donc que vous mêmes acceptiez cet état de fait avec calme, fatalité et raison pour être sans doute plus rassurant pour votre enfant. Si elle a tant besoin de dire “je t’aime, je t’aime” c’est sans doute que vous aussi le lui dites beaucoup. Or elle le sait que vous l’aimez, la question n’est pas là . La question est “je sais que tu préfèrerais être avec moi et moi aussi je préfèrerais être avec toi mais je dois aller travailler c’est obligé, c’est comme ça alors on va tous se donner du courage et hop file avec tes copines”. D’un point de vue très pratique regardez si vous ne pouvez pas la mettre à l’école que le matin pendant quelque temps grand-parents ? Ancienne nounou ?. Confiez la spécifiquement à l’ATSEM qui a bien l’habitude de cette problématique. Demandez-lui de venir chercher les enfants au portail ce serait très bien. En général ces difficultés ne dépassent pas les vacances de la Toussaint. Si cela persiste, si vraiment c’est trop difficile, que votre enfant reste prostrée ou pleure longtemps après votre départ, qu’elle ne participe pas de la journée à la vie de la classe et/ou qu’elle présente d’autres signes d’angoisse de séparation ou d’anxiété globale dans d’autres circonstances que l’école alors oui il conviendrait de vous rapprocher d’un psychologue pour enfant. Mais il semblerait que ce ne soit pas le cas. Bon courage à vous tous et hauts les cœurs ! Difficulté de séparation pour l’école, que faire ? il y a 4 ans La réponse de notre expert Bonjour, A deux ans et demi, c’est normal que votre petit garçon ait encore des difficultés pour se ... Bonjour, Mon enfant de 2 ans et demi a fait sa première rentrée dans une école privée en novembre. La première semaine d’adaptation, tout a été très facile. Seul le lundi il a pleuré et je suis restée avec lui dans la classe pendant une 1/2h et dès le mardi il ne pleure plus. Lors de la 2ème semaine d’école, les choses ont changé des pleurs et des cris au moment de la séparation. Je lui parle beaucoup en lui disant qu’il a de la chance d’aller dans une si belle école, qu’il va apprendre plein de choses… Je sais que c’est difficile pour lui, mais cela l’est pour moi aussi. J’ai de la peine de le voir pleurer tous les matins en me disant qu’il ne veut pas aller à l’école. Je précise que j’ai parlé avec les deux éducatrices de sa classe et avec la directrice de l’école, qui m’ont assuré que une fois partie tout rentre dans l’ordre et la journée se passe bien. En revanche il ne veut pas manger son goûter, ni faire la sieste. Je me pose beaucoup de questions, notamment si j’ai fait le bon choix. Bonjour, A deux ans et demi, c’est normal que votre petit garçon ait encore des difficultés pour se séparer de vous. Il est encore très petit ! Et sa façon de vous le dire est de crier et pleurer, c’est de bonne guerre ! Mais après, il s’amuse et profite bien de tout ce que l’école lui apporte. C’est habituel que la première semaine se passe bien car ils sont contents de découvrir la classe, mais quand ils se rendent compte qu’ils doivent y aller tous les jours, c’est plus compliqué. Si vous avez bien confiance dans cette petite école, tout devrait rentrer dans l’ordre, c’est parfois un peu long, il faut que la maîtresse l’aide un peu au moment de rentrer en classe. La seule question que l’on peut se poser est de savoir si les journées ne sont pas trop longues pour lui, mais si vous n’avez pas d’autre solution expliquez-lui pourquoi éventuellement, emmenez-le une fois à votre travail qu’il comprenne que vous ne rentrez pas à la maison en l’abandonnant » !!! . Et profitez bien du temps que vous passez avec lui le soir et le week-end, sans penser que le matin est un peu difficile. Pleure avant d’aller à l’école à 3 ans et demi, que faire ? il y a 5 ans La réponse de notre expert