DĂšsque l’on me nomme, on me brise. Qui suis-je ? RĂ©ponse : Le silence. Ça pourrait aussi te plaire : Enigme d’Aymard Enigme trĂšs piquante ! Enigme du faux et long Enigme facile
Harry Potter 2005 ~€~ Autres Lieux Magiques ~€~ Grande-BretagneEnigmera PrewettGryffondor Re Vagabondage en EcosseEnigmera Prewett, le Sam 5 Mai - 2243 *StratĂ©gie...*Era se sentait plus sereine, et prĂȘte Ă  relever ce nouveau dĂ©fis. Les deux ennemis de papier l'encerclait, se rapprochant lentement. La jeune femme usa du sort "KalĂ©idem", et son propre pion disparu de toute visibilitĂ©, totalement fondu dans le dĂ©cor virtuel créé par Taylor. Ce dernier observait la jeune femme sans mots dire. Era avait retrouvĂ© sa concentration. Elle dirigeait son pion mentalement, et l'emmena derriĂšre l'un des individus. Personne ne la voyait, Taylor suivait le regard de la jeune sorciĂšre pour savoir oĂč elle en Ă©tait, et oĂč elle se trouvait sur ce terrain. Les deux mages en papier lançaient des sorts Ă  l'aveuglette, ratant toujours leur cible invisible. Soudain le pion en papier qu'Era suivait se retourna et lui face. L'avait-il sentit ? Entendue ? Sans faillir, la jeune sorciĂšre murmura un "stupĂ©fix" qui immobilisa son premier adversaire. Cependant, elle Ă©tait maintenant repĂ©rĂ©e, et le second pion ennemi se hĂąta de pointer sa baguette dans la direction de la jeune femme. - Asciencio !La Era de papier s'envola au dessus du sort que lui avait lancĂ© le second pion noir, et se matĂ©rialisa. *Le terrain. L'avantage du terrain. Observe.* Elle s'imagina des dĂ©tails qui n'Ă©taient pas dessinĂ©s. Son terrain Ă  elle. Un sous bois, semblable Ă  celui de leur premier duel. Taylor avait créé des arbres, elle allait s'en Personnificatum bellicis !L'arbre visĂ© s'anima alors. Ses racines attrapĂšrent le mage de papier et l'enserrĂšrent jusqu'Ă  l'immobiliser totalement. Era s'approcha de quelques pas, et lança un dernier "oubliettes". Elle avait gagnĂ©. Lorsqu'enfin elle lĂącha le ring des yeux pour regarder Taylor, elle le vit sourire, manifestement satisfait de sa performance. Era Ă©tait contente d'elle. Elle avait conscience que ce n'Ă©tait qu'un faux entraĂźnement, que si elle s'Ă©tait trouvĂ©e face Ă  ces deux sorciers dans la rĂ©alitĂ© la peur l'aurait envahie, mais ça lui Ă©tait Ă©gal. Elle s'Ă©tait prouvĂ©e pouvoir mener Ă  bien une stratĂ©gie en faisant comme Taylor lui avait apprit. RĂ©flexion, observation, avantage du terrain. Tout Ă©tait gravĂ© dans sa mĂ©moire, elle Ă©tait Ă  prĂ©sent certaine de pouvoir mettre en pratique ces acquis si la situation se reprĂ©sentait un jour, ce qui serait inĂ©vitable... A prĂ©sent les pions Ă©taient redevenus de vulgaires morceaux de papier inanimĂ©s. - Alors ? Tu en penses quoi ? Des choses Ă  amĂ©liorer ? Taylor MalĂ«anSerdaigle Re Vagabondage en EcosseTaylor MalĂ«an, le Dim 6 Mai - 1416 MUSIQUE D'AMBIANCEEra, les yeux rivĂ©s sur le terrain de papier, s'appliquait Ă  trouver la meilleure stratĂ©gie possible, pour dĂ©faire ses adversaires. Perdue dans sa tĂȘte, elle se noyait sous une centaine de possibilitĂ©s la menant Ă  la victoire. Divers plan se mĂ©langeait dans sa tĂȘte Ă  chaque pas de ses l'instant l'exercice Ă©tait facile, elle avait la vue sur tout, et comme le vagabond s'en doutĂ©, elle ne stressait plus du tout. Sereine, elle opposait une bien meilleure rĂ©sistance. Sa maitrise du terrain Ă©tait meilleure, elle alternĂ© sort de dĂ©fense, de dissimulation, et esquive Ă  merveille. PrĂ©cise, elle ne frappait que quand elle Ă©tait sur de toucher. Passive, et prudente, elle prĂ©fĂ©rait stopper ses ennemis, plutĂŽt que de les n'as jamais tuĂ© n'est-ce pas ?La jolie rousse regarda Taylor avec des petits yeux, la rĂ©ponse Ă©tait avoir fait une erreur en refusant de dĂ©truire mĂȘme des pions de papiers, gĂȘnĂ©e par son manque de courage, elle voulu prendre la parole mais il fut plus mieux. Au moins tu pourras dormir tranquillement le vagabond souriait Ă  nouveau stupĂ©fait par la rĂ©ussite de la lionne il ne pouvait s'empĂȘcher d'ĂȘtre fier d'elle, mĂȘme si cet exercice n'Ă©tait en soit, sans aucun ne t'obligerais jamais Ă  tuer, sache le. En temps normale, je suis totalement contre la destruction pure et simple d'autres ĂȘtres vivants, mais j'ai vu de quoi ils Ă©taient capable, alors, je te propose que si un jour, nous combattons ensemble, Tu t'occuperas de la neutralisation et de la dĂ©fense. Moi je t'assisterais, et finirais le travail. Bloquer l'ennemie est bien, mais si un nouvel ennemi venait Ă  les libĂ©rer, alors ça ne servirais Ă  rien. A la grande limite, le sort de l'oubliette comme tu l'as lancĂ© est plus efficace. Le voyageur, fit prendre feu la feuille de papier, qui consuma le terrain en deux petites secondes. L'exercice Ă©tait fini, et la nuit s'Ă©tait approchĂ©e Ă  grands pas. Il Ă©tait temps de diner, et Ă  cette occasion, l'ex-serdaigle, se permit de disparaitre quelques instants dans la est l'heure de manger, tu souhaite quelque chose en particulier ? Sinon ce sera viande de bƓuf, et jeune lionne acquiesça le menu, et se hĂąta de disposer le couvert, sur leurs nouvelle table. Elle passa un coup de baguette, afin de la nettoyer de toute trace de cendres, et dĂ©posa une jolie nappe en soie blanche, douce, bien qu'un peu poussiĂ©reuse, vue le temps qu'elle avait du rester lĂ . Deux chandelles furent aussi sorties, puis allumĂ©s, apportant Ă  la table, une convivialitĂ© rassurante. Manger leur ferait le plus grand ils n'avaient aucune idĂ©e de ce qui les attendrais. Oliver avait-il reçu la lettre ? Avait-il reconnu l'Ă©criture de son ami ?Visiblement Taylor comptait beaucoup sur son aide. Il Ă©tait Ă©vident, que deux professeurs pour le prix d'un, se serait plus efficace. A cette pensĂ© le vagabond termina le repas, et l'apporta Ă  Ă©tait dĂ©jĂ  assise, prĂȘte Ă  se rassasier. La dĂ©licate odeur de viande grillĂ© rĂ©gnait dans la piĂšce, ouvrant grands les appĂ©tits des habitants. Une vieille pendule sonna onze fois, et le repas appĂ©tit !-Merci toi aussi, j'espĂšre que la cuisson t' iras .Le repas eut des allures de festin, ramenant la joie et la bonne humeur dans le chalet. Les deux jeunes finirent aux coins de la cheminĂ©, un verre de rosĂ© Ă  la main, lisant les comptes de Bidle le Barde. La petit rouquine sentit le sommeil la gagner, et vint se blottir contre son narrateur, elle tomba en un rien de temps, et l'homme s'occupa de la mettre au lit, et de la border. Son corps Ă©tait plus lourd que d'habitude, Ă  moins que ce ne soit les forces du sorcier, qui venait Ă  manquer ?En soit il n'avait pas beaucoup dormi les nuits derniĂšres, ni mĂȘme pris le temps de se reposer. Il avait besoin d'une bonne douche, et d'un long sommeil rĂ©parateur. Seulement, dormir Ă©tait impensable, pas avec ce qui rĂŽdait dehors. Il ne dormirait qu'une fois sur, que son sommeil ne coute pas la vie de sa belle. InvitĂ© Re Vagabondage en EcosseInvitĂ©, le Dim 6 Mai - 2111 1Le soleil se levait sur la forĂȘt, les tĂ©nĂšbres de la nuit s'estompant face Ă  un halo d'un bleu radieux Ă©manant d'un demi-cercle rosĂ©, contenant l'astre solaire rayonnant. Le temps Ă©tait frais et la vie animale s'Ă©veillait lentement. Avec dĂ©licatesse, il descendit lentement vers l'un des plateaux en hauteur, proche d'une toute petite clairiĂšre d'oĂč l'on voyait une chaumiĂšre aux allures rĂ©chauffante et familiale. A travers ses bottes en cuir de suĂ©dois Ă  museau plat, il ressentait malgrĂ© tout la rosĂ© du matin se dĂ©poser Ă  chaque foulĂ©e. A bonne distance de la chaumiĂšre le jeune homme s'arrĂȘta. De la poche de son manteau de voyage, il sortit la carte. Cette carte Ă©tait la plus ancienne et l'une des plus Ă©laborĂ©e qu'Oliver avait conçut. Le parchemin vierge rien que lui demandait six mois de prĂ©paration entre potions et enchantements. Il n'Ă©tait pas plus grand qu'une feuille de format standard, et reprĂ©sentait une carte du monde. A premiĂšre vu rien de bien ce parchemin vierge une fois "scellĂ©" par le lien du sang du propriĂ©taire de la carte et de la cible, active l'enchantement et rĂ©vĂšle la position de la cible par rapport Ă  celle du propriĂ©taire, la prĂ©cision de la carte s'ajustant en fonction de la distance des deux concernĂ©s par le pacte magique. L'enchanteur a gardĂ© la recette de cette carte secrĂšte jusque lĂ  pour ne pas s'attirer la convoitise de mauvaises intentions. Cela avait Ă©tĂ© un vĂ©ritable calvaire de soustraire du sang Ă  Taylor sans Ă©veiller ses soupçons, mais durant toute leur scolaritĂ©, le jeune Purple avait eu de nombreuses sourire satisfait Ă©tirait les traits du sorcier de 22ans qui se trouvait en face de la chaumiĂšre. Avec deux doigts Ă  la fois bourru mais avec une prĂ©cision mortelle, il Ă©tira sa moustache blonde, soudain d'humeur joyeuse. La carte ne pouvais mentir et elle indiquĂ© une distance infime entre les deux individus. Une distance jamais atteinte depuis cinq ans. Un soupir de soulagement et de contentement s'Ă©chappa de ses narines tandis qu'il s'accroupissait un instant, l'air songeur...*Me revoilĂ  Taylor, et ce serait inacceptable de ne pas en faire une bonne surprise. Tu as dĂ» protĂ©ger les lieux. Mais peux-tu rivaliser avec moi sur ce terrain ? Je ne serais sans doute jamais en mesure de te battre, mais j'en attends la rĂ©ciproque en ce qui me concerne. Laisse-moi te surprendre encore une fois mon ami, un grand voyage nous attend. *Il se redressa alors, sortant de ses songes pour sortir une latte de bois dĂ©corĂ©e de filins d'alliages cuivrĂ©s et ternis qu'il posa face Ă  lui. Oliver trĂ©pignait, comme l'enfant qu'il Ă©tait auparavant. Il sortit sa baguette, pointa la latte en bois et l'observa s'Ă©largir et s'Ă©paissir jusqu'Ă  faire la taille d'une boite Ă  chaussure. La latte devenait un coffret Ă©lĂ©gant que l'enchanteur ouvrit pour fouiller Ă  travers diffĂ©rentes chemises contenant du papier vierge. Il en sortit une et le coffret se ratatina pour devenir un petit chevalet oĂč il dĂ©posa le parchemin. Il pointa sa baguette sur sa tempe et se mordit le pouce, marmonnant une incantation tandis qu'il Ă©crasait une goutte de son sang sur le parchemin. Ses yeux devinrent alors distraits tandis qu'ils se recouvraient d'un voile opaque. Le sorcier se leva et fit une grande marche d'un quart d'heure tout autour du pĂ©rimĂštre qu'il avait dĂ©finis, maintenant le sort Ă  chaque instant et observant un maximum les alentours de la chaumiĂšre. Quand il arriva Ă  son point de dĂ©part aprĂšs avoir contournĂ© entiĂšrement la bĂątisse, il se feuille Ă©tait devenu une carte sur laquelle on pouvait distinguer les lieux schĂ©matisĂ© des endroits que venait de parcourir notre enchanteur. Pendant dix minutes, il marmonnĂąt sans interruption des incantations pour rĂ©vĂ©ler les diffĂ©rents systĂšmes de sĂ©curitĂ©s qui s’affichaient un Ă  un tout autour de la clairiĂšre. Puis malgrĂ© les incantations Ă  rĂ©pĂ©tition, plus rien ne s'afficha, mais Oliver ne semblait pas s'en satisfaire. Il se leva et tourna en rond un instant, repassant en revue ses connaissances. Puis il se rassit et recommençùt Ă  marmonner. Vingt minutes plus tard, il se leva, s'Ă©tira et marcha droit devant lui, agitant sa baguette par moment, comme s'il chassait les mouches. Alors la charmante chaumiĂšre sans activitĂ©s aucune, tandis qu'Oliver s'en approchait et annulait les sorts de protection, changea d'apparence. Les volets d'apparences tous fermĂ©s devenaient ouvert alors que le sortilĂšge de dĂ©tection Ă©tait brisĂ©. Un rondin en bois menaça d'Ă©craser tout net notre cher Purple tandis qu'il avait brisĂ© le sortilĂšge antibruit. Pour s'en sortir il avait utilisĂ© le sort Glacius sous une puissante forme pour geler le tronc et les liens qui le faisaient balancer. Il les gela si fort que les liens cassĂšrent tout net, ayant perdu toute dorme de souplesse. L'arbre allait se fracasser et dĂ©truire tout risque de surprise si Oliver n'avait pas effectuĂ© un Wingardium Leviosa parfaitement rĂ©alisĂ© et ce, in-extrĂ©mis. Une perle de sueur glissa d'un cĂŽtĂ© de son front, l'arbre Ă©tait une maniĂšre efficace de dissimuler un piĂšge dans un autre et ça le fit sourire que Taylor y pense. MalgrĂ© le sortilĂšge antibruit disparu, aucun signe de vie n'Ă©tait visible, ils devaient dormir. Le reste du parcours se dĂ©roula sans embuche particuliĂšre, et Purple pĂ©nĂ©tra dans la maison sans dĂ©clencher le moindre avertissement. Il entra dans le salon et aperçut une chevelure Ă  aucun autre pareil qu'il identifia comme celle de Taylor. -Ben alors mon ami, tu te languissais tellement de moi que t'en a perdu le sommeil ?Le concernĂ© se tourna, sans montrer signe de surprise quand Ă  l'identitĂ© du nouvel arrivant. Il l'avait reconnu au son de sa voix. Ils se regardĂšrent un instant, dĂ©taillant des pieds Ă  la tĂȘte leurs accoutrements. -Je vois que tu aime toujours autant mettre les gens Ă  l'aise et dans un sentiment de sĂ©curitĂ©. Mes protections t'ont au moins un peu ralentis ? fit remarquĂ© Taylor avant d'enchainer sur Tu as de nouvelles bottes...