Bonjour, Je ne crois pas que votre fils s’ennuie déjà à l’école. Il y a tant de choses à découvrir m... Bonjour, Hugo, mon fils de 3,5 ans, pleure dès le réveil pour ne pas aller à l’école. Il dit je m’ennuie c’est trop nul il y a trop de bruit. Je veux aller chez la nounou avec mon frère ». Pourtant, le soir à la garderie il adore l’école. De même, il est habitué à être en collectivité depuis son plus jeune âge nounou, RAM... C’est un enfant qui n’est pas manuel ça ne l’intéresse pas. Cependant, il adore les livres, les puzzles, apprendre les formes géométriques, les lettres, les chiffres et veut apprendre à lire car il peut rester plus d’une heure à feuilleter des livres. Il aime aussi le sport. Que lui dire ? Va-t-il prendre en grippe l’école ou pas forcément ? Bonjour, Je ne crois pas que votre fils s’ennuie déjà à l’école. Il y a tant de choses à découvrir même quand on est un petit garçon vif et intelligent ce qui semble être le cas. Mais aller à l’école est une étape toujours difficile et très différente de la crèche. Il y a une seule maîtresse pour 25 ou 30 enfants avec seulement une aide ponctuelle et il faut donc peu à peu acquérir une certaine autonomie et accepter les règles de la collectivité. Et c’est vrai que l’école est très bruyante surtout à la cantine et aux récréations. A 3 ans, c’est normal, il essaye de résister aux changements et de vous attendrir en pleurant le matin. Ça devrait passer en quelques semaines, peut être que ce sera moins difficile si c’est son papa qui l’emmène de temps en temps entre hommes, en grand ». Et quelle chance qu’il s’intéresse aux livres ! Parlez-en a la maîtresse, elle peut valoriser cette qualité, d’ailleurs, c’est bien de faire le point avec la maîtresse peu après la rentrée. Mais ne commencez pas à lui apprendre à lire, il est beaucoup trop petit et s’il a un peu de mal avec cette rentrée, ça veut bien dire qu’il a encore un peu envie d’être un bébé, d’autant qu’un peu de jalousie vis à vis de son frère réapparaît à cette occasion. Ma fille de 3 ans ne veut pas aller à l’école, que puis-je y faire ? il y a 7 ans La réponse de notre expert Bonjour, Vous pouvez l’aider en ayant confiance en elle, et en la maîtresse, et l’ATSEM qui manifest... Bonjour, Ma fille aura 3 ans le 16 décembre, elle est entrée à l’école maternelle en septembre. Sa classe regroupe les 3 sections de maternelle, et Lola est la plus jeune de la classe. Lola est une petite fille très calme, qui fait quelques caprices depuis son entrée à l’école, mais rien de bien méchant. Lorsque je la dépose à l’école le matin, la séparation est assez dure, il arrive qu’elle pleure un peu au moment de mon départ. Quand je la regarde depuis la fenêtre, je remarque que souvent sa maîtresse va lui chercher son doudou et sa tétine qui reste normalement dans le sac pour la sieste, elle la prend parfois sur ses genou ou lui fait un câlin. J’ai surtout remarqué que ma fille ne va pas jouer avec les autres enfants, elle se balade dans la classe et les observe calmement. L’atsem m’a même dit que parfois, elle reste dans la classe avec elle à jouer pendant que les autres sont en récréation. J’ai peur qu’elle se renferme sur elle-même, je ne sais pas comment l’aider ? Bonjour, Vous pouvez l’aider en ayant confiance en elle, et en la maîtresse, et l’ATSEM qui manifestement sont d’une très grande bienveillance à son égard. Vous devez aussi avoir confiance POUR elle et le fait que vous la regardiez ainsi depuis l’extérieur de l’école semble montrer que vous aussi avez beaucoup de mal à cette séparation ce qui ne donne pas beaucoup de courage à votre petite fille qui le sent confusément. Tous les enfants ont ainsi du mal au début de la scolarité et le manifestent plus ou moins et tous s’adaptent au fil du temps pour leur plus grande joie au final. Je trouve que l’attitude de votre petite fille si elle interpelle un peu n’est pas pour autant une attitude de vraie détresse comme certains peuvent exprimer. Surtout si elle participe bien aux activités et si, à la maison, elle garde toute sa joie de vivre et de jouer et de dormir. Est-ce sa première séparation ? Allait-elle à la crèche ou chez une nounou ? L’avez-vous confiée déjà par exemple à ses grands parents ? La séparation est un apprentissage et elle s’apprivoise doucement. Savoir se séparer est essentiel sinon on ne peut pas grandir et apprendre ce qu’il faut pour être grand école. Votre petite fille a un peu de mal mais vraiment je ne vois rien de très inquiétant là … Pour l’aider, calmez vos propres angoisses ! Dites-vous qu’elle doit maintenant aller seule c’est relatif vers le vaste monde et que l’école maternelle n’est que la première étape. Aidez-la à affronter ce monde en ayant confiance vous-même, en lui montrant toutes les choses intéressantes qu’elle y fait, en lui racontant ce que vous faites quand elle n’est pas là , en ayant un lien détendu avec la maîtresse. Le matin mettez plein de bisous magiques dans ses mains pour qu’elle en ait pour la journée. Et laissez la vivre sa vie un peu loin de vous… Comment gérer les angoisses à l’école de ma fille de 4 ans ? il y a 7 ans La réponse de notre expert Bonjour, Votre petite fille présente manifestement des signes d’anxiété de séparation. Cela dure dep... Bonjour, Lin a 4 ans et est en moyenne section de maternelle. Depuis qu’elle y va, elle n’a jamais aimé l’école. Elle y va car elle y est obligée, ne nous a jamais fait de crises quand on la déposait l’année dernière mais elle n’est jamais contente d’y aller. La maîtresse nous a décrit une petite fille très timide et réservée et plutôt solitaire. Si on ne vient pas vers elle, ce n’est pas elle qui fait le premier pas. Alors qu’à la maison elle est pleine de vie, pipelette et joue beaucoup avec son frère qui a juste un an de moins qu’elle. Cette année il a fait sa rentrée à l’école également et pour Lin nous avons l’impression que cela est encore plus dur cette année. Elle stresse beaucoup, a toujours mal au ventre, envie de vomir les dimanches soirs ou retour de vacances. Après les vacances de Toussaint, elle a passé une semaine de nuits agitées pendant lesquelles elle gémit, crie dans son sommeil. Elle est très malheureuse de voir que son frère joue avec d’autres enfants. Quelles sont les solutions pour qu’elle se détache de cet attachement toxique » qui l’empêche d’aller vers les autres enfants ? Bonjour, Votre petite fille présente manifestement des signes d’anxiété de séparation. Cela dure depuis longtemps déjà l’an dernier et cela s’intensifie puisque maintenant elle en éprouve des symptômes physiques douleurs abdominales, nausées. Vous la sentez très malheureuse, il faut donc lui venir en aide. Et donc consulter avec elle un psychologue pour enfant. D’une part elle est malheureuse ce qui n’est pas acceptable mais de plus elle est malheureuse à l’école ce qui lui fait considérer l’école et ce qui va avec les apprentissages et les relations aux autres comme quelque chose qui rend malheureux. Il ne faut pas laisser ce ressenti d’installer, il pourrait impacter longtemps sa scolarité et ses relations sociales. Son médecin saura probablement vous orienter. Ma fille de 4 ans fait des crises en arrivant à l’école, que faire ? il y a 7 ans La réponse de notre expert Bonjour, Pour se sentir bien à l’école et y aller avec plaisir il y a beaucoup d’éléments en cause. ... Bonjour, Ma fille de 4 ans était en petite section, de nombreuses fois elle m’a dit qu’elle s’ennuyait, qu’elle ne voyait pas l’intérêt de l’école. Elle pleurait avant de se coucher et parfois avant d’aller à l’école. Elle veut