-Protection ? Quelle protection ? J’ai brisĂ© deux trois brindilles... et j'ai tout l'ensemble allant avec ces bottes mais c'est une bien longue histoire, qui j'en suis sĂ»r, ne vaut pas celle de ton manteau, qui lui n'a pas changĂ©...suivantDerniĂšre Ă©dition par Oliver Purple le Ven 6 DĂ©c - 901, Ă©ditĂ© 1 fois Taylor MalĂ«anSerdaigle Re Vagabondage en EcosseTaylor MalĂ«an, le Dim 6 Mai - 2202 Depuis plusieurs heures, la jeune sorciĂšre dormait paisiblement. Probablement crevĂ©e de la veille, tout son corps disposĂ© Ă  prĂ©sent d'une rĂ©gĂ©nĂ©ration nĂ©cessaire Ă  son bon fonctionnement. La nuit Ă©tait longue, perchait au sommet du ciel, la lune narguait Taylor de son halo lumineux. Lui aussi avait sommeil, mais il refusait tout simplement de s' ne pouvait pas s'empĂȘcher d'imaginer le pire, chaque fois que ses paupiĂšres supĂ©rieures, touchaient celles du battait des cils, contrant le sommeil comme il le pouvait, tantĂŽt par la lecture d'un livre, tantĂŽt en allant faire un petit tour dans les provisions. Tout son corps le tiraillait pour le faire dormir. Une longue complainte Ă©tait jouĂ©e simultanĂ©ment, par toutes ses articulations et os, qui craquaient et grinçaient, tel un robots dont les rouages rouilleraient. Le jeune sorcier, extĂ©nuĂ©, finit par s’asseoir par terre, appuyĂ© contre le mur, face Ă  la porte. Il rangea sa petite baguette dans sa manche, poignĂ©e en main, prĂȘt Ă  faire feu au moindre vent soufflait dehors, on pouvait entendre le hululement des chouettes alentours, qui jouaient de leurs voie enchanteresse, pour le plus grand bonheur du vagabond. Les feuillages vibraient dans un bruissement aiguĂ«, et sans doute y avait-il une riviĂšre pas loin, car en fermant un peu les yeux, le sorcier l' fermant un peu les yeux ?!Derechef l'homme se leva pour se mettre un coup de fouet. Il alla Ă  la cuisine, en croisant sa belle allonger sur le lit. Le feu rougeoyait toujours dans le foyer, apportant cette dĂ©licate chaleur Ă  la maisonnette. Une fois arrivĂ© prĂȘt de l’évier, il fit couler un mince filet d'eau pour se dĂ©barbouiller un peu. Les yeux grands ouverts, il retourna Ă  sa place, serein. Puis quelque chose vint le troubler dans sa petite musique nocturne. Il avait beau se concentrer comme tout Ă  l'heure, il n'entendait plus rien. Quelque chose ne tournait pas rond. Il se prĂ©cipita au pieds de sa reveilles sorti de sa torpeur, la jeune lionne fit de son mieux pour prĂ©senter son meilleur ?-Écoutes moi bien, et ne te rendors pas. Il y a quelqu’un de paniquer, je pense savoir qui il est, sans quoi, c'est mes piĂšges qui nous auraient prĂ©venu. Si c'est bien la personne que je pense, il Ă©tait temps qu'il arrive. Je veux que tu te recouches, et que tu fasses semblant de dormir, garde ta baguette prĂȘt de toi au cas ou, on ne sait jamais. Je vais me remettre Ă  ma place, et si jamais tu m'entends te crier de fuir, tu fuis compris ?De nouveau prise de panique, bien qu'un peu plus sur d'elle, la sorciĂšre s’exĂ©cuta. Elle dissimula sa baguette sous son oreiller, la serrant le plus fort possible dans son poing. Elle se recouvra de sa douce couette, et se prĂ©para Ă  bondir, au moindre signe de son vagabond Ă©tait dĂ©sormais, de nouveau face Ă  la porte, arme en main. Il attendait impatiemment, de voir entrer son ami, ou sa victime. se qui ne tarda pas. Les volets du chalet s'ouvrir en un Ă©clat, et la porte fut ouverte. RassurĂ©, il revit pour la premiĂšre fois, Mr Oliver Purple. Le seul ami qu'il n'ai jamais eu. Il eu un large sourire, quand il entendit la voix caractĂ©ristique de ce alors mon ami, tu te languissais tellement de moi que t'en a perdu le sommeil ?Taylor pouffa dans un petit rire, avant de lui vois que tu aime toujours autant mettre les gens Ă  l'aise et dans un sentiment de sĂ©curitĂ©. Mes protections t'ont au moins un peu ralentis ? fit remarquĂ© Taylor avant d'enchainer sur Tu as de nouvelles bottes...-Protection ? Quelle protection ? J’ai brisĂ© deux trois brindilles... et j'ai tout l'ensemble allant avec ces bottes mais c'est une bien longue histoire, qui j'en suis sĂ»r, ne vaut pas celle de ton manteau, qui lui n'a pas changĂ©... En effet, depuis plus de cinq, le manteau qu'il avait, Ă©tait tout Ă  fait le mĂȘme, Ă  quelques Ă©raflures et trous ne peux pas savoir, ce que je suis heureux de te retrouver enfant imbĂ©cile. Finalement, on dirait que tu n'a pas changĂ©, toujours une grande gueule, mais Ă  ce que j'ai pu voir, ton magasin n'est toujours pas sur pieds. Tu prendras quelque chose Ă  boire ? J'ai que du thĂ© Ă  alla dans la cuisine,sortit une nouvelle tasse, et la remplit aussitĂŽt. Cette derniĂšre se mit Ă  planer, jusqu'Ă  se qu'Oliver la doute qu'il soit meilleur qu'avant, mais allons, si je n'ai pas le deux amis, avaient visiblement pour habitude, de toujours s'envoyer des pics, sans les prendre vraiment au alors, il parait que tu as besoin de moi ? C'est fou mais en cinq ans c'est la premiĂšre fois que tu me demandes de l'aide non ?-c'est vrai, mais habituellement je n'ai que ma vie entre mes mains. Laisse moi te prĂ©senter n'avait pas bougĂ©e. toujours cloitrĂ© dans son lit, elle avait prĂ©fĂ©rĂ©e restĂ©e discrĂšte, jusqu'au mot d'ordre de Taylor. AprĂšs avoir entendu son nom, elle dĂ©crispa son poing, avant de se relever en se frottant les yeux. Enigmera PrewettGryffondor Re Vagabondage en EcosseEnigmera Prewett, le Dim 6 Mai - 2240 Un peu nerveuse, la jeune sorciĂšre sortit du lit et alla se poster prĂšs de Taylor, sa baguette toujours Ă  la main. C'Ă©tait donc lui le meilleur ami... Era le dĂ©visagea aprĂšs l'avoir saluĂ© timidement. Grand, blond, sĂ»r de lui. Physiquement impressionnant, Taylor paraissait affaiblit Ă  cĂŽtĂ© de la carrure de son ami. - Era, je te prĂ©sente Oliver Purple. Oliver, EnchantĂ©e de faire votre tendit une main vers le nouveau venu mais celui-ci ne la lui serra pas. La jeune lionne reposa alors son bras contre son corps, se rappelant la mĂ©fiance de Taylor lors de leur premiĂšre rencontre. Il devait Ă©videmment en ĂȘtre de mĂȘme avec Oliver... Ils ne se connaissaient pas encore, comment pourrait-il avoir confiance ? La jeune femme observa les deux hommes qui se tenaient Ă  cĂŽtĂ© d'elle. Ils semblaient heureux de se retrouver, et commençaient Ă  parler de leur tenue vestimentaire en plaisantant. De jeux de mots en franche rigolade, Taylor lui apparu soudain sous un nouveau jour. Il avait retrouvĂ© l'ami qu'il cherchait depuis longtemps, et malgrĂ© la fatigue qui le tiraillait, elle pu constater qu'il semblait soulagĂ© et heureux. La jeune femme se sentait un peu stupide Ă  rester plantĂ©e lĂ , et prĂ©fĂ©ra ne pas gĂącher leur retrouvailles. - Je vais aller prĂ©parer quelque chose Ă  manger. Vous avez peut-ĂȘtre faim ? dit-elle Ă  l'attention d'Oliver. Mais sans attendre de rĂ©ponse elle fonça Ă  la cuisine. Elle sortit du placard les quelques brioches qui restaient, et le pot de confiture d'abricot entamĂ©. Des Ă©clats de rire lui provenaient du salon tandis qu'elle s'appliquait Ă  Ă©taler une gĂ©nĂ©reuse couche de confiture sur chaque brioche. Un bien maigre petit dĂ©jeuner, mais ils devraient se contenter de cela. Combien de temps seraient-ils enfermĂ©s ici ? Era n'en savait rien, et la question disparut de sa mĂ©moire aussi rapidement qu'elle Ă©tait venue. Son plateau terminĂ©, elle alla retrouver les deux hommes qui Ă©taient Ă  prĂ©sent installĂ©s dans les fauteuils un peu dĂ©foncĂ©s de la petite chaumiĂšre. Le ton avait changĂ©. Les deux amis semblaient parler sĂ©rieusement. Era ne capta que la derniĂšre phrase du vagabond. - ... voilĂ  pourquoi je t'ai demandĂ© de venir. Tu comprends ? Oliver s'Ă©tait redressĂ© dans le fauteuil et tortillait d'un air distrait sa moustache blonde. Il s'apprĂȘtait Ă  rĂ©pondre quand il vit Era dĂ©poser le plateau sur la table. Sans savoir pourquoi, elle se sentait mal Ă  l'aise en prĂ©sence d'Oliver. Il cherchait manifestement Ă  la cerner, mais la jeune lionne se crispait dĂšs qu'elle se sentait observĂ©e. Elle dĂ©tourna alors le regard et attrapa une brioche. - Si je dĂ©range je peux sortir. Vous devez avoir beaucoup de choses Ă  vous dire. InvitĂ© Re Vagabondage en EcosseInvitĂ©, le Lun 7 Mai - 009 2prĂ©cĂ©demmentEra Prewette, la jeune femme semblait Ă  l’aguait lorsqu'elle vint se prĂ©senter. Elle Ă©tait plutĂŽt jolie, un regard acĂ©rĂ© bien que peu sĂ»r d'elle sur le moment. AprĂšs tout, elle venait d'ĂȘtre rĂ©veillĂ©e. Devant les deux compĂšres qui ne faisait que plaisanter, elle se sentie visiblement de trop et disparut dans la en vint alors aux faits, expliquant comment il s'Ă©tait retrouvĂ© face Ă  des mangemorts dans les Highlands et avait due s'enfuir avec Era. Oliver ne comprenait pas vraiment ce qu'il attendait de lui, mais il avait bien fait de l'appeler, Ă  eux deux, trois maintenant, ils seraient difficiles Ă  capturer. Dans sa tĂȘte l'analyse de la situation faisait rage, les donnĂ©es s'accumulant. La petite Era Ă©tait visiblement devenue sa protĂ©gĂ©e. En fin de compte s'Ă©tait pour elle qu'il avait fait venir l'enchanteur. - ... voilĂ  pourquoi je t'ai demandĂ© de venir. Tu comprends ? C'est alors que la jeune femme entra, un plateau dans les mains. La dĂ©posant sur la table, leurs yeux se croisĂšrent briĂšvement et Oliver comprit que ce qu'il avait pris pour un manque d'assurance Ă©tait en fait de la mĂ©fiance. L'enseignement de Taylor laissait sa marque... Le sorcier blond l'observa prendre une part de brioche puis se proposer de disparaĂźtre. *beaucoup de chose Ă  nous dire, c'est sĂ»r mais dans l'immĂ©diat, une seule.* -non, bien sĂ»r que non, je viens de vous rencontrer ma cher la moindre des curiositĂ©s serait de vouloir en savoir un peu plus. Votre petit dĂ©jeuner Ă  l'air dĂ©licieux, mais je prendrais bien un peu de sucre avec mon thĂ©, si bous avez...Oliver et Taylor croisĂšrent leurs regards une fraction de seconde tandis qu'era s'en allait de nouveau dans la cuisine. -Allons droit au but, je t'aiderai dans ta quĂȘte le temps qu'il faudra, mais une fois fini, ce sera Ă  toi de m'accompagner, ce ne sera pas de tout repos non plus...Les deux sorciers se dĂ©visagĂšrent et alors qu'Era rĂ©apparaissait, une sucriĂšre Ă  la main, Taylor acquiesça d'un hochement de tĂȘte. Ce qu'Oliver ignora, se tournant vers Era. -Ha, c'est parfait, merci bien. Dit-il en se servant du sucre. Assied toi je t'en prie, tu es ici chez toi il me s'exĂ©cuta et les trois compagnons mangĂšrent en silence, apprĂ©ciant le moment simple mais agrĂ©able des retrouvailles et de la bonne nourriture. A tour de rĂŽle, chacun observait l'autre. Cette situation Ă©tait peu commune, mais Oliver se sentait bien et n'en Ă©prouvait aucune Ă©dition par Oliver Purple le Ven 6 DĂ©c - 905, Ă©ditĂ© 3 fois Taylor MalĂ«anSerdaigle Re Vagabondage en EcosseTaylor MalĂ«an, le Lun 7 Mai - 1033 Trois Ă  table, dans le silence le plus complet, la situation fut assez vite, gĂȘnante. Les habitants Ă©taient tous deux trĂšs fatiguĂ©s de leur long pĂ©riple, mais Taylor voulait mettre les choses au clair, et le plus vite possible. C'Ă©tait d'une importance capitale. Ne voulant pas prendre des pincettes, il fallait ĂȘtre rapide et maintenant que nous sommes tous les trois rĂ©unis, je vais vous expliquer ce que j'avais en tĂȘte en faisant venir Oliver. Era, tu n'ais pas sans savoir qu'il est le seul ami que je me suis fait, mais ce que tu ignore, c'est qu'il est aussi mon plus grand rival. Cet espĂšce de vikings moustachue, est bel et bien le seul mage capable de me faire frĂ©mir en eut un petit gloussement, puis il sourit ? Je te bas quand tu veux poulet !-Et bien justement. Si je t'ai appelĂ© l'ami, c'est pour cette raison. La jolie demoiselle que tu vois lĂ  sort tout juste de son Ă©cole, et part un heureux hasard, nous avons Ă©tĂ© amenĂ© Ă  nous ce temps je veille sur elle, et j'ai fini par m'y attacher, et c'est lĂ  que tu intervient. Je veux que tu m'aides Ă  l'entraĂźner. Bien sĂ»r cela n'est qu'une partie de la raison de ta venue. Si les mangemorts nous collent au train c'est parce qu'on vise la mĂȘme relique. C'est long a expliquer maintenant, mais il me la faut absolument. Si tu peux te concentrer sur notre protection et la formation d'Era, je pourrais quand Ă  moi, me concentrer sur comment manƓuvrer ces foutus encapuchonnĂ©s. L'enchanteur leva les yeux de sur la jeune fille, pour les placer dans le champ de vision du une semaine, nous devrions pouvoir plier ça. Alors j'espĂšre que tu as un peu de temps Ă  m'accorder. AprĂšs cela, je serais tout Ă  toi, pour le mĂȘme nombre de jour, et sans grand blond se tripotait la moustache, l'air songeur. Ses yeux vacillaient entre son ami et la jolie rousse, comme s'il regardait un match de ping pong de haut niveau, et qu'il suivait la balle des yeux. Il se racla la gorge, posa son poing sur la table et dit-Alors c'est donc ça ? Tu t'es trouvĂ© une amourette, et tu veux m'engager pour lui apprendre Ă  combattre ? Et bah alors tu n'es plus capable de le faire toi mĂȘme ou quoi ? J'ai du boulot moi tu le sais. Mais soit, en cinq ans, j'avais oubliĂ© comme il Ă©tait bon que tu me tapes sur les nerfs. Je vais vous aider. On commence demain, vu ta tronche, va dormir, aucun somnombule n'est jamais venu Ă  bout dun mangemort... dit le sorcier, pris d'un fou rire allĂ© pour le mieux, selon son plan. Demain, connaissant Purple, l'entrainement commencerait Ă  l'aube, et ne se terminerait qu'au couchĂ©. Durant de longues annĂ©es ils avaient travaillĂ©s comme ça, et ce n'Ă©tait que depuis peu de temps que le vagabond connaissait le mot "repos". L'entrainement serait rude, mais Taylor Ă©tait sĂ»r, que la petite lionne saurait s'en ne parlait pas, restant passive et totalement spectatrice de ce qui allait lui arriver elle plaçait une confiance aveugle en son nouvel ami, et savait qu'au final, la rendre plus forte Ă©tait la meilleure chose Ă  faire. Cependant dans un petit