depuis 2 ans être chirurgien… Après plusieurs avis je lui ai fait passer des tests de QI,120, un petit peu en avance. La psychologue propose de la changer de classe, les maîtresses sont ok donc après les vacances d’avril elle a rejoint les moyens elle était aux anges… Sauf qu’au bout de deux jours à chaque fois qu’on l’emmène à l’école elle fait une crise. Avant ça durait 5 min et aujourd’hui on est à 30 min d’après les maîtresses car je lui fais un bisou lui dit à ce soir et la crise commence. Je ne reste pas, elle suit très bien en classe et le reste de la journée se passe bien. J’ai vu la maîtresse qui ne sait plus quoi faire quand je demande à ma fille elle me dit que c’est plus fort qu’elle. Il n’y a pas eu d’événement spécial, que faire ? Bonjour, Pour se sentir bien à l’école et y aller avec plaisir il y a beaucoup d’éléments en cause. Certes, avoir une intelligence normale est la garantie d’avoir les capacités intellectuelles de pouvoir faire les acquisitions, c’est effectivement ce que détermine le QI. Votre fille a un bon QI mais pas au point et heureusement de l’handicaper dans les apprentissages par ennui. En effet il faut aussi remplir d’autres conditions qui sont plus de l’ordre de la personnalité. Par exemple il faut ne pas craindre de vivre avec les autres, parfois de se frotter » à eux à la récréation la sociabilité en grand groupe, être capable de se séparer de sa maman sans en souffrir sans angoisse de séparation, avoir du plaisir aux activités joie de vivre, avoir confiance en soi et ne pas craindre l’erreur ou les petites remarques de la maîtresse estime de soi. C’est tout cela que détermine la psychologue qui propose de faire sauter une classe. En plus du QI c’est la maturité et la capacité d’adaptation qui sont importants. Je suppose, si on vous a fait cette proposition de changer votre enfant de classe, que la psychologue et la maîtresse ont évalué tout cela chez votre fille et l’ont trouvée suffisamment mature. J’imagine par ailleurs que votre petite fille a du trouver un peu difficile de changer de maîtresse et de camarades ainsi en cours d’année. C’est toujours difficile, alors à 4 ans… J’imagine aussi qu’elle a senti des préoccupations par rapport à sa scolarité. Que lui a-t-on dit pour justifier le test de QI ? Que lui a-t-on expliqué de son changement de classe ? Et, même si les explications ont été claires, qu’en a-t-elle, elle, vraiment compris ? Peut-être qu’elle a compris au fond d’elle même qu’elle avait un problème quelconque avec l’école, ou que sa maman s’inquiétait un peu de son adaptation à l’école et du coup, peut-être est-elle inquiète maintenant d’y aller. Bien sûr je ne formule là que des hypothèses mais c’est juste pour vous donner une piste de réflexion. Maintenant que c’est si difficile le matin j’imagine que vous devez être vous-même stressée de sa réaction et un vrai cercle vicieux se crée auquel la maîtresse participe aussi puisqu’elle même doit être gênée par 30 mn de pleurs. Je pense vraiment que vous devriez revoir la psychologue pour un petit parcours d’accompagnement de cette angoisse que manifeste votre petite fille. Elle vous aidera aussi à prendre un peu de distance par rapport à l’enjeu scolaire, elle décontractera un peu tout le monde. Mon fils de 3 ans ne veut plus aller à l’école, que faire ? il y a 8 ans La réponse de notre expert Bonjour, Cette difficulté de séparation est en effet assez fréquente en petite section maternelle. L... Bonjour, Mon fils de 3 ans ne veut plus aller à l’école, il pleure et hurle le matin pour ne pas y aller. La maîtresse me dit qu’il ne pleure pas la journée et que tout se passe bien. Quand je le récupère le soir il est heureux de sa journée. Comment puis-je l’aider à passer ce cap ? Le jour de la rentrée s’est très bien passé, il