coin de sa tĂȘte, elle ne put s'empĂȘcher de penser que pour elle aussi, tout semblait se concrĂ©tiser. En effet, elle Ă©tait rĂ©uni avec l'homme qu'elle aimait, dans sa maison, recevant le seul ami de son "compagnon". prĂ©sentation forcĂ©e ou non, il y avait eu prĂ©sentation, et ça ne semblait pas dĂ©ranger Taylor plus que ça, que son ami la nomme son "amourette".Il Ă©tait encore tĂŽt. La petite pendule dans le salon pointait les huit heures du matin. AprĂšs avoir finit sa tasse de thĂ©, le vagabond se leva et rangea un peu le n'auras qu'Ă  te poser quelque part par lĂ  ce soir. Je te laisse la joie de rĂ©activer tous mes piĂšges, nous allons nous coucher. Elle a besoin de repos avant demain et moi, ça fait trois jours que je persiste avec moins de six heures de sommeil, si tu veux me reconnaitre demain, je dois lui fit un signe du pouce, montrant son t'en fait pas, je veille au grain, comme d' Era, nous allons nous soudain de ses rĂȘves, la jeune fille encore assise Ă  table finit de somnoler. Elle rejoignit son ami, lui attrapa la main, et tous deux disparurent dans la pĂ©nombre du chalet, dans un petit Bonne Nuit !Ils allĂšrent directement dans la chambre, oĂč le lit trĂŽnait en son centre. Alors, pendant que Taylor se dĂ©shabiller, Era eu le premier reflex prĂ©ventif de ça vie. Elle dĂ©posa sa baguette sous son oreiller, puis se coucha, les yeux rivĂ©s sur le torse de l'homme, qui dĂ©sormais laissait apparaitre, toutes ces brĂ»lures et que tu ne m'en veux pas de faire appelle Ă  lui, mais c'est vraiment la seule personne en qui je peux avoir confiance. Dans une semaine, nous pourrons vivre enfin plus calmement, je serais serein, tout aussi, et peut ĂȘtre pourrons nous prendre la peine d'aller enfin nous chercher un animal de compagnie. Tout ça sera vite rĂ©glĂ©, je te le oublies que tu lui Ă  promis une semaine pour lui vrai, mais ce n'est pas un oubli, j'ai prĂ©cisĂ© que je garderais mais nuits, tout ça dans le but de venir te voir chaque jours, prendre soins de toi et vĂ©rifier que tu ailles bien. Il y'a moins d'une semaine tu m'as demandĂ© si je voulais de toi, aujourd'hui ma rĂ©ponse est oui. Je sais que tu as toutes les capacitĂ©s nĂ©cessaire, et quand Purple partiras, tu seras en mesure de te dĂ©fendre mĂȘme seule. Je sais que j'ai beaucoup fait changer ta vie, et d'avance je m'en excuse. Alors pour me faire pardonner, aprĂšs ma dette payer, nous aurons une conversation sur ce que nous allons faire. Je n'ai plus trĂšs envie de te quitter, et j'imagine que toi non prĂȘt Ă  tomber de sommeil, le vagabond se coucha, porta Era contre son torse et l’enveloppa de ses bras. Il l'embrassa sur le allons devoir dĂ©cider d'Ă  quoi ressemblera notre futur maintenant. Au moins pour le temps que ça fatiguĂ©e pour rester Ă©veillĂ©e, la jeune rouquine s'Ă©tait dĂ©jĂ  endormie, au chaud, dans le creux de l'Ă©paule de son compagnon. Un bruit sourd retentit. Oliver venait de rerentrer dans la maison, il venait sans doute de finir de rĂ©activer les piĂšges. RassurĂ© de le savoir parmi eux, pour la premiĂšre fois en trois jours, Taylor ferma les deux yeux pour dormir. Enigmera PrewettGryffondor Re Vagabondage en EcosseEnigmera Prewett, le Lun 7 Mai - 1537 Era se rĂ©veilla quelques heures plus tard comme elle s'Ă©tait endormie, contre le torse brĂ»lant de Taylor. Il dormait d'un sommeil profond, le visage lisse de toute inquiĂ©tude. PrĂ©cautionneusement la jeune sorciĂšre se retira des bras du vagabond, attrapa sa baguette toujours cachĂ©e sous l'oreiller, et se leva. Elle gagna la piĂšce principale de la petite maisonnette, mais Oliver ne s'y trouvait pas. Elle fit rapidement le tour du chalet, mais il n'Ă©tait manifestement pas lĂ . SĂ»rement devait-il ĂȘtre dehors en train de surveiller les environs ou de s'imprĂ©gner des lieux en vu du prochain entraĂźnement. La jolie rousse se sentait prĂȘte, bien que les connaissances magiques de son nouveau maĂźtre l'impressionnaient au plus haut point. Ne tenant pas en place, elle retourna Ă  la cuisine prĂ©parer du thĂ©. Elle n'eut le temps de boire qu'une seule gorgĂ©e avant qu'Oliver n'apparaisse sur le seuil de la porte. Elle le salua d'un sourire avant de poser sa tasse fumante sur la table qui croulait Ă  prĂ©sent sous de nombreux parchemins et livres. - Enfin levĂ©e ! Si vous ĂȘtes prĂȘte, je vous attends Ă  l'extĂ©rieur. Autant ne pas perdre de ton Ă©tait donnĂ©. Le visage d'Era devint pĂąle en une fraction de seconde. Il ne rigolait pas, Taylor l'avait prĂ©venu... - J'... J' ressortit de la cuisine, et Era entendit la porte d'entrĂ©e s'ouvrir puis se refermer dans un grincement. Elle fit couler de l'eau dans l'Ă©vier avant de s'en asperger le visage. Elle se sentait maintenant prĂȘte. PrĂȘte Ă  apprendre. PrĂȘte Ă  combattre. PrĂȘte Ă  voir de quoi Oliver Ă©tait capable. PrĂȘte Ă  prouver ses capacitĂ©s. Jetant un dernier coup d'oeil Ă  Taylor qui dormait toujours dans la chambre, elle gagna ensuite l'entrĂ©e du chalet. Oliver l'attendait prĂšs d'un arbre un peu plus loin. L'air Ă©tait doux, le soleil Ă©tait masquĂ© grĂące Ă  la forĂȘt luxuriante, ne projetant que quelques rayons que les arbres ne pouvaient filtrer Ă  travers leurs feuilles. Cette vision fit remonter des souvenirs dans la tĂȘte de la jeune lionne. Elle n'Ă©tait alors encore qu'une enfant innocente et naĂŻve, et elle s'amusait naturellement avec la nature qui l'entourait... Tiens ! Un bon point pour elle ! Oliver avait du faire le tour des lieux, certes, mais Era connaissait le coin comme sa poche, et elle Ă©tait persuadĂ©e que ça lui servirait dans les minutes Ă  venir. Elle chassa de sa tĂȘte son souvenir enfantin et s'approcha d'Oliver, baguette fermement tenue dans sa Je suis prĂȘte. Quelles sont vos rĂšgles ? InvitĂ© Re Vagabondage en EcosseInvitĂ©, le Lun 7 Mai - 1939 3prĂ©cĂ©demmentComme Ă  son habitude, Oliver s'Ă©tait Ă©veillĂ© sans mal dĂšs que les premiers rayons de soleil filtrant Ă  travers la fenĂȘtre vinrent lui caresser le visage. Il mit sa baguette contre son oreille droite et l'enchanta pour rendre son ouĂŻe beaucoup plus fine. Ce sort n'Ă©tait pas sans danger, l'oreille interne Ă©tant susceptible de subir des lĂ©sions irrĂ©versibles si un son trop fort venait Ă  ĂȘtre Ă©mis. Cependant, la maisonnette Ă©tait calme et ceci lui permit de constater les respirations lentes et rĂ©guliĂšres de ses camarades, s'assurant du sommeil de ceux-ci. Il sortit alors et fouilla ses poches d'oĂč il dĂ©gagea la latte de bois cerclĂ©e d'alliage contenant ses parchemins, et une bourse enchantĂ©e d'oĂč il sortit un chaudron miniature... Il enchanta son chaudron pour lui redonner une taille normal et en sortit des vivres qu’il se mit Ă  cuisiner. Quand le petit chaudron fut posĂ© sur un feu fraichement allumĂ© avec un bouillon consistant Ă  l'intĂ©rieur, l'enchanteur se dĂ©cida enfin a faire prendre Ă  la latte de bois sa forme originale, un coffret Ă  documents. Il en sortit plusieurs feuilles de diffĂ©rents voulait la former pour survivre, Oliver allait la faire survivre pour la fois tous les documents prĂ©parĂ©s et son petit dĂ©jeunĂ© copieusement ingurgitĂ©, il pĂ©nĂ©tra Ă  l'intĂ©rieur et sans un bruit, se rendit devant la chambre de Taylor. A l'aide d'un petit couteau destinĂ© Ă  prĂ©parer des ingrĂ©dients pour potion, il prĂ©leva un copeau de la porte. Sur son auriculaire gauche, un anneau composĂ© de diffĂ©rents cerclages de mĂ©taux entremĂȘlĂ©s formait en son sommĂ© une boule de fil. De sa baguette, il toucha l'anneau dont la boule se desserra pour que les fils forment un petit rĂ©ceptacle oĂč Oliver plaça le copeau avant d'enchanter la porte. C'Ă©tait l'anneau de SĂ©passur Kesalfas, un enchanteur du XVIIĂšme siĂšcle trĂšs douĂ© mais peu sĂ»r de lui dont les Ɠuvres furent toutes ignorĂ©es hormis cet anneau qui a le pouvoir de se lier Ă  un objet, signalant au porteur au moment oĂč celle-ci s'active, la prochaine forme de magie utilisĂ© sur l'objet. Ainsi SĂ©pasur avait rĂ©ussi Ă  reprendre un peu confiance en lui une fois cette crĂ©ation fini, car elle lui permettait de contrĂŽler le bon dĂ©roulement de ses enchantements. De toutes les reliques qu'Oliver a en sa possession, c'est la premiĂšre qu'il trouva, dans l'enceinte mĂȘme de Poudlard lors de sa quatriĂšme le temps Ă©tait comptĂ©, il fallait faire vite. Il enfourcha son ballet et pris le document le plus grand qu'il avait sortit. Il s'ensorcela de nouveau les yeux, le voile opaque cachant ses pupilles et sillonna pendant prĂšs d'une heure et demi une bande de forĂȘt de long en large. Connaissant Taylor, la maison n'Ă©tait pas connue de l'ennemi, et ceux-ci en ayant aprĂšs lui et non Era, Oliver dĂ©duisit facilement que cette propriĂ©tĂ© devait ĂȘtre la sienne. Une fois le repĂ©rage fini. Il annula l'enchantement qui entravait ses yeux pour constater que son grand parchemin Ă©tait Ă  prĂ©sent Ă  l'Ă©ffigie d'une carte de la rĂ©gion. De tout ses parchemins, celui-lĂ  Ă©tait le plus coĂ»teux et le plus long Ă  rĂ©aliser.... Il en possĂ©dait trĂšs peu et encore moins de sorcier en possĂ©dait tout court. Les enchantements pour le confectionner Ă©tant trĂšs complexe et pouvant gĂącher en un instant des mois de prĂ©paration. Cependant, lorsqu'un tel parchemin Ă©tait arrivĂ© Ă  maturation, et qu'il Ă©tait "imprĂ©gnĂ©" d'un lieu, il Ă©tait possible d'enchanter ce lieu directement sur le parchemin. Oliver n'avait qu'une semaine et la mise en place de l'exercice d'aujourd'hui par un autre moyen aurait pris un Ă  deux jours. Avec cette page, il en aurait pour deux heures. Des piĂšges furent mis en place, aux extrĂ©mitĂ©s les plus lointaines, c'Ă©tait des piĂšges simples. Puis des piĂšges compliquĂ©s. Et plus en s'enfonçait, plus la difficultĂ© augmentait. Des piĂšges cachĂ©s dans d'autres, des piĂšges qui Ă©tait tout simplement des leurres. Au dessus des arbres, il avait refait un tour des lieux et avait marquĂ© les endroits les plus facilement praticables par des piĂšges beaucoup plus nombreux. Aux endroits les mieux protĂ©gĂ©s, il avait laissĂ© des coffrets avec de maigres vivres. Puis il s'Ă©tait dirigĂ© vers la maison. En entrant, il la vit dĂ©jeuner et aprĂšs l'avoir saluĂ©e, il suis prĂȘte, quelles sont vos rĂšgles ? Oliver la fixa pour la premiĂšre fois et malgrĂ© sa gĂȘne Ă©vidente, la jeune Era se faisait violence pour soutenir le regard de son nouveau mentor. -En effet, bien agrippĂ©e Ă  ta baguette, l'air... dĂ©terminĂ©e ? Tu dois ĂȘtre prĂȘte... mais pourquoi ?Oliver vit Ă  son expression, qu'elle sentait que quelque chose se tramait, mais n'en cernait pas encore la nature. -Ben... Pour l'entraĂźnement. dit-elle, ce qui arracha une sourire Ă  pour l'entrainement, as-tu bien dĂ©jeunĂ© ?[color=47D1CC -Suffisamment...[/color]-Suffisamment pour ? -Pour tenir jusqu'Ă  midi...Le ton de la jeune femme semblait monter, Oliver en afficha un nouveau sourire, conscient de l'agacement engendrĂ©. Il savait que Taylor avait dĂ» lui apprendre de bon trucs pour se battre et les base en vitesse. Ce qu'il oubliait, c'Ă©tait que tous n'avait pas sa faculter Ă  appliquer tout ce qui doit l'ĂȘtre et en temps voulu sans entrainement marquant ou rĂ©gulier. -Je t'Ă©nerve hein ?-Non, pas du...-C'est bien, ça te sera utile... ou pas. Viens avec moi sur le balai...La jeune femme planta son regard dans celui d'Oliver, pour la premiĂšre fois inquisitrice. -Ne me regarde pas comme ça, ça fait partie de l'entraĂźnement. Tu viens ou tu reste ? Et elle se dĂ©cida Ă  monter, Oliver lui banda les yeux sans qu'elle ne protesta et fila aussi rapidement que son ballait le pouvait, jusqu'aux abords du terrain qu'il avait dĂ©limitĂ© prĂ©alablement. Elle regarda alentours un fois sa cĂ©citĂ© fini et sembla vite prendre ses marques. -Je vais ĂȘtre concis, je n'aime pas les grand discours Ă  la Taylor. Je sais que magiquement parlant t'as du potentiel et le connaissant il Ă  dĂ» t'aider Ă  le dĂ©velopper -C'est...