n’a pas pleuré. La semaine suivante la séparation le matin était un peu difficile, quelques pleurs et puis tout est rentré dans l’ordre. Depuis une semaine il refuse d’aller à l’école le matin, nous répétant sans cesse ”j’aime pas l’école”. La maîtresse me dit que tout se passe bien, qu’il a des copains et qu’il commence à faire des tentatives de petites bêtises dans la classe mais rien d’important. Quand je le récupère le soir il est heureux de sa journée et me raconte ses activités avec fierté, les prénoms de ses copains… En discutant avec lui il nous a dit qu’il aimait bien la classe mais pas la récréation, ou un autre jour qu’il n’aimait pas la cantine. Comment pouvons-nous l’aider à passer au dessus de ses angoisses ? Bonjour, Cette difficulté de séparation est en effet assez fréquente en petite section maternelle. Lisez des livres avec votre fils à ce sujet. Je peux vous recommander Prince Nino à la maternouille » ou Drôle de maman ». Demandez à votre mari de l’amener, ça se passe souvent mieux. Faites du covoiturage avec la maman d’un copain d’école et amenez les mecs à tours de rôle, à deux ils seront plus cool. Sinon donnez-vous rendez vous avec cette maman au parking et laissez-le pour partir rapidement poisson pilote. Ne lui montrez pas comment vous avez de la peine de le laisser. Il se sentira moins obligé de consoler sa maman et de lui montrer comment elle lui manque aussi. Évitez un au revoir » qui s’éternise, ne partez pas avec la boule au ventre à l’école. Faites-lui un bisou rapide et partez. Vous allez voir, ça se passera vite mieux. Vous ne trouvez pas de réponse à votre question ? Vous pouvez consulter les réponses déjà apportées par nos médecins à ce sujet en tapant votre question ou mots clés dans le moteur de recherche ci-dessous Toujours pas de réponse ? Posez votre question à l'un de nos experts qui vous répondra rapidement. Je pose ma question Bonjour, Nos pédiatres sont en vacances, la rubrique est fermée pour les congés d'été ! Nous vous retrouvons à partir du lundi 29 août à 09h. Pour tout ce qui concerne la santé de votre enfant, nous vous conseillons de prendre RDV directement avec le médecin de votre enfant. En cas d’urgence médicale, composez le 15. Très bon été ! L'équipe mpedia. Vous pouvez aussi être par Nous utilisons des cookies sur notre site Internet pour son bon fonctionnement et à des fins de mesure d'audience dans le but de vous offrir une expérience de visite améliorée et personnalisée. En cliquant sur Tout accepter », vous consentez à l'utilisation de tous les cookies placés sur notre site. En cliquant sur Tout refuser », seuls les cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site et à sa sécurité seront utilisés. 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NEPLEURE PAS MAMANMISTERJO DANSEMISTERJO.FR
Vu sur c'est la rentrée de sylvie poillevé poésie thème rentrée voici une petite vidéo qui t'aidera à Vu sur la rentrée ! vite, vite, il faut se presser. le réveil a déjà sonné ! un peu raplapla, toilette de chat. petit déjeuner, très vite avalé. cheveux en pétard,Vu sur entoure le titre de la poésie c'est la rentree c'est la rentrée c'est l'école. c'est la rentrée. ce n'est pas la rentrée. recopie les mots sous les images Vu sur la rentrée de sylvie poillevé vite, vite, il faut se presser, le réveil a déjà sonné ! chaussettes à l'envers… vite, vite, il faut se presser, c'est la rentrée !!!Vu sur la rentrée ce c'est la rentrée poésie cycle c'est la rentrée cartable nouveau, joli manteau. livres, cahiers et beau plumier cloche a sonné, un Vu sur va bien s'amuser ! zut, c'est la rentrée. plus de grasses matinées ! chouette, c'est la rentrée ! la maîtresse est bronzée ! zut, c'est la rentrée. bientôt fini l'été !Vu sur poillevé. poésie c'est la rentrée. rentrée