-Je ne demande pas de rĂ©ponse, le temps est comptĂ© tu devrais Ă©couter, c'est souvent plus instructif que de parler. Cette fois elle semblait vraiment a dĂ» te parler aussi des rĂšgles de survie de base...Il fit mine d'attendre une rĂ©ponse et voyant qu'elle gardait le silence, il sourit, hochant lĂ©gĂšrement la aujourd'hui on va voir si tu t'en sors. Je t'ai demandĂ© si tu avais bien mangĂ© car nous sommes Ă  deux jours de course Ă  pieds de la maison et un et demi de marche. Si tu ne m'as pas dĂ©mentit, c'est que Taylor t'as bien appris les rĂšgles de base. Economise ton Ă©nergie et utilise ta tĂȘte. Il est interdit de transplaner et de voler. Tout le reste est autorisĂ©. Pour finir, on va te mettre en situation, c'est Ă  cause de mangemort que tu dois te renforcer ? Alors je jouerai ce rĂŽle aujourd'hui. Cache toi, piĂšge moi si tu le peux, efface tes traces, créé en d'autres. Purple laissa Era partir en avant et revĂȘtit une cape de mangemort. N'Ă©tant pas concernĂ© par les rĂšgles, ce qu'il n'avait pas prĂ©cisĂ©, il prit son ballait et fonça pour la localiser. Une fois fait, il attendit qu'elle approche d'un piĂšge. A ce moment il sauta du ballait pour atterrir juste devant elle, mĂ©connaissable en mangemort, la rĂ©action de la jeune femme ne se fit pas attendre. Dans un premier temps ses traits se dĂ©figurĂšrent, incarnant la terreur. Avant qu'elle ne puisse lever sa baguette, un expelliarmus informulĂ© l'avait fait sauter de ses mains. Dans un mouvement de recule, un cliquetis se fit entendre mais elle ne le perçut pas oĂč n'en fit pas mine et elle se crispa lorsque le mage leva sa baguette et qu'un Ă©clair passa juste au dessus de son Ă©paule. Elle se retourna et sursauta constatant un tronc en lĂ©vitation d'au moins une tonne juste derriĂšre elle. En se retournant un air interrogatif sur le visage, Oliver pris sa voix la plus menaçante et prononça distinctement le sort d'Avada Kedavra. L'Ă©clair vert prit la mĂȘme direction que le Wingardium leviosa et ne toucha pas la jeune sorciĂšre. Par trois fois en trois seconde, son corps lui avait signalĂ© une mort certaine. Ses jambes flagellaires et elle s'assit sur le tronc qui venait de s'Ă©craser derriĂšre elle. Oliver enleva la capuche alors qu'elle se tenait le visage. -Taylor t'as parlĂ© des bases, il ne te les avait pas montrĂ© n'est-ce pas ? On peut savoir affronter la peur sans pour autant la dompter. Le problĂšme c'est que pour vivre dans un monde de combat, il faut la dompter. Car si elle te prend par surprise, tu est morte. Cette forĂȘt est truffĂ© de piĂšge, gĂšre la faim et ton Ă©nergie. Evite les embuches et rentre Ă  la maison saine et sauve. Je ne te pourchasserais plus, plus pour le moment. Si demain soir tu n'es pas rentrĂ©, vive ou morte, je rentre chez moi, tu auras Ă©tĂ© trop longue. GĂšre ton temps comme tu le veux, sache qu'il est possible d'arriver dans les temps et dormir ce soir, libre Ă  toi de choisir, mais sache que la nuit, bien qu'ayant de nombreux atout, se rĂ©vĂšle souvent Ă  double tranchant. Tu dois te sentir faible aprĂšs ce traquenard et un repas si maigre, c'est ce, il s'abaissĂąt, elle le regarda mais il ne fit mĂȘme pas mine de la remarquer en tant que personne. Il passa deux doigts dans les cheveux de la jeune femme et en arracha trois alors qu'il se relevait, faisait volte face et partait sans laisser de trace.*Maintenant je vais pouvoir t'observer...*suivantDerniĂšre Ă©dition par Oliver Purple le Ven 6 DĂ©c - 910, Ă©ditĂ© 2 fois Enigmera PrewettGryffondor Re Vagabondage en EcosseEnigmera Prewett, le Lun 7 Mai - 2214 Oliver venait de partir, laissant la jeune sorciĂšre digĂ©rer l'Ă©preuve qui l'attendait. Il ne fallait pas perdre de temps. Elle se leva, sa baguette toujours tendue devant elle, et observa l'endroit oĂč elle se trouvait. *Ca me dit quelque chose. Je suis sĂ»re d'ĂȘtre dĂ©jĂ  venue ici...*Le soleil Ă©tait haut dans le ciel, une lĂ©gĂšre brise venait lui caresser le visage. De quel cĂŽtĂ© se trouvait le chalet ? *RĂ©flĂ©chis, allez. Il ne peut pas t'avoir ici !* La jeune lionne sentit la panique la gagner peu Ă  peu. Elle marchait rapidement, revenant sans cesse Ă  son point de dĂ©part, sĂ»re de se tromper de direction Ă  chaque fois. - Bon, c'est pas comme ça que je vais rentrer. T'es pas bĂȘte, alors rĂ©flĂ©chis ! Elle se parlait Ă  elle-mĂȘme dans un murmure. Comme si sortir les mots de sa bouche Ă©tait semblable Ă  les coucher sur du papier, et lui permettait d'y voir plus clair. - Dans un premier temps, situer la maison. Je connais cette forĂȘt sur le bout des doigts, il faut juste que je me souvienne... Elle s'approcha d'un arbre et en caressa l'Ă©corce. Les yeux fermĂ©s, elle parvenait Ă  sentir la sĂšve s'Ă©couler dans l'arbre plein de vie. TĂątonnant millimĂštres par millimĂštres, elle sentit enfin la mousse sous ses doigts. Le nord ! La maison se trouvait dans cette direction ! Ragaillardie, un sourire aux lĂšvres, elle empoigna plus vivement sa baguette avant de lancer un "pointe au nord". La baguette tourna un moment sur elle-mĂȘme avant de s'immobiliser sur sa gauche. Plus sĂ»re d'elle maintenant qu'elle savait dans quelle direction aller, la jeune sorciĂšre se mit Ă  courir. Elle Ă©tait certaine qu'Oliver l'observait, mais c'Ă©tait lĂ  le but du jeu... La jeune femme ralentit sa course et prĂ©fĂ©ra marcher. S'Ă©conomiser... elle avait dĂ©jĂ  oubliĂ©. Aux aguets, elle se mĂ©fiait du moindre piaillement d'oiseau, de la moindre feuille qui tombait au sol, de la moindre brindille qui craquait sous ses pieds... Oliver l'avait piĂ©gĂ© dĂšs le dĂ©but. Il Ă©tait Ă©videmment qu'il avait semĂ© le parcours d'embĂ»ches. Era les apprĂ©hendait. Il lui faudrait agir rapidement, la rĂ©flexion ne serait pas son alliĂ©e cette fois, elle n'en aurait probablement pas le temps. Elle marcha longtemps dans un rythme soutenu. Elle avait perdu toute notion du temps, se maudissant d'avoir laissĂ© sa montre dans la salle de bain la veille au soir... VoilĂ  qui compliquait un peu plus sa tĂąche. MĂȘme si le soleil n'Ă©tait pas directement visible, Era savait que la journĂ©e commençait Ă  toucher Ă  sa fin. La forĂȘt si agrĂ©able bien que stressante en cette situation, prenait ses allures de bois hantĂ©s. La pĂ©nombre gagnait peu Ă  peu du terrain, et Era redoubla de vigilance.*La nuit, tous les coups sont permis.* Les oiseaux ne chantaient plus, la brise avait cessĂ© de caresser le visage de la jeune sorciĂšre, et l'air devenait plus froid. On entendait plus que la respiration saccadĂ©e de la jolie rousse dans la forĂȘt tranquille. Tranquille... Justement. Era s'immobilisa soudain, tentant d'apercevoir le prochain piĂšge d'Oliver. Quelque chose clochait, elle le sentait, mais ne parvenait pas Ă  l'identifier. TiraillĂ©e entre l'envie de continuer son chemin pour rentrer rapidement, et celle de ne pas bouger de peur de subir les consĂ©quences d'un nouveau malĂ©fice de son maĂźtre, Era se mit Ă  trembler. L'Ă©nervement prenait le dessus, mais elle se calma rapidement. *Je n'ai pas le droit Ă  l'erreur ! Une seule chance...*Elle inspira profondĂ©ment plusieurs fois et usa Ă  nouveau du sort des quatre points. Elle Ă©tait dans la bonne direction. Mais elle avança d'Ă  peine deux pas et se retrouva suspendue par la cheville, en totale lĂ©vitation au dessus du sol qui s'Ă©tait ouvert en une brĂšche suffisamment profonde pour l'engloutir sans qu'elle ne puisse jamais revenir. Ses cheveux pendaient devant les yeux de la jeune femme qui hurlait de terreur. Elle n'osait plus bouger d'un pouce, attendant que le sortilĂšge de levicorpus prenne fin. Son cerveau travaillait Ă  toute allure. Comment sortir de ce traquenard ? Qu'est ce qu'Oliver avait pu prĂ©parer ? Elle ne connaissait pas assez les mĂ©thodes de travail de son nouveau maĂźtre pour avoir de quoi les analyser. Elle le savait fort et intelligent. L'entraĂźnement Ă©tait basĂ© sur la dĂ©fense de la jeune femme. Elle exploita alors cette piste. Le sang qui lui montait Ă  la tĂȘte faisait rĂ©sonner son coeur dans ses oreilles dans un battement dĂ©sagrĂ©able et sourd, l'empĂȘchant de rĂ©flĂ©chir convenablement. En rouvrant les yeux, la jeune femme se sentit faiblir dangereusement. Le trou dans la terre s'Ă©tait Ă©largi. Un trou sans fin se prĂ©parait Ă  la happer dĂšs qu'elle tomberait au sol. Elle n'avait pas beaucoup de solutions... Soit attendre l'annulation du sortilĂšge et tenter de se rattraper au dernier moment, soit annuler elle-mĂȘme le sort et risquer alors la chute sans fin... Le temps filait. Cela faisait dĂ©jĂ  dix minutes que la jeune femme Ă©tait suspendue par la cheville, et elle ne parvenait pas Ă  se dĂ©cider. C'Ă©tait du temps perdu... Alors tentant le tout pour le tout, elle mit fin au sortilĂšge levicorpus et ferma les yeux, s'attendant Ă  sombrer dans le nĂ©ant. Mais il n'en fut rien. Elle tomba lourdement sur le sol et sa tĂȘte vint heurter un petit mĂ©daillon. En l'inclinant, le mĂ©daillon laissa paraĂźtre une nouvelle brĂšche dans l'arbre qu'elle visait. Un trompe l'oeil... Une projection. Elle s'Ă©tait faite avoir une seconde fois ! Pestant contre elle-mĂȘme du temps qu'elle avait perdu, elle reprit sa route vers le nord, en direction de la maison, aprĂšs avoir allumĂ© sa baguette d'un lumos et avoir fourrĂ© le mĂ©daillon magique dans la poche de son jean. Des larmes de fatigue coulaient silencieusement sur ses joues rosies par le froid. Elle trĂ©bucha plusieurs fois, se prenant les pieds dans des racines et dans diverses roches. La nuit Ă©tait Ă  prĂ©sent totalement tombĂ©e. Son estomac grognait mais Era n'y fit pas attention. Elle voulait rentrer au plus vite, que cet entraĂźnement cauchemardesque prenne fin rapidement. Era dĂ©boucha sur une petite clairiĂšre illuminĂ©e par la lune. Ses yeux s'illuminĂšrent alors. Cette clairiĂšre elle la connaissait, et surtout elle s'en souvenait ! Lorsqu'elle avait 8 ou 9 ans c'Ă©tait ici qu'elle s'Ă©tait perdue, rendant fous d'inquiĂ©tude ses parents. Elle vit au loin l'entrĂ©e du sous bois qu'elle cherchait et qui la conduirait Ă  coup sĂ»r Ă  la maison dans Ă  peine quelques heures. Elle s'avança Ă  vive allure dans ce puits de lumiĂšre nocturne, jusqu'Ă  ce qu'un Ă©clair rouge vienne lui frĂŽler l'oreille. Era se baissa alors. Les sorts fusaient sans s'arrĂȘter, la jeune femme roula sur le sol, se redressa, bondit au dessus des sortilĂšges, s’aplatit Ă  nouveau dans l'herbe... Elle Ă©tait Ă©puisĂ©e, mais manifestement pas la personne qui l'attaquait. Prenant ses jambes Ă  son cou elle battit en retraite et couru se rĂ©fugier derriĂšre un arbre. Les sorts frappaient le pauvre roi de la forĂȘt sans rĂ©pit, cherchant Ă  creuser un trou Ă  travers l'Ă©corce pour parvenir Ă  leur victime. - StupĂ©fix ! Era avait surgit de derriĂšre l'arbre et visait l'endroit d'oĂč semblait provenir l'attaque. Les Ă©clairs cessĂšrent aussitĂŽt. Toujours mĂ©fiante, Era observa l'invisible. Une silhouette encapuchonnĂ©e sortit des tĂ©nĂšbres et avançait rapidement en flottant dans les airs. Le sang d'Era se glaça Ă  la vue des mains putrĂ©fiĂ©es de son adversaire qu'elle reconnu aussitĂŽt. Le peu de chaleur qui habitait son corps semblait la quitter peu Ă  peu. Elle fut envahie de tristesse et des larmes perlaient au coin de ses yeux. Il faisait maintenant un froid glacial et la crĂ©ature s'approchait toujours plus prĂšs dans un murmure rauque. La jeune femme Ă©tait figĂ©e d'horreur, mais elle n'oublia pas son objectif pour autant. Elle rassembla ses forces et pensa aussi fort qu'elle le pu Ă  Taylor qui l'attendait Ă  la maison. Elle se remĂ©mora leurs conversations, leurs promesses de se construire un avenir Ă  deux. Elle ferma les yeux sur ce souvenir si puissant et fort et lança dans un hurlement - Spero Patronum ! Une forme argentĂ©e sortit de la baguette d'Era. Un cheval, imposant, fort et puissant, Ă  l'image d'un immense percheron, prit lentement forme et se prĂ©cipita en galopant dans la nuit sur le dĂ©traqueur. La silhouette disparut dans un souffle, en mĂȘme temps que le patronus d'Era. La jeune femme tomba Ă  genoux. Elle tremblait de toutes parts et tentait de retrouver une respiration normale. Elle se releva quelques minutes plus tard, avec difficultĂ©, et reprit sa route. CachĂ© au sommet d'un arbre, Oliver retira son capuchon et annula son dĂ©guisement de dĂ©traqueur.*Bien jouĂ©...**Qu'est ce qui mattend encore ?'*Le moral de la sorciĂšre faiblissait. La nuit Ă©tait bien avancĂ©e et elle avait retrouvĂ© l'abri des arbres de la forĂȘt. Elle marcha plusieurs heures avant de se rendre compte que quelque chose clochait. Toute Ă  ses pensĂ©es, elle ne s'Ă©tait pas aperçu qu'elle avait dĂ©viĂ© de sa destination et se trouvait Ă  prĂ©sent trop Ă  l'ouest... Elle revint alors sur ses pas, et enfin, au bout d'une longue heure, retrouva le bon chemin Ă  prendre. L'obscuritĂ© diminuait peu Ă  peu. Le soleil ne tarderait pas Ă  se lever. L'estomac de la jeune Ă©lĂšve criait toujours, mais Era continuait de l'ignorer. En revanche, si ne pas manger n'Ă©tait pas un problĂšme, il lui fallait boire... Elle s'approcha d'un petit buisson et rĂ©colta la rosĂ©e dĂ©posĂ©e sur les feuilles. Elle aurait pu faire appel Ă  la magie pour Ă©tancher sa soif, mais elle estima plus raisonnable d'Ă©conomiser le peu d'Ă©nergie qui lui restait pour la fin de son parcours. Aucun autre obstacle ne se manifesta. Elle avançait un peu plus rapidement dans la forĂȘt qui s'Ă©veillait peu Ă  peu. Les oiseaux reprenaient leurs chants, la lumiĂšre se fit plus vive et agrĂ©able. Pas de doute, c'Ă©tait bien le petit matin. La fatigue la tiraillait de toutes parts, pourtant elle savait qu'elle n'Ă©tait pas encore arrivĂ©e. - Bon j'arrĂȘte ! Ses jambes refusĂšrent d'avancer davantage et elle s'adossa contre un arbre avant de glisser lentement jusqu'au sol. *Quelques minutes... Juste quelques minutes de repos...*Sans s'en rendre compte, Era s'endormit, bercĂ©e par le piaillement incessant des oiseaux affamĂ©s. Lorsqu'elle reprit connaissance le soleil Ă©tait dĂ©jĂ  son Non ! La jeune femme bondit sur ses jambes et se mit Ă  courir aprĂšs avoir vĂ©rifiĂ© qu'elle allait toujours vers la maison. MĂȘme traquĂ©e elle n'avait jamais couru aussi vite. Dans quelques heures le test serait terminĂ©. Dans quelques heures Oliver risquait de repartir et elle allait devoir subir les foudres de son maĂźtre et la dĂ©ception de son vagabond. A cette pensĂ©e son coeur se serra et elle accĂ©lĂ©ra davantage si c'Ă©tait possible. Par chance, aucun autre piĂšge ne vint la freiner et elle arriva enfin au rocher en forme de loup. La maison n'Ă©tait plus loin ! Le soleil amorçait lentement sa descente pour laisser place Ă  la lune brillante. Riant et pleurant Ă  moitiĂ©, Era ne ralentit pas l'allure. Le chalet Ă©tait enfin visible, mais elle fronça les sourcils en dĂ©couvrant un corps inanimĂ© devant la porte, deux hommes encapuchonnĂ©s au dessus de lui. Era stoppa sa course dans l'affolement le plus total ! Elle vit dĂ©passer de la main de l'homme inerte une baguette qu'elle connaissait... - Taylor ! Le coeur de la jeune femme explosa de douleur. Elle couru droit devant, sans se soucier de mourir ou de vivre. Elle lança des stupĂ©fix Ă  haute voix et informulĂ©s. La rage dĂ©formait son visage . Elle s'apprĂȘtait Ă  user d'un sortilĂšge impardonnable lorsque sans prĂ©venir, les deux mangemorts disparurent ainsi que Taylor. La maison paraissait calme, laissant Era bĂ©ate. De grosses larmes coulaient sur son visage fatiguĂ© et surpris, quand soudain la porte s'ouvrit, laissant paraĂźtre Oliver et Taylor, vivant... Taylor MalĂ«anSerdaigle Re Vagabondage en EcosseTaylor MalĂ«an, le Mar 8 Mai - 1238 Le petit matin venait de se lever, et Taylor, remit des ses longues heures d'insomnie, se leva doucement, dans une longue complainte. Le temps Ă©tait lĂ©ger. Un agrĂ©able soleil brillait Ă  travers les petits carreaux sales du chalet. Les doux draps berçait le vagabond, le confortant dans son envie d'y rester un peu plus longtemps. Mais il avait dormit longtemps, et maintenant s'il ne se levait pas, il allait perdre du temps qui lui Ă©tait prĂ©cieux. Son ami l'avait rejoint la veille. Il avait enfin rĂ©pondu Ă  son appel pour son plus grand bonheur. AprĂšs cinq ans les deux amis Ă©taient enfin rĂ©uni, et pourtant, il n'avait mĂȘme pas pris le temps de discuter. Directement, comme des hommes d'affaires, ils s'Ă©taient activĂ©s Ă  leur tĂąche silence rĂ©gnait dans le chalet. Seul le petit "tic-tac" de la petite horloge du salon se faisait entendre, mĂȘlĂ© au son des craquement du vieux bois de la maisonnette. DĂ©sireux de retrouver sa belle ainsi que son ami, le vagabond trouva enfin le courage de se lever. Il s'enleva de son doux linceul, quittant le pays merveilleux des songes, et revenir sur terre, la oĂč tous ses problĂšmes se dirigea ensuite prĂȘt d'une petite commode oĂč Ă©tait placĂ© au dessus, son petit-fourre-tout en sortit un long pantalon noir, de tissus lĂ©ger, et dont la largeur des pĂątes Ă©tait Ă©poustouflante. il saisit ensuite sa longue cape, qui Ă  elle seul devait peser cinq bon kilos, vu la quantitĂ© de tissus qui avait dĂ» ĂȘtre nĂ©cessaire Ă  sa fabrication. Une fois habillĂ©, Taylor prit la direction de la salle de bain, fit un lĂ©ger brin de toilette, se passa de l'eau sur le visage, et frotta sa moustache, pour voir s'il fallait la raser. *convenable, tu as un petit sursis moustache, profites-en.*AprĂšs un rapide coup de main dans les cheveux, il les dĂ©tacha, puis les rattacha plus proprement, les plaquant contre son crĂąne, pour ne plus le dĂ©ranger. Une fois sa toilette fini, il fit le chemin jusqu'Ă  la cuisine, en sifflotant un air de ne fut pas surpris lorsqu'il ne perçut personne Ă  la maison. Sans aucun doute, l'exercice avait commencĂ© depuis l'aube dĂ©jĂ , et sa belle devait en ce moment mĂȘme, subir un terrible entrainement. Le jeune sorcier eu une petite tristesse Ă  la pensĂ©e de voir Era, blessĂ©e ou totalement terrorisĂ©, face Ă  son ami, qui pourrait bien prendre plaisir Ă  la faire son souvenir, Oliver Ă©tait comme lui un acharnĂ© du travail, et il considĂ©rait que le meilleur moyen de progresser Ă©tait la mise en situation, cumulĂ©e avec de grande tension, et un besoin de discrĂ©tion; si bien qu'Ă  Poudlard, il aimait s'entrainer au sortilĂšges la nuit, dans le parc de l'Ă©cole, en provoquant des duels, avec la maison des Serpentards, qui avait un jour osĂ© le sa petite pensĂ©e pour sa belle, le jeune homme repris ses esprits. Aujourd'hui aprĂšs tout, lui aussi avait du travail. Devant Era, il n'avait pas pu parler ouvertement Ă  son ami, et son intention rĂ©elle, fut cachĂ© par un avait dit Ă  son ami, qu'il aurait besoin de lui pour s'occuper de l'entrainement de la jolie rousse, pendant que lui ferait la course Ă  l'artefact, mais la vĂ©ritĂ© en Ă©tait tout autre. Il en avait assez d'ĂȘtre poursuivi, toujours dans l'inquiĂ©tude de se faire attaquĂ©. Depuis que la gryffondor vivait Ă  ses cĂŽtĂ©s, il ne pouvait plus se permettre de mettre sa vie en jeu, Ă  chaque instant. Dans les prochains jours, le chercheur aura fait son travail. Au lieu de chasser la relique, c'Ă©tait une chasse Ă  l'homme qu'il allait prĂ©parer. FatiguĂ© de ces combats, il n'y avait qu'un moyen d'y mettre un terme. Il allait retrouver la trace de ses anciens assaillants, et leurs botter les par cette nouvelle idĂ©e, le vagabond alla s'asseoir Ă  table. Il reprit son livre qu'il avait laissĂ© lĂ  la veille, ainsi que sa plume et son encrier. Sur une feuille de parchemin vierge, il posa la pointe de son pinceau, et une minuscule goĂ»te d'encre s'imbiba. Il ferma les yeux, l'esprit rivĂ© sur leurs combats de la veille. Il cherchait un signe distinctif, qui pourrait lui en apprendre un peu plus sur ses ravisseurs. Il pouvait entendre sa propre respiration, comme lors de ses premiers entrainements Ă  l'animagie. Le vide complet dans son esprit. Calme, il fit dĂ©filer sous ses yeux le combat qu'il avait menĂ©, image par image. Les mage noires qui les avaient attaquĂ© hier, il les connaissait. Il en Ă©tait persuadĂ© maintenant. La voix de l'un d'eux Ă©tait restĂ© gravĂ© dans sa mĂ©moire. Il l'avait entendu, il s'en souvenait maintenant.*Le chĂąteau de Windsor ! Alors c'est de lĂ  que l'on se connait hein ?*Quatre ans auparavant, l'un des mages noirs de la veille l'avait dĂ©jĂ  attaquĂ©. Suite Ă  la mort atroce de l'un de ses acolytes , il avait fuit le champ de bataille, laissant le chercheur pour mort. Comment avait-il retrouvĂ© sa trace, c'Ă©tait une bonne question, mais au moins maintenant, son ennemi Ă©tait identifiĂ©, le tout, c'Ă©tait de les parti prendre un peu de pain et de beurre, car son ventre le tiraillĂ© un peu. Il revint Ă  sa place, et aprĂšs une grosse tartine, il se mit Ă  Ă©crire. Écosse, Chasse Ă  l' mĂ©moire m'ait revenu. Je sais qui en a aprĂšs moi. La premiĂšre fois que je les ais rencontrĂ© c'Ă©tait au chĂąteau de Windsor, sa voix, c'Ă©tait la mĂȘme . Taylor bloqua un instant, les yeux perdu sur le papier il entendit retentir un cri au fond de sa tĂȘte*-Petit, petit, petit, petit !!*Il en Ă©tait persuader. L'homme qu'il avait Ă©gorgĂ© Ă©tait celui qui quatre en plutĂŽt c'Ă©tait enfuit face Ă  pense que le moyen le plus simple de les retrouver, sera d'aller au m'y rendrait demain, je dois d'abord en parler avec Oliver. CoĂŻncidence ?-Quand on parle du loup, on en voit la queue !Oliver venait de pousser la porte d' encore, se n'est pas la meilleure partie de mon deux hommes se est bon de te revoir l'ami. Ta vie se passe comme tu veux ?-Bah ça, tu le sais, toujours Ă  sa recherche, puis Ă  la recherche de d'autres. Une vie Ă  courir aprĂšs un rĂȘve, un peu comme toi au final. C'est le compte rendue de ces derniĂšre annĂ©es ?L'enchanteur pointait le cahier de en effet, ce sont tous mes mouvements, toutes mes dĂ©couvertes, et aussi mon journal de bord de notre longue sĂ©paration. Je l'ai commencer dans l'idĂ©e de le publier un jour. Je me suis dit qu'au moins, ça pourrait me permettre de ma payer une belle retraite, et qui sait, peut ĂȘtre mĂȘme t'aider Ă  payer la tienne. J'Ă©tais justement en train de prĂ©parer, mon prochain fait, je dois te dire. Je ne cherche pas de relique, je veux juste trouver ses hommes, et m'en dĂ©barrasser, mais ça je suppose que tu l'avais devinĂ©, et que c'est pour ça que tu as acceptĂ© de rester. Comme tu t'en doutes, je vais avoir besoin de ton aide, alors ne te blesse pas, pendant son entrainement. En fait, elle s'en sort bien ?L'enchanteur expliqua Ă  son ami le dĂ©but de l'Ă©preuve. Comment il l'avait totalement terrorisĂ©e, et fait perde tous ses ça je suis partis. Je la surveille ne t'en fait pas. Puis un peu plus tard, j'irais lui mettre un petit coup de du rĂ©cit, Taylor sourit. C'est vrai que ses mĂ©thodes Ă©taient quelques peu dangereuses, et tortionnaires, mais au moins , elle en sortirait plus forte et plus sĂ»r d'elle que jamais. AprĂšs la nuit qu'elle allait passer, elle n'aurait plus peur du combat trĂšs journĂ©e passa, et les deux hommes se remĂ©moraient leurs passĂ©s, se racontant Ă  tour de rĂŽle des petites anecdotes sur leur vie antĂ©rieur. Autour de plusieurs tasse de thĂ©, ils riaient, ensemble plus heureux que jamais de se retrouver. le soir commençait Ă  tomber, et Taylor dĂ©tourna les yeux de la conversation, pour les poser sur sa petite carte, oĂč le bracelet d'Era, venait d'indiquer une fulgurante devrais peut ĂȘtre y aller, j'ai encore pas mal de boulot si on doit retrouver ses gars ne parla pas, il se leva,et sortit de sa poche deux bandes avec lesquelles il s'enveloppa les mains, puis il ouvrit la porte, et disparu, avec pour toute forme de salutation, un les, ta petite est trop fragile, et mes enchantements me dĂ©mangent. InvitĂ© Re Vagabondage en EcosseInvitĂ©, le Mer 9 Mai - 1058 4prĂ©cĂ©demmentLa jeune femme paraissait maintenant ahurissante, les cheveux dĂ©sordonnĂ©e, le bas de sa robe de sorcier souillĂ©e par la nature et son expression partagĂ©e entre le meurtre et le rĂ©confort tandis que ses yeux allait d'Oliver Ă  Taylor. -Tu es presque arrivĂ©e en retard... Mais pas encore, fĂ©licitation. Maintenant voyons quelques points. Il faut que tu lises cet ouvrage, ainsi que celui-ci. Taylor, toujours aux cĂŽtĂ©s d'Oliver, lui tandis deux grimoires de bonnes a revu ton parcours, c'est plutĂŽt pas mal mais tu dois te perfectionner davantage sur les moyens en ta possession pour Ă©chapper Ă  un piĂšge. Si ça n'avait pas Ă©tĂ© un trompe l'oeil, jusqu'oĂč Ă©tais-tu prĂȘte Ă  tomber ?Encore un fois Purple utilisait les piques verbales contre elle. Mais la jeune femme, sage et attentive, du moins sur le plan Ă©ducatif, Ă©coutait; se contentant de serrer la mĂąchoire. Puis les trois compĂšres se dirigĂšrent vers la salle Ă  manger oĂč Ă©taient disposĂ©s de maigres mets. Oliver expliqua Ă  Era qu'il s'agissait de rester dans cette optique de survie pour le restant de la semaine, pour Ă©prouver son endurance, ses rĂ©flexes, et analyser ses capacitĂ©s de concentrations et de rĂ©activitĂ©s. Elle sembla quelque peu irritĂ© mais ne le montra pas davantage. La conversation alla du parcours d'aujourd'hui aux activitĂ©s de recherche de reliques d'Oliver. Puis elle questionna Taylor sur les Ă©tudes respectives des deux sorciers. Alors que le repas touchait Ă  sa fin, Era se leva, expliquant qu'aprĂšs la journĂ©e d'aujourd'hui, elle allait prendre une douche pour se coucher dans un lit confortable...-Ha mais en voilĂ  une idĂ©e !! Sauf que ce n'est pas ce qui est la jeune femme avait compris, et se tourna vers l'enchanteur, sans enthousiasme mais nĂ©anmoins sans protestation. -Je vois... Quel est le programme ?-He bien il est simple. Tu viens de fuir Ă  travers les bois, Ă©vitant piĂšges et poursuivant. Ce serait bĂȘte de gĂącher tout ces efforts pour mourir dans ton sommeil. Monte au sommet de la chaumiĂšre et veille. Je manifesterai des prĂ©sences inconnues par-ci, par-lĂ , Ă  toi de les repĂ©rer. Demain matin petit dĂ©jeuner et rapport. Puis le jeune homme pris une longue lampĂ© de cafĂ© avant de reprendre la de te rappeler l'importance de ne pas s'endormir. Endors-toi, je pars. Rate plus de la moitiĂ© des signaux, je pars. Tout est autorisĂ©, par consĂ©quent aucune rĂšgle en dehors des derniĂšres Ă©tablies. Des questions ? d'un pas alerte et assurĂ©, la jeune femme grimpa Ă  l'Ă©tage, sans mĂȘme un regard pour la salle de bain lorsqu'elle passa devant. -Ce petit bout de femme est plutĂŽt intĂ©ressant mon ami, je comprends que tu t'en entiche...-Ouai, ben ça risque de ne pas durer longtemps au rythme oĂč tu va. T'es un peu dur avec elle... Ce n’est pas comme ça que tu va te faire apprĂ©cier. -J'suis pas venu pour me faire apprĂ©cier... viens mon ami, je vais avoir besoin de toi cette Ă©dition par Oliver Purple le Ven 6 DĂ©c - 912, Ă©ditĂ© 1 fois Enigmera PrewettGryffondor Re Vagabondage en EcosseEnigmera Prewett, le Mer 9 Mai - 2311 Assise sur le rebord de la plus haute fenĂȘtre de la petite chaumiĂšre, Era observait les environs. La nuit paraissait calme. Paraissait seulement... La jeune femme Ă©tait consciente que cette nuit ne serait encore pas de tout repos. MalgrĂ© la fatigue qui la tiraillait au plus haut point, elle se saisit d'un des lourds grimoires qu'Oliver lui avait confiĂ©. Il Ă©tait question de sortilĂšges de protection et de dĂ©tection. Elle survola rapidement les pages jusqu'Ă  trouver ce qu'elle cherchait. Ses yeux brĂ»laient de fatigue mais elle n'avait pas d'autre choix que de continuer. AprĂšs plusieurs minutes de lecture elle sortit de la maison, et prĂ©para son terrain. Levant sa baguette, elle prononça - Cave Inimicum. Protego maison fut couverte d'un nouveau bouclier invisible. Le premier sort la prĂ©viendrait si quelqu'un tentait de pĂ©nĂ©trer dans la maison, et le second protĂ©geait toute intrusion... Ainsi parĂ©e et fiĂšre d'elle, la jeune sorciĂšre retourna dans la maison et retrouva son poste d'observation. Elle se munit d'un rouleau de parchemin et d'une plume ainsi qu'un encrier, prĂȘte Ă  noter le moindre mouvement louche. De sa fenĂȘtre elle dominait un seul cĂŽtĂ© du chalet. Trop peu suffisant si quelqu'un tentait de s'introduire de l'autre cĂŽtĂ©... Elle se hissa alors Ă  la gouttiĂšre prĂšs de la fenĂȘtre, et grimpa sur le toit. D'ici, elle voyait tout ce qui l'entourait. *Parfait !