un fanion pour se présenter. chez gomme et gribouillage plein d'exercices. retour au menu Vu sur c'est la rentrée finis crabes et crustacés. c'est la rentrée, le sable des poches est tombé. c'est la rentrée, la classe est sur c'est la rentrée. pleure pas maman. d'accord, je suis grand. mais pas assez. pour m'en aller. sans t'embrasser. d'ailleurs tu sais. je sur Les cookies nous permettent de personnaliser le contenu et les annonces, d'offrir des fonctionnalités relatives aux médias sociaux et d'analyser notre trafic. Nous partageons également des informations sur l'utilisation de notre site avec nos partenaires de médias sociaux, de publicité et d'analyse, qui peuvent combiner celles-ci avec d'autres informations que vous leur avez fournies ou qu'ils ont collectées lors de votre utilisation de leurs services. Vous consentez à nos cookies si vous continuez à utiliser notre site vos cookies
Lechangement avec la crèche c’est que nous ne savons rien de leur journée. Alors j’essaie de lui poser des questions mais j’ai rarement de réponses. La première semaine elle me disait « A la sieste moi « ja » pleuré « paque » je voulais Papa, Maman et Pablo ». Imaginez mon cœur de maman Mais à par ça l’école à vraiment l’air de lui plaire, elle me chante les
Résumé Détails Compatibilité Autres formats Retrouvez 16 histoires drôles et tendres de Nicolas et de son chouette tas de copains ! Les aventures du Petit Nicolas sont un chef d'œuvre de notre littérature imaginé par deux humoristes de génie René Goscinny et Jean-Jacques Sempé."Quand je serai grand, je m'achèterai une classe, rien que pour jouer dedans."Dans ce volume - On va rentrer- Les Invincibles- La cantine- Souvenirs doux et frais- La maison de Geoffroy- Excuses- 1611 - 1673- Le chouette lapin- L'anniversaire de Clotaire - Ça y est, on l'a ! - La leçon - La nouvelle - Clotaire déménage - Les barres - Bonbon - On ne nous a pas fait honte Lire plusexpand_more Titre La rentrée du Petit Nicolas EAN 9782365900867 Éditeur IMAV éditions Date de parution 03/10/2013 Format ePub Poids du fichier mb Protection Aucune L'ebook La rentrée du Petit Nicolas est au format ePub check_circle Cet ebook est compatible pour une lecture sur application iOs et Android Vivlio. check_circle Cet ebook est compatible pour une lecture sur My Vivlio. check_circle Cet ebook est compatible pour une lecture sur le lecteur Vivlio. check_circle Cet ebook est compatible pour une lecture sur liseuse. Je crée ma liste d’envies Vous devez être connectée pour pouvoir créer et sauvegarder votre liste d’envies cancel Déjà cliente ?Se connecter Pas encore inscrite ?Mon compte Un compte vous permettra en un clin d’oeil de commander sur notre boutique consulter et suivre vos commandes gérer vos informations personnelles accéder à tous les e-books que vous avez achetés avoir des suggestions de lectures personnalisées Livre non trouvé Oups ! Ce livre n'est malheureusement pas disponible... Il est possible qu’il ne soit pas disponible à la vente dans votre pays, mais exclusivement réservé à la vente depuis un compte domicilié en France. L’abonnement livre numérique Vivlio shopping_basketL’abonnement credit_cardInformations bancaires local_libraryEt j’en profite ! check_circle Chaque mois, bénéficiez d’un crédit valable sur tout le catalogue check_circle Offre sans engagement, résiliez à tout moment ! L’abonnement livre numérique Vivlio shopping_basketL’abonnement credit_cardInformations bancaires local_libraryEt j’en profite ! Vous allez être redirigé vers notre prestataire de paiement Payzen pour renseigner vos coordonnées bancaire Si la redirection ne se fait pas automatiquement, cliquez sur ce lien. Bienvenue parmi nos abonnés ! shopping_basketL’abonnement credit_cardInformations bancaires local_libraryEt j’en profite !