* Elle s'installa en tailleur, en Ă©quilibre un peu prĂ©caire sur les vieilles tuiles. Il n'y avait aucun bruit, le silence Ă©tait omniprĂ©sent, et la sorciĂšre sentait ses yeux se fermer peu Ă  peu. Chaque fois qu'elle se sentait partir, elle se rĂ©veillait en sursaut, manquant de tomber de son perchoir. C'est alors qu'un bruit atroce, long et aiguĂ« retentit dans la nuit, brisant la quiĂ©tude de la forĂȘt endormie. La jeune femme plaqua ses mains sur ses oreilles dans un rĂ©flexe vital, avant de se souvenir que son sortilĂšge venait d'ĂȘtre dĂ©clenchĂ©. Elle se leva alors, regardant de tous les cĂŽtĂ©s. *Alors, oĂč es-tu ?* Elle Ă©tait lĂ , la silhouette encapuchonnĂ©e repartait en courant dans la forĂȘt aprĂšs avoir Ă©tĂ© dĂ©masquĂ©e. Era se jeta en avant, attrapa la gouttiĂšre et se glissa jusqu'Ă  la piĂšce oĂč Ă©tait posĂ© son parchemin. Elle griffonna des mots Ă  la va-vite, son coeur battant Ă  tout rompre dans sa poitrine. *Et d'un...*Nerveuse, la sorciĂšre descendit au salon. Cela lui avait semblĂ© trop simple. L'enchanteur avait-il usĂ© de sa magie pour tromper la jeune fille ? Era en Ă©tait persuadĂ©e. A pas feutrĂ©s, elle fit le tour de toutes les piĂšces de la maison avant de constater que celle-ci Ă©tait vide. Pour autant, la sorciĂšre se sentait Ă©piĂ©e. - Hominum Revelio !Le sortilĂšge ne dĂ©tecta aucune prĂ©sence dans la maison, et la jolie rousse souffla d'apaisement. La nuit avançait lentement, et la fatigue prenait peu Ă  peu le dessus sur l'adrĂ©naline d'Era. Elle faisait les cent pas dans la maison, montant, observant, descendant, vĂ©rifiant... Elle nota deux nouvelles tentatives d'intrusion, Ă  chaque fois dĂ©viĂ©e par ses sortilĂšges. La jeune femme commençaient Ă  trembler. Elle avait englouti quatre thĂ©, espĂ©rant ainsi vaincre le sommeil qui menaçait de la submerger Ă  tout moment. La lumiĂšre du jour pĂ©nĂ©trait enfin Ă  l'intĂ©rieur de la maison, et Era somnolait Ă  mĂȘme le sol, tĂȘte rejetĂ©e en arriĂšre sur le canapĂ©. Le sortilĂšge d'intrusion rĂ©sonna une quatriĂšme fois, et cessa quasi instantanĂ©ment. Era se leva dans un bond, brandissant sa baguette devant elle. L'intrus avait enfin anĂ©anti ses sorts de protection, il ne tarderait pas Ă  passer Ă  l'attaque. Mais par oĂč ? Era avait verrouillĂ© fenĂȘtres et portes. Bien sĂ»r, un sorcier entraĂźnĂ© n'aurait aucun problĂšme Ă  entrer dans la maison surveillĂ©e par une seule habitante... - Hominum Revelio. Elle usa Ă  nouveau du sortilĂšge et cette fois, celui-ci rĂ©agit. L'intrus se trouvait dans la cuisine. Tremblant de tous ses membres, la jeune sorciĂšre s'avança lentement en direction du mage. Celui-ci surgit soudain devant la jeune femme, jetant un sortilĂšge informulĂ©. Era s'y Ă©tait attendu, et elle cria "Protego !" au moment oĂč le sort s'apprĂȘtait Ă  la toucher en plein coeur. Le sort ennemi ricocha sur la table en bois, la dĂ©truisant au passage. La silhouette encapuchonnĂ©e disparut dans un souffle, faisant tomber la jeune femme Ă  genoux. Des pas rĂ©sonnaient derriĂšre elle, et alors qu'elle s'apprĂȘtait Ă  se dĂ©fendre Ă  nouveau, elle fut dĂ©sarmĂ©e de sa baguette. - C'est bon, l'exercice est terminĂ©. LĂšve toi, on va faire le la fois soulagĂ©e et inquiĂšte de voir apparaĂźtre l'enchanteur et maĂźtre, Era obĂ©it et suivit Oliver jusque dans le salon, attendant avec apprĂ©hension le verdict du sorcier... Taylor MalĂ«anSerdaigle Re Vagabondage en EcosseTaylor MalĂ«an, le Jeu 10 Mai - 2025 La nuit Ă©tait tombĂ©e depuis un moment dĂ©jĂ . Au milieux de la forĂȘt, le chalet se perdait peu Ă  peu dans l'ombre des arbres, assombrissant l'esprit, et le cƓur d'Era. Ce soir elle allait devoir rester Ă©veillĂ©e, aprĂšs la nuit qu'elle venait de paraissait plus que fatiguĂ©e. Ses yeux Ă©taient lourds, et ils cillaient souvent sous le poids de la fatigue. Ses cheveux roux flamboyant Ă©taient quand Ă  eux tout emmĂȘlĂ©s, et elle comprit ainsi la raison de la coupe de cheveux du teint pĂąle, elle Ă©tait frĂȘle. Ses mouvements se faisaient de plus en plus lents, et la nuit ne faisait que Ă©tait venu voir Taylor dans la journĂ©e. Ils avaient beaucoup parlĂ©s, et ils avaient aussi mis en place le plan de leur attaque de ce lui non plus n'avait pas fermĂ© l’Ɠil de la nuit. Trop occupĂ© de savoir si la jeune lionne allait survivre ou pas, il avait veillĂ© toute la nuit sur la carte enchantĂ©e, qui donnait sa localisation. Profitant de ses insomnies, il dressa aussi le plan du lendemain, celui qui devrait lui permettre de retrouver la trace de ses mystĂ©rieux agresseurs. Il avait Ă©crit sur son cahier de cuirC'est bon, j'en ai parlĂ© Ă  Oliver, et il pense que c'est aussi le meilleur moyen de les ils sont Ă  ma recherche, je ferais en sorte de me mettre en Ă©vidence. Bien sĂ»r, comme je m'y attendais, il a refusĂ© que j'y aille seul. Il pense que c'est bien trop dangereux, mĂȘme pour moi. AprĂšs tout il n'a pas tord. Je ne sais toujours pas qui ils sont, ni ce qu'ils me veulent. Étant donnĂ© que je n'ai rien trouvĂ© de bon au chĂąteau de Windsor, je suis prĂȘt Ă  leur donner mes rĂ©sultats, si ils promettent de disparaitre de ma vie. Je me dois de protĂ©ger Era. Si ils refusent mes conditions, alors l'aide d'Oliver sera nĂ©cessaire. Je ne partirais pas avant de les avoirs trouver. Cependant, je ne peux pas me permettre de gĂącher l'entrainement de notre Ă©lĂšve, le vieux viking va s'occuper de me prĂ©parer je ne sais quel outil me permettant de l’appeler au cas oĂč ça tournerait mal. Le dĂ©part est donc repoussait Ă  demain aprĂšs midi. De toute façon, je doute qu'ils me repĂšre des le dĂ©but, et il est fort possible que je soit obligĂ© d'attendre plusieurs jours lĂ -bas. penser Ă  faire des provisions. Au moins, ça me laissera le temps de prĂ©parer le terrain, au moindre signe de magie, je serais averti immĂ©diatement. Le vieux cahier se remplissait de plus en plus aux fur et Ă  mesure. Taylor dĂ©crivait geste par geste, son plan de demain. Tout Ă©tait minutieusement calculĂ©, notĂ©, puis dĂ©veloppĂ© sur ce grand croquis se dessinait, avec ici et lĂ  des petites lĂ©gendes signalant des piĂšges, ou des chemins d'Ă©chappatoires potentiels. Un vĂ©ritable plan se dessinait au fil de la plume du vagabond, puis il se leva, jeta un dernier coup d’Ɠil sur son livre, puis, fier de lui, il dit- Demain. J'espĂšre qu'il fera beau, je n'ai pas envie de voyager avec la vagabond quitta ensuite le salon, pour se diriger vers son petit sac, qui Ă©tait dĂ©posĂ© sur le lit. Il en vĂ©rifia son contenue et passa un certain moment Ă  faire son inventaire. MĂ©ticuleux, il le dĂ©fit trois fois, et le refit deux fois. Enfin sĂ»r qu'il Ă©tait prĂȘt pour demain, il rejoint Oliver, au dehors de la maison, lĂ  oĂč ils s'Ă©taient donnĂ© rendez-vous pour l'entraĂźnement de sa l'attendait es en retard. Je vois que tes vieilles habitudes n'ont pas quoi est-ce que tu parles moustachu, ce n'est pas moi qui passait mon temps Ă  arriver en retard en cours, Ă  force de me faire mettre la pattĂ© par les le fusilla du vrai, mais moi au moins je ne me suis jamais laissĂ© marcher sur les pieds. Et au final, je te rappelle qui leur mettait la pattĂ© Ă  la fin ?-C'est bon, laisse tomber. Alors tu as prĂ©vu quoi pour elle ?Le blondinet lui expliqua son rĂŽle. Pendant qu'il parlait, l'air changea. Il paraissait plus lourd, moi chaud. Le vent commençait Ă  se lever. Dans le silence de la nuit, aucun animal ne chantait. Les yeux rivĂ©s sur le chalet, les deux hommes virent une silhouette sur le toit. C'Ă©tait elle. Elle avait commencĂ©e Ă  prĂ©parer le terrain. Elle faisait de grand signe avec sa baguette, et tournait en rond, aux aguets. PrĂȘte, elle attendait patiemment des signes de vies. InvitĂ© Re Vagabondage en EcosseInvitĂ©, le Ven 11 Mai - 1313 5prĂ©cĂ©demmentEra regardais Oliver, quelque peu anxieuse. Visiblement elle n'avait aucune idĂ©e de si elle avait rĂ©ussi ou non. Il Ă©tait tard dans la nuit et d'ici quelques heures Ă  peine, le soleil commencerais son ascension Ă  toi jeune lionne. Tu as su improviser et la vitesse Ă  laquelle tu as assimilĂ©e les rudiments des sorts de protection de propriĂ©tĂ© est plutĂŽt impressionante. Cependant deux trois dĂ©tails reste Ă  peaufiner... Apprend Ă  te camoufler des yeux des autres, voir sans ĂȘtre vu, voilĂ  le nerf Ă  Ă©chauffer sans le claquer pour se hisser vers la victoire. L'inconnu amĂšne des sentiments dĂ©stabilisant. Ensuite, Ă©tudie davantage les livres que je t'ai donnĂ©. Ils te seront utiles si tu dois fuir, te cacher, voyager, traquer, surveiller... Avec de l'entrainement et de la persĂ©vĂ©rance, tu obtiendras les capacitĂ©s pour dĂ©tecter l'ennemi sans que lui ne le sache. Dans la cuisine tout Ă  l'heure, tu es venu au contact ; erreur. Tu pourras dissimuler des piĂšges de captures dans des piĂšges de dĂ©tection ou encore des piĂšges dĂ©fensif cachĂ© dans des piĂšges de continua ainsi son explication, Era l'Ă©coutant attentivement, faisant fit de son Ă©tat proche du sommeil. Taylor Ă©coutais dans un coin, griffonnant de temps Ă  autres sur son cahier. Oliver jaugea Era du regard et vit qu'il Ă©tait temps de mettre un terme Ă  cette discussion, il continuerait le lendemain matin. =====================================================================Le soleil Ă©tait Ă  mi-chemin entre l'horizon et le zĂ©nith tandis que l'enchanteur peinait Ă  se rĂ©veiller. Avec un raclement de gorge gras et peu glamour, il se redressa. Toujours Ă  moitiĂ© assoupit, il se traĂźna jusque dans la salle d'eau. La piĂšce, de petite taille, arborait des miroirs ci et lĂ  sur les murs. Au centre se trouvais une vaste vasque oĂč pouvait se tenir deux personnes. Oliver sorti sa baguette et sorti de son sac une maquette de banc. Il la disposa au centre de la baignoire et l'agrandit jusqu'Ă  ce qu'apparaisse en taille normal un banc de massage. Il sortie de gros galets gris et lisse qu'il fit lĂ©viter et activa les pommeaux de douche situĂ©s juste au-dessus de la baignoire et s'installa sur le banc au-dessous. Un dernier coup de baguette avant de la poser, activa les galets qui se mirent Ă  rouleau sur le dos du mage. L'eau s'Ă©crasait en grosses gouttes sur le corps musclĂ© et marquĂ© de l'enchanteur. Les pierres roulaient et frottait, dĂ©nouant les muscles et les tensions du corps, sous sa peau, la chair devenait tendre et agrĂ©ablement brĂ»lante. AprĂšs un long moment, il se dĂ©cida de sortir de sa torpeur et aprĂšs quelques Ă©tirements, il descendit prendre son petit dĂ©jeuner. Era se trouvait Ă©galement dans la cuisine et lorsqu'elle vit arriver le blond moustachu, elle esquissa un sourire et servi une seconde tasse de Oliver. Belle journĂ©e n'est-ce pas ?Oliver regarda dehors, le ciel Ă©tait dĂ©gagĂ© et l'on pouvait entendre des oiseaux piailler. Le vert/gris des vĂ©gĂ©taux s'Ă©tait muĂ© en vert/dorĂ©e, le tout baignant dans un halo lumineux. Oliver senti l'insistance du regard d'Era, sans doute cherchait-elle des indices sur le visage de son mentor quant Ă  la journĂ©e d'aujourd'hui... Ou alors elle attendait patiemment une rĂ©ponse Ă  sa question. -En effet, belle journĂ©e. Ce qui n'est pas une mauvaise chose pour ton corps d'Era se raidit l'espace d'un instant. Visiblement elle n'Ă©tait pas pressĂ©e d'entamer une nouvelle journĂ©e d'entrainement, sa nuit ayant Ă©tĂ© courte et ses derniers jours le programme. Et ce sera quoi ?-shopping et et lecture ? Je croyais que cette semaine serait composĂ©e d'un entraĂźnement intensif...-C'est le cas. Je t'ai Ă©prouvĂ©e physiquement, tu as Ă©tĂ© correcte. J'ai Ă©prouvĂ© ta capacitĂ© d'analyse, ton discernement, ton attention, tes connaissances, ta rĂ©activitĂ©. Dans l'ensemble c'est plus que convenable, mais cela n'est que le descriptif de tes capacitĂ©s. Vois les choses comme une oeuvre d'art. Une sculpture par Je dois avouer que je ne comprends pas tout... fit-elle, se redressant sur sa chaise, se concentrant bien voilĂ , une statue n'est que matiĂšre au final... MatiĂšre semblable Ă  bien d'autres, composĂ©e des mĂȘmes Ă©lĂ©ments, créée de la mĂȘme maniĂšre que ses semblables. Mais Si la pierre vient Ă  ĂȘtre taillĂ©e, elle prend alors une forme unique au monde et devient un modĂšle. La matiĂšre a des qualitĂ©s et des dĂ©fauts formĂ©s Ă  force de roulement sur d'autres matiĂšres. La façonner Ă©limine les impuretĂ©s tout en lui donnant un style et une Ăąme, mettant en valeur ses qualitĂ©s. Il en va de mĂȘme avec un guerrier. J'ai cernĂ© de quoi tu Ă©tait faite. Tes qualitĂ©s et dĂ©fauts, ta maniĂšre d'agir et rĂ©agir. Je t'ai testĂ© pendant deux jours pour voir si tes capacitĂ©s naturelles te permettaient de faire face au danger au quotidien et tu t'en es bien sorti pour quelqu'un qui n'en avait pas l'habitude. La sĂ©lection de la matiĂšre est donc finie, tu es apte Ă  ĂȘtre modelĂ©e. Le visage d'Era semblait saisir le sens principale de la conversation mais ne pas en apprĂ©cier le sens dans son ĂȘtre clair, les sorcier se font former de la mĂȘme maniĂšre dans les Ă©coles pour des connaissances gĂ©nĂ©rales, mais chaque sorcier Ă  ses propres armes avec lesquelles il sera bien plus efficace qu'avec aucune autre. Ce matin, nous allons aller chercher de quoi te forger ces armes. De ce qui est de la sĂ©curitĂ© et prĂ©paration du terrain, tu as ce qu'il faut comme arme. NĂ©anmoins, il te faut davantage de savoir. Etudie la stratĂ©gie, moldu comme magique. Elle te servira dans tes choix aussi bien avant que pendant le combat. Cela rendra tes observations et tes rĂ©actions plus rapide. Tu apprendras Ă  placer une situation sur un Ă©chiquier pour mettre Ă©chec et mat ton adversaire, le but ne sera pas de