Tuvoudrais gagner un ensemble d’étiquettes pour la rentrée ? C’est simple, pour participer : 1-Partage ce billet sur tes réseaux sociaux. 2-Dit-moi pour quelle raison tu aimerais gagner ton ensemble. 3-Fait un câlin virtuel à Colle à moi et à La Récréation en aimant notre travail si tu veux en découvrir plus ! 4-Tirage mercredi le 17 août à midi ! Bonne préparation à la
Hier et aujourd'hui étaient les deux jours d'adaptation chez la nourrice pour Annaë. En effet, elle y va pour deux semaines, le temps de ma formation. Elle n'y sera pas pendant des journées entières mais il était important à mes yeux qu'elle y fasse quand même une petite adaptation afin de quitter progressivement maman Maman qui pleure... Les deux jours ce sont merveilleusement bien passés, Annaë est réellement une petite fille cool, qui s'adapte pour le moment plutôt bien aux changements Pourvu que ça dure. Et puis nous sommes vraiment tombés sur une perle rare, ce qui me met très en confiance et ce qui aide aussi Annaë à l'être également. Et puis nous expliquons énormément à Annaë les petits changements qu'il va y avoir, je trouve ça HYPER important ! Ca permet de lui faire comprendre et surtout de la rassurée "Aujourd'hui c'est Nounou qui te garde, parce que papa et maman s'en vont gagner la pièce, c'est papa qui te dépose et c'est maman qui revient te chercher"Je pense que lundi, ça va être un peu plus dur de devoir passer la journée sans elle Maman qui pleure bis, car même si elle ne va chez la nourrice que de 12h30 à 17h30 ... moi je ne vais pas avoir ma petite puce avec moi de toute la journée. Une étape à surmonter pour moi comme pour de nombreuses mamans doivent en passer par là tôt ou tard. Un moment que je redoutes un peu même si je sais pertinemment que tout va très bien ce passé. Nous avons vraiment trouvés une super nourrice, dynamique, douce, qui aime ce qu'elle fait et ça ce ressent, moderne, pleine d'humour ... bref un vrai petit trésor que je surnomme "Marie Nounou" .. une petite Mary Poppins des temps modernes ^^ Elle m'envoie pleins de photos par téléphone, et c'est super chouette Même si maman pleure toujours, ça me permet de rendre le temps un peu moins long, et de suivre les petites aventures de mon Annaë chez sa nourrice. Elle va me manquer, vraiment, je crois que je n'aurais qu'une hâte, pouvoir la retrouver chaque soirs ! Bref, vous l'aurez compris, la rentrée pour nous c'est lundi !
cest mon obsession chaque année à cette période et je stresse . pour ceux qui ne sont pas en vacances ya quie moi qui appréhende la rentrée? Gilliane. Gilliane maman de Léa 21ans,Maureen 18ans et Owen 15 ans Asperger ,dyslexique et dysorthographique . Haut. Mars Modératrice Messages : 8318 Enregistré le : ven. 21 oct. 2005 13:02 Localisation : finistère. Rentrée #2
Ou pourquoi et comment, cette année, j’ai décidé de positiver la fin des vacances. Chouette, c’est la rentrée sur le blog ! Mais pas que. En fait, c’est la rentrée un peu partout, pour tout le monde et dans tous les domaines. Ah, la rentrée ! Ce doux mélange de joie, de peine et d’inquiétude. Joie de repartir du bon pied. Tristesse de voir l’été laisser place à l’automne. Puis vient l’angoisse des bonnes résolutions qu’il nous faudra tenir au moins une semaine, et plus encore celle de reprendre le quotidien métro, boulot, dodo. Vous connaissez ? Enfant, quand venait le moment de préparer la rentrée, l’excitation liée à la perspective d’aller choisir mon nouveau cartable, ma nouvelle trousse et autres stylos de toutes les couleurs me donnait – presque – envie d’écourter les vacances. Avec le recul, je ne dirais plus jamais non » à deux mois de bord de mer et de farniente. Mais bon, enfant, l’école c’était chouette. Ça ne me prenait pas trop de temps et j’était contente de revoir les copines au moins durant une bonne semaine. Adolescente, j’envisageais la rentrée à peu près de la même façon. Le brevet, même pas