survivre alĂ©atoirement comme tu l'as fait jusque lĂ . Il s'agit de contrĂŽler le combat. Aujourd'hui tu dĂ©fends et attaque Ă  l'instinct, comme le piĂšge trompe l'oeil tu te souviens ?Au vu de son visage qui se renfrogna quelque peu, elle se souvenait le trou Ă©tait rĂ©el, tu ne serais plus lĂ . C'est Ă  ça que te servira la stratĂ©gie, tu apprendras Ă  donner des prioritĂ©s et Ă  analyser les diffĂ©rents plans possible. Tu ne subiras plus d'affrontement, tu les maĂźtriseras. Ton instinct sera ta dĂ©fense, car rien n'est plus rapide qu'un rĂ©flexe. Et ta connaissance et ton analyse te servira Ă  mieux diriger le combat vers une situation oĂč tes pouvoirs auront l'avantage et tu apprendras Ă  calculer diffĂ©rentes maniĂšres d'influencer un combat pour le mener vers l'objectif que tu lui auras dĂ©cidĂ©. Ce midi Taylor et moi allons partir, peut ĂȘtre pour deux jours... Ta premiĂšre tĂąche est de protĂ©ger la maison, si revenir dans ce salon une fois que l'on sera parti s'avĂ©rait ĂȘtre trop facile, ce sera la fin de mon enseignement. Ta seconde tĂąche sera la suivante "Tu vas imaginer trois situations de combat. Une oĂč tu auras l'avantage, une Ă©quitable et une oĂč tu seras dĂ©savantagĂ©e. Tu devras expliquer en quoi tes adversaires te surpasse ou/et inversement. Tu Ă©crira avant la lecture des stratĂšges, ce que tu aurais pensĂ© faire dans chacun des trois cas. Ensuite et ceci pas avant l'Ă©tude stratĂ©gique, tu Ă©criras de nouveau de quelle maniĂšre tu penserais rĂ©pliquer. "-Ce matin nous allons aller dans une bibliothĂšque moldu puis je te montrerai mes ouvrages personnels. Tu chercheras les doctrines gĂ©nĂ©rales de diffĂ©rents stratĂšges. Tu te concentreras sur l'Ă©tude des doctrines te correspondant et ainsi tu pourras dĂ©velopper ta propre maniĂšre d'influencer les combats et ce en accord avec tes principes. En apartĂ©, je te conseille de lire par la suite, les ouvrages stratĂ©giques sur des doctrines qui ne te correspondent pas. Les connaĂźtre c'est aussi les reconnaĂźtres lorsqu'elles sont utilisĂ©es par d'autres... Ainsi tu pourras les contrer, mais je te parle lĂ  d'Ă©tude que moi-mĂȘme je mĂšne encore. Maintenant mettons nous en route, il faut ĂȘtre de retour pour le dĂ©jeuner, aprĂšs quoi ton Ă©preuve commencera et nous nous absenterons. suivantDerniĂšre Ă©dition par Oliver Purple le Ven 6 DĂ©c - 915, Ă©ditĂ© 1 fois Enigmera PrewettGryffondor Re Vagabondage en EcosseEnigmera Prewett, le Ven 11 Mai - 2146 Comme prĂ©vu, l'Ă©lĂšve et son maĂźtre s'Ă©taient rendus dans une bibliothĂšque moldue et Ă©taient revenus un peu avant le dĂ©jeuner les bras chargĂ©s d'Ă©pais volumes. L'enchanteur abandonna Era dans le salon, et partit fouiller dans son sac. Il revint quelques minutes plus tard et posa quatre nouveaux grimoires sur la petite table basse, dĂ©jĂ  surchargĂ©e de bouquins. - Bon, tu as tout ce qu'il faut pour travailler efficacement. Tu as deux jours. Peut-ĂȘtre un peu plus, tout dĂ©pendra du temps que nous mettrons. Sois Ă  la hauteur, ou je dĂ©glutit et acquiesça d'un hochement de tĂȘte. Elle s'apprĂȘtait Ă  se mettre au travail, mais Taylor la retint par le Tu vas avoir tout le temps de lire dĂšs que nous serons partit. Viens manger, nous partons juste aprĂšs le jeune femme lui sourit et le suivit dans la cuisine, sa main toujours dans celle du vagabond. Les trois personnes s'installĂšrent face Ă  une table oĂč croulaient divers mets passant du poulet rĂŽti, aux pommes sautĂ©es, et finissant par un pudding. Les diffĂ©rentes odeurs vinrent chatouiller les narines de la jolie rousse qui dĂ©gusta sa viande avec gourmandise. Mais si le dĂ©but du repas l'avait enthousiasmĂ©, elle fut cependant incapable de toucher au dessert. Taylor et Oliver allaient partir d'ici quelques minutes, et un Ă©norme noeud vint se crĂ©er dans l'estomac de la jeune femme. Elle tenta de paraĂźtre dĂ©tachĂ©e, ne voulant surtout pas montrer son inquiĂ©tude Ă  son enseignant ni Ă  l'homme qu'elle aimait. Les deux hommes riaient en repensant Ă  leur vie Ă  Poudlard, puis soudain Taylor se Bon allez, il faut vraiment qu'on y aille lĂ , on a assez se leva Ă  la suite des deux amis, et les suivit dans l'entrĂ©e. Oliver attrapa son sac et ouvrit la porte d'entrĂ©e. Avant de sortir il se tourna vers la Tu as toutes les cartes en main pour rĂ©ussir. A toi de jouer. Deux jours...Et sans ajouter quoi que ce soit d'autre il disparut Ă  l'extĂ©rieur de la maison. Taylor vint alors se poster face Ă  la jeune lionne et la regarda dans les Tout ira bien, j'ai confiance. Fais attention Ă  toi, et ne t'inquiĂšte pas pour nous. Deux jours ça peut sembler long, mais tu as de quoi t'occuper. Etonne ce foutu viking, tu en es capable !Era pouffa Compte sur moi pour le bluffer. Je compte bien mettre toutes mes connaissances en pratique. Mais vous, soyez prudents ! Tu as intĂ©rĂȘt de revenir vivant et entier, sinon... Taylor l'arrĂȘta en l'Ă©treignant contre lui. - Stop. Je n'aime pas les au revoir. Je serais lĂ  dans deux embrassa furtivement la jeune femme avant de se tourner vers l'extĂ©rieur et de fermer la porte derriĂšre lui, sans un dernier regard pour Era. L'estomac de la jeune femme se contracta douloureusement. Un *pop* bruyant retentit soudain. Les deux hommes venaient de transplaner. Era se sentait un peu fĂ©brile, mais il Ă©tait hors de question de perdre du temps. Elle sortit Ă  son tour Ă  l'extĂ©rieur de la maison et pointa sa baguette devant elle. *Cave Inimicum. Protego Totalum.* Era rĂ©activa les sortilĂšges de protection. Elle rĂ©flĂ©chit quelques minutes. Son premier objectif Ă©tait de rendre la maison la plus sĂ»re possible. - Evanescartae !Ce n'Ă©tait qu'un dĂ©tail, mais Era Ă©tait Ă  prĂ©sent sĂ»re que la maison Ă©tait incartable. Taylor saurait toujours la retrouver grĂące Ă  son bracelet qu'elle ne quittait jamais, mais les ennemis potentiels auraient plus de difficultĂ©s Ă  la trouver s'ils se basaient sur une carte de la rĂ©gion. Elle pensa ensuite Ă  l'environnement qui l'entourait. *Personnificatum Bellicis*Les arbres et arbustes les plus proches de la maison s'animĂšrent soudain. Comme il n'y avait aucune menace, ils reprirent rapidement une pose normale, n'attendant que la prĂ©sence d'intrus pour se manifester et contrer les mages se rendit Ă  nouveau Ă  l'intĂ©rieur de la maison, et commença Ă  rĂ©flĂ©chir aux piĂšges qu'elle pourrait poser pour rendre toute intrusion toujours plus compliquĂ©e voire impossible. *Collaporta*La porte d'entrĂ©e se scella dans un horrible bruit de succion. *Une bonne chose de faite, mais je vais devoir trouver mieux que ça si je veux coincer Oliver...* Tout en rĂ©flĂ©chissant Ă  ce qui pourrait ralentir l'enchanteur, elle s'installa sur le canapĂ©. *Chaque chose en son temps, je trouverais peut-ĂȘtre mes rĂ©ponses dans les livres.*AprĂšs une pensĂ©e douloureuse pour Taylor, elle commença Ă  lire l'un des nombreux volumes qu'elle devait Ă©tudier. Re Vagabondage en EcosseContenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
BernardWerber, notre top 5 de ses romans. Vous voulez entamer la lecture de l’oeuvre de Bernard Werber ? Voici une sĂ©lection des meilleurs livres de cet auteur dotĂ© d’une imagination dĂ©bordante. 1. Les fourmis (1991), le meilleur roman de Bernard Werber. AuteurMessageYondaime Nombre de messages 108Date d'inscription 28/12/2007Feuille de personnageAmour Objets Sujet recontre imprĂ©vu..pv Kay Ven 8 FĂ©v - 2334 Yondaime entrait dans la taverne a une heure tardive pour aller sassoir au bar et sirotĂ© un vers aprĂšs cette longue journĂ©e... Beaucoup de mondes occupaient les lieux et ils Ă©taient autour des tables a levĂ© leurs vers en criant laissant paraitre leur ivreter... Yondaime regardait tout les occupant subtilement tout en restant a l'affut, il envisagait toute possibilitĂ© dans la taverne oĂč il ne serait gĂšre le bienvenu s'ils aprenaient qu'il faisait parti du clan anti-tyran... ''...je vous prendrait un autre vers s'il vous plait...dit t'il a vois basse''-bien sur!.. et voila un autre vers pour monsieur..Yondaime appercu un homme entrĂ© dans la taverne.. Il ne regardait pas celui-ci directement mais sans qu'il ne puisse avoir de supsons... L'homme avait un allure sombre a cause de leffet de sa capuche qui nous laissait sans oportunitĂ© de voir son visage... Il finit son vers en une gorgĂ© puis il se leva sans attirĂ© l'attention de qui que se soit et se dirigea vers l'homme a la capuche... Lorsqu'il fit a ses cĂŽtĂ© il lui chuchota..''... J'ai pu voir que tu n'est pas un tyran.. J'aimerais parler un peut histoire de savoir qui tu est...veut tu venir a cette table..?Yondaime fit un signe de tĂȘte vers la table pour accompagnĂ© ses paroles..'' InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re recontre imprĂ©vu..pv Kay Sam 9 FĂ©v - 014 Kay n'avait pas fait mine de la prĂ©sence du Ninja a ces cotĂ© le moindre instant cette homme ne lui disait rien puis une voix ce levat dans sont Oreille c'Ă©tait ce cher petit C20 qui lui faisait part de ça vision des chose...Ces un Ninja de niveau Kage...celon mes informations il fait partie du groupe Anti-tyran il n'est pas une menace mes reste sur t'es garde cette endroit est remplie d'espion...qui ce ferait plaisire d'allĂ© gentiment te dĂ©noncĂ© au prĂšs de Malyssia...Kay s'arrĂȘta net suite au parole de C20...puis tournas lĂ©gĂšrement la tĂȘte vers Yondaime...puis comme ci il parlais seul il dĂ©crochat quelque parole qui en toute apparence n'Ă©tait pas destinĂ© au Ninja Ă  ça droite...C20 son nom...Namikaze...mais tout le monde l'appelle Yondaime...Avoue que tu aime pas sont nom...Tu me connais trop bien...Un homme ivre s'approchat vers les deux homme dĂ©geula partout sur le sol avant de tombĂ© dans ce qu'il venais de gerbĂ© sous le regarde de dĂ©dain cachĂ© du capuchon de l'hommeYondaime...j'ignor de comment tu est au courant...mais peut-importe...Kay emjanba l'homme Ă©tendus dans son extrans puis ce tira une chaise y prenant place regardant Subtillement autour de lui s'assurant qu'aucun espion les observais ou Ă©coutais...l'homme a la tabe Ă  gauche est un espion il a les yeux rivĂ© sur toi...dĂ©barasse toi en au plus vite...Avant mĂȘme que Yondaime sois assie Kay ce relevais mais fit signe Ă  l'homme en face de lui de gardĂ© ses fesses sur la chaise puis ce tourna ver l'homme a gauche puis pris direction vers le bar et "accidentellement il renversa la bier de l'espion...Oh...padonnĂ© ma mal adresse...puis-je vous payer un autre verre Histoire de m'excusĂ©Kay jouait parfaitement le jeux personne n'aurais plus ce doutĂ© que c'Ă©tait de la comĂ©die...J'te conseil fortement d'me payer un verre...ci t'as pas l'gout de t'faire dĂ©cpiter... RĂ©torqua l'homme d'un aire de chien sale a grande gueul...Kay partie a toute allure vers le grand bar en bois de chaine qui Ă©tait un peu Ă©corchĂ© par le temps et les nombreux consomateur qui y avait pris placeUne bierre j'vous pris...la plus forte ci possible...Compris rĂ©pondit-il souriantIl lui remplis un grand verres puis tendis la main dans la quelle dĂ©posat Kay une piĂšce d'or puis revenut vers l'homme de la table ce faufilant a travert les nombreuse personne et femme qui essillais de le sĂ©duire mais en mit la bierre sur la table puis se rassie a ça table en face de YondaimeTu crois pas y ĂȘtre allĂ© un peu fort...l'espion ne pris qu'une gorgĂ©e qu'il partais a vive allure a l'extĂ©rieure vomir tout ce qu'il avait pus boir,mangĂ© ou mĂȘme lichĂ© durant la semaine puis voulut rĂ©entrĂ© mais recommença a vomire abomdamentAlors yondaime comment a tu sue que je n'Ă©tait pas...bref tu sais de quoi je parle Yondaime Nombre de messages 108Date d'inscription 28/12/2007Feuille de personnageAmour Objets Sujet Re recontre imprĂ©vu..pv Kay Sam 9 FĂ©v - 103 Yondaime qui regardait maintenant son vers a semis plein attendit un instant regardant subtilement autour de lui pour ne pas ĂȘtre dĂ©couvers...De plus l'espion Ă©tait toujours en train de rĂ©gurgiter tout se qu'il avait et nous pouvions commencer a croire que la prochaine Ă©tape Ă©tait ses intestints... Il prit une derniĂšre gorgĂ© puis commenca son rĂ©sumĂ© a voix basse..."...j'ai pu s'avoir que tu n'Ă©tait... enfin... grĂące a certain pouvoir mental que je suis parvenu a dĂ©veloper... J'ai pu passer t'es barriĂšre mental pour m'assurer de quel...enfin que tu n'Ă©tait pas des leurs..."L'homme qui avait maintenant fini de gerbĂ© entra dans la taverne essuyant les coins de sa bouche qui devait sentir la pouriture en s'appuyant avec celle qui Ă©tait libre sur le cadre de porte...-Se salaud je vais le tuer !!L'homme avait d'assĂ© gros muscle et semblant trop confiant...Il fixait maintenant la table ou les trois Ă©taient assient et ne faisaient comme si derien n'Ă©tait puis l'homme pointa notre direction et commenca a se diriger vers eus... Ceci avait attirers le regards de certain vers Yondaime' Kay et C20 se qui n'Ă©tait pas bon..."suivez moi... affirma Yondaime a vois basse.."Ils se levĂšrent puis entrĂšrent plus profond dans la foule puis il sortirent par une porte a l'arriĂšre..."...nous ne devons pas nous dĂ©barasser de lu devant tout les regards de la foule dans la taverne... Je l'attendrai sur le toit en haut de la porte..rester vis a vis celle ci puis lorsqu'il sortira je le prendrai par derriĂšre et nous pourrons ensuite savoir pour qui il travail..."Tous Ă©taient a leur poste et attendaient la venu de l'homme qui aprĂšs de longues minuta apparu dans l'encadrure de la porte dĂ©labrĂ© semblant ne jamais ĂȘtre entretenu..celle-ci menait directement dans une ruelle sombre oĂč les mures n'Ă©taient gĂšres pris en considĂ©ration par les propriĂ©taires des lieux... Des fissures apparaisaient dans presque tout les recoins... des dĂ©chais Ă©taient aussi visible un peut partout dans la ruelle...