peur. La rentrée en seconde trop heureuse de prendre le bus pour aller en cours ce qui a duré une semaine. Le BAC, finger in the nose ». Année après année, il n’y avait qu’à suivre le mouvement et les vacances suivantes arrivaient à grands pas. Puis sont venues les années fac. Et là , la rentrée a pris une toute autre envergure. Choix de la filière, choix des modules, choix des horaires – de façon à optimiser les grasses mat’ … et l’envie d’en faire le moins possible. Profiter. Voici le mot que je pose sur mon état d’esprit lors de ces rentrées étudiantes. Les années passaient vite. Forcément, avec dix heures de cours par semaine, six mois par an. Les vacances avaient à peine le temps de me manquer que – pouf – mon popotin était déjà de retour sur ma serviette de plage. Ces dernières années en revanche, la rentrée avait tendance à me submerger d’émotions diverses. La première étant incontestablement la tristesse de voir les vacances se terminer. Certainement parce qu’elles durent beaucoup moins longtemps qu’auparavant, et que je sais qu’elles se feront attendre bien souvent tout au long de l’année. Et puis, il y a aussi l’inquiétude. La peur de revenir à la réalité. L’angoisse de reprendre la routine. Métro, boulot, dodo. Et manger, aussi. Bref, vous connaissez. Mais ça, c’était avant! Souvenir de vacances… Sauf que cette année, rien. Du moins presque rien de négatif. Les vacances ont été aussi belles que les années précédentes et bien entendu, je n’aurais pas dit non » à quelques jours semaines de plus à profiter de mon Petit Coin de Paradis, de ma famille et du calme. Un peu triste de repartir, légèrement angoissée à l’idée de retourner travailler, la joie de me replonger dans mes projets était cependant plus puissante que tout le reste. Mes projets. Avoir des projets, envisager de nouvelles perspectives. Voici ce qui m’a manqué et qui me porte à présent. Avancer, doucement mais sûrement. Et surtout, en avoir l’envie. Avoir envie. Sincèrement. Cela change bien des choses. Cette année, la rentrée est synonyme de renouveau, de challenges et d’évolution. Si ce début d’année a été riche de bouleversements, l’été laissant place à l’automne me plonge dans une confiance en moi et en l’avenir des plus apaisante. Sérénité. Voici le mot que je pose sur cette rentrée. Mais pourquoi ? » me direz-vous. Et comment ? Pourquoi cette rentrée serait-elle différente des autres ? Et comment, par quels moyens en suis-je venue à envisager d’une toute autre façon ce nouveau départ annuel ? La réponse est que j’ai décidé d’accepter. Aujourd’hui, j’accepte que les belles choses – les vacances – aient une fin, tout comme j’accepte que ce qui est à venir sera tout aussi beau. Les moments heureux passés restent en moi, ils me renforcent. Ils sont un peu comme ma batterie de secours lorsque le présent fait des vagues. Et par-dessus tout, je fais le choix de croire en l’avenir. Imminent, proche, accessible. Alors bien sûr, il n’y a rien de magique dans tout cela. Juste l’envie de voir le verre à moitié plein et de positiver l’instant présent. Cette rentrée, je la place sous le signe de l’indulgence envers moi-même en étant fière du chemin parcouru ces derniers mois, ainsi que pour toutes les actions que j’ai d’ores et déjà mises en place dans la concrétisation de mes projets, de mes envies. Chouette, c’est la rentrée! Sur le blog, au travers de ce nouvel article. Et plus largement dans ma vie, grâce à ce travail sur moi-même entrepris tout au long de ces derniers mois. Mon envie est de vous en parler ici et d’aborder les différents axes de travail que l’on peut explorer pour, ne serait-ce que changer un peu sa façon d’envisager les choses, les grands événements aussi bien que les petites choses du quotidien. Chouette, c’est la rentrée ! Le moment est venu d’enfin se réaliser.
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chouette c est la rentrée pleure pas maman