- Hey!! pourquoi vous sauvez vous comme sa !? venez ici que je vous...mais..oĂč est le troisiĂšme..Sur ses paroles, l'homme recu un violent coup a la tĂȘte portĂ© par Yondaime qui c'Ă©tait glisser subtilement derriĂšre le gros homme, ivre... Ils allĂšrent dans un coin oĂč ils ne pourraient ĂȘtre appercu puis ils commencĂšrent a posĂ© les question a l'homme qui commencait a ouvrir les yeux... -eummmm....eummmm..eummm!!Celui-ci avait du tisu ficelĂ© autour de la bouche pour l'empĂȘcher de crier a son rĂ©veil...Il Ă©tait adossĂ© a un mur et il Ă©tait sous les regardes menacent des trois hommes..."...Je vais retirer se qui t'empĂȘche de parler prĂ©sentement et tu a intĂ©rait a me dire se que je veut savoir et de coopĂ©rer pour ton bien...Yondaime s'Ă©xĂ©cuta...Bon..premiĂšre question...Pour qui travail tu..?"-Je...je...je travail pour un homme qui travail lui dans les tyran..." ...eumm..Kay je te laisse la releive de l'intĂ©rogatoir... " InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re recontre imprĂ©vu..pv Kay Sam 9 FĂ©v - 1103 en passant tu ne vois pas C20 puisqu'il est seulement un oeil et il me comunique par un Ă©couteur dans mon oreilleOuais bonne idĂ©e...Ce minable ne ferat rien qui ne puisse me fait avouĂ© quoi que ce soit...vus ça carure Ă©crasĂ© une fourmie serait dur pour lui Dit t'il d'un sourire narquoisUn sourire ce dessinat sur les lĂšvres de Kay mais ce sourire personne ne le voyais tout comme sont regard qui Ă©tait invisible a quiconque...Puis il leva tranquillement une main allant la placĂ© a la gorge de l'hommeKay...n'utilise pas ce que je sais que tu veux faire...Kay ne rĂ©pondis pas puis levat l'homme au bras dĂ©mesurĂ© d'une seul main puis le lançat dans un tas de poubelle mais du mĂȘme coup les cordes lui retennant les main ce dĂ©tachaire ou du moin ce brissaire au plus grand plaisire de l'espion qui ce croyai nettement supĂ©rieure...Tu est plus fort que je le croyais je doit le reconnaitre Dit-il tout en ce relevant le regard sombre telle un tyransNe fait pas cette tĂȘte la tu ne rĂ©alise pas la chance que tu as d'ĂȘtre en vie... Marmonna Kay qui fit tournĂ© la tĂȘte de Yondaime qui ce demandais fortement ce que radotais KayNon Kay!!!...fait pas ça...pas un jeux... Dit la voix paniquĂ© de C20 dans l'oreille de Kay qui ne ce souciat guĂšre des propos de sont compagnonsl'espion sortie un couteau puis partie a courire a toute allure vers Kay qui serat le poing une lame sortie d'ou ce trouvais habituellement un doigt puis partie a courire a sont tour vers l' Ă©lança sont arme assĂ© rapidement por la grosseur de ces bras Kay la bloquat de sont arme puis ce panchat et toubionant un pied tendus la jambette fit entamĂ© a l'homme une chute avant que l'homme n'est touchĂ© le sol Kay empoignais un couteau Ă  ça ceinture et lui coupais les deux tandons fit une roulade vers la droite Ă©vitent l'arme qu'il venait de lancĂ© en direction de Kay celle-ci allait en direction du Kage Kay levas une main et un fil de fer sortie de la manche de l'homme et allat senroulĂ© autour de la fit un mouvement de main puis l'arme allat ce plantĂ© dans la jambe de l'espion qui ne pouvais plus ce levĂ© suite a ça coupureSale fils de pute ! Pleurnichat l'homme ne frappant violament le sol suite a la douleurMaintenant tu vas parlĂ©...comprisVas cheir sale enfoirĂ©...Dans ce cas nous allons jouĂ© a un jeux... Les paroles furent suivit d'un petit rire Kay sortie un parchemain avec plein de signe il tappa deux fois sur un et des menotte sortire de nul part il les attachat Ă  ça ceinture...Puis enjamba l'homme et le pris par le collet le trainant sur le sol sur le quelle Ă©tait Ă©tendus d'une incroyable quantitĂ© de vitre brisĂ© ce plantant dan le dos de l'homme Kay lamena en dessout d'une sorte de tuillau de mĂ©tal il lui mit les menotte au poignet et le pendus dans le videKay...tu sais que je peu le scanner et savoir pour qui il travaille...Je sais C20 mais ça fait un moment que je ne me suis pas amusĂ©...sot moi seulement sont nom...et la liste de ces crimes...on le connais sous le nom du focheur...personne ne connais sont vrais nom mais il ce nomme Marcus...avec un nom pareil je le comprend d'avoir un surnom... Dit kay entre deux pouf de rireil as violĂ© des femmes des enfant et des...hihihi....Quoi...Il a aussi violĂ© les chĂšvres du fermier...Kay commença a rire sans que personne ne comprĂšne pourquois puis redevin serieux...et allat vers l'homme pendusNous allons jouĂ© a un jeu...dans cette partie ton but est de ne pas renier t'es conviction...Dit moi Marcus Les yeux de l'espion changĂšre a la prononciation de sont nom Que ressentu quands tu te fait violĂ© a tont tours...Cette fois ces toi la chĂšvre...Kay souriait en immaginant le gros homme gras en face de lui baiser une chĂšvre Je ci tu rĂ©ussit le jeux tu partiras...ci tu Ă©choue...bien je te le dis pas sinon l'intrigue serat brisĂ©...Kay enleva les pantalons de l'homme suivit de ces boxeur...puis sortie des Ă©guille ninja sous les regard terrifiĂ© de tousTu...tu ne vas pas... Dit l'homme avec mal suite au tromatismeQue la partie commence...Kay s'Ă©loignant ne tournant jamais dos a l'homme pour ne pas qu'il tente quoi que ce soit...Puis lança la premiĂšre Ă©guille qui transperças la couille gauche de l'homme qui criat de douleur mais personne ne l'entendrais dans un coin perdus comme celui-ci les l'Arme lui coulais sur les joue de l'espionJe vais parlĂ© arrĂȘte je t'en suplie...Kay souriat puis s'approchat voyant l'homme sangloterPour qui travaille-tu ?Pour Gaara...on devait ce rancontrĂ© dans ce bar...pour prĂ©voire les assault a portĂ© sur les ville entourante...Puis soudaint la porte par la quelle ils Ă©tait arrivĂ© dans la ruelle dĂ©ffonçat et 5 gros bras firent une entrĂ© puis vire leur colĂšgue dans une bien mauvaise Ă©tasTuĂ© moi les gars...avant qu'il me fasse tout dire...il es malade ce gars...la il m'As levĂ© Ă  une main...Yondaime dĂ©barasse toi d'eux... Yondaime Nombre de messages 108Date d'inscription 28/12/2007Feuille de personnageAmour Objets Sujet Re recontre imprĂ©vu..pv Kay Sam 9 FĂ©v - 1156 Yondaime afficha un sourir sous les paroles de Kay... Il craqua ses poingnets et son coup puis en avancent lentement vers les gardes.."...merci de me les laisser...je vais pouvoir moi aussi m'amuser......aller amenez-vous..!"Yondaime avait repris un aire neutre et attendait avec impatience la premiĂšre attaque des gros muscles qui arriva asser cour moment plus tard... L'un d'eus courrait en direction de Yondaime puis quand il vint pour lui assener un coup de poing, celui-ci passa dans le vide car Yondaime venait de disparaitre... Il recu trois shurikens dans le dos et cria de douleur..- Sale merdeux !!! tu va m'le payĂ©!! Sur cette affolation il recu un violent coup de genou au ventre puis il s'affeca au sol aprĂšs la jambette de Yondaime... Deux autres foncaient vers lui puis les coups portĂ©s par ceux-ci furent tous bloquers par Yondaime puis il assena un coup de poing au ventre d'un des deux attaquants suivit d'un autre et pour finir, il recu un violent coup de coude a la gorge... Il assena ensuite de puissant coup de pied dans le ventre du dernier en tournant puis le dernier fit lever de terre le gros bĂ©tta... celui-ci fut projeter loin dans les aires et lorsqu'il retomba tĂȘte premiĂšre, il vit Yondaime apparaitre en face de lui puis celui-ci lui assena un violent coup avec la paume qui fit propulsĂ© l'homme a grande distance... Il tourna la tĂȘte vers un des autres hommes qui semblait tromatiser par la puissance de Yondaime puis lorsqu'il croisa le regard de Yondaime, tout commenca a devenir noir autour de lui... La noirsoeur commencait a lui monter dessu et l'homme criait de toute ses forces mais en faite rien ne se passait rĂ©ellement et ceci Ă©tait entrain de lui cosĂ© des domages mentaux a cause d'un des pouvoirs mental de Yondaime... -Quest-ce que tu a!? pourquoi tu cris coomme sa!? dit l'homme situĂ© qui le regardait avec un aire paniquer..-ahhhhahhhhhhahaahh.....argggg....aaaa..puis tout a coup tout redevint normal autour de l'homme qui affichait un visage dĂ©fomer par la peur et il tremblait au sol se tenant la tĂȘte a deux mains...-Quest-ce que tu lui a fait !?"..nihihi..bande dĂ©bĂ©cile..."Yondaime apparu derriĂšre l'homme puis lui planta un Kunai dans le dos a la hauteur du coeur et celui-ci s'affesa sur le sol et fut laisser pour mort...Le dernier foncait maintenant vers Kay mais Yondaime lanca un Kunai qui passa a deux pouces de sa tĂȘte puis il apparu, attrapant le kunai lancĂ© puis il assena un coup de pied au ventre de l'homme puis ensuite en sautant, un coup de genou au visage pour finir avec un coup de coude au torse qui le fit tomber au sol, essaillant de respirer normalement... Yondaime placa son Kunai a la gorge de l'homme.."..puisque ton ami ne veut pas encore parler, je vais devoir te demander de coopĂ©rer et de rĂ©pondre gentilment a mes questions... pourquoi votre espion nous a t-il suivit si il n'Ă©tait que lĂ  pour rencontrer votre supĂ©rieur..gaara...?"-Je prĂ©faire mourir que de te dire notre but..!"...Mauvaise rĂ©ponse..dit t-il sur un ton menacent.."Yondaime leva le gros tat a une main puis le placarda a un mur... Il cloua celui-ci au mur en lui plantant avec violence un kunai dans la main... Il lui assena ensuite un coup de poing au ventre le faisant pencher et cela entament encore plus de douleur dans sa main..."..Kay je crois que bous pouvons tuer celui qui est de ton cĂŽtĂ©... tu pourras si tu veut continuer le travail que j'ai commencĂ©..." InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re recontre imprĂ©vu..pv Kay Mer 13 FĂ©v - 1023 Kay ne porta pas attencion a Yondaime qui Ă©tait en train de flanquer une racler au gros bras tendis que l'autre homme pendus par les poignet observais la scĂšne le gros je vais te posĂ© des Questions...et gentiment tu vas rĂ©pondre...ces La vie ou la mort...fait ton choix dit Kay sur un ton de voix qui mettai frissont dans le dosci il ne parle pas tu fait quoi ?Kay ne porta pas attencion a ce que C20 devait ce concentrĂ© sur l'homme en face de lui a la couille tu est un espion logiquement tu espionnais quelqun pour Gaara...qui espionnais tu ?La mort...Kay ouvrit une petite pochette a ça ceinture qui semblais vide mais pourtant il en sortie un couteau et coupa immĂ©diatement la gorge de l'homme envoyant du sang dans tout les partie est terminerKay ce retourna brusquement vers la sortie de la ruelle d'oĂč arriveait maintenant une dizaine d' s'avençat vers eux en marchantCeux la je l'ai prend... Dit Kay en voyant Yondaime ce levĂ© pour allĂ© les rejoindre mais il retourna sont regard sur l'homme au solOccupe toi de l'interogatoire...C20 qui sont ces hommes ?celon mes information ils font tous partie d'un gros gangne de rues de cette ville. Il sont fort mais lent...et utilise tous des Arme mĂ©diĂ©val...aucune arme a feux...tu devrait t'amusĂ©Tu marque un point !Le premier gros bras sortie ses mains de ses poche et Ă  ces jointure ce trouvais des poing amĂ©ricain en mĂ©tal tranchant. Il partie a vive allure plus rapidement que Kay le croyait pour un homme de sont gĂ©ant Ă©lança sont poing en direction fendant l'Aire de sont point amĂ©ricain. Kay sauta puis mit une main sur limance Ă©paule du Titan et plustot de sautĂ© deriĂšre l'homme il mit ces pied sur le mur et courut jusqua ce que ces pied ne touche pus le mur de ça main il tourna ramenant agilement ces pied vers l'ArriĂšre de la tĂȘte de l'homme qui fut dĂ©capĂ© du sol et envoyĂ© dans le mur en rebondissant sur le sol avec douleur suite au coupure engendrĂ© par la vitres Ă©parpiller sur le qui le tours ? Dit kay voyant que tout les yeux Ă©tait rivĂ© sur lui mĂȘme le gros que Yondaime avait clouĂ© ne ce dĂ©batais plusMerde! ces quoi ce gars la...Un autre n'ayant pas vus ce qui venait de ce passĂ© avec son colĂšgue dessidat de chargĂ© seul un Katana levĂ© une fois Kay Ă  portĂ© de ça lame il fendit d'un coup a l'horisontal que Kay bloqua... avec la semelle de son soulier droit en mĂ©tal. Il empoigna le poignet et l'homme apliqua un peu de pression et la main de l'homme relachat sont Ă©trainte de l'arme Kay fit un mouvement et l'Ă©pĂ©e fut envoyĂ© dans les aire. Il ce sevit du corp du gros puis courut dessut une fois les pied sur le torse il sauta en tourna horisontalement sur lui mĂȘme il empoigna le manche de l'Ă©pĂ©e ninja et continuas de tournĂ© sur lui mĂȘme faisant comme un cie il coupat le dos de l'homme qui entama une chute de face au sol mais avant qu'il est touchĂ© le sol Kay levat une main et un fils de mĂ©tal entra dans la plaie en fit resortire la colonne vertĂ©brale l'Ă©germent le paralisant sous ces nombreux cris on ce replis ? Dit l'un d'entre eux d'une voix de profond tromatismeOUI!!!! Criat un autre qui Ă©tait probablement le chefooooooh non! vous ne partirĂ© pas comme çaKay sortie des petite boule de mĂ©tal d'un de ces poche et les lançat au dessut des homme. Les boule de la groseur d'une bille explosaire et de petite couteau j'aillire de partout sur les hommes qui tombairent comme des mouche en lessantun seul sur pied. Kay lui lançat un shuriken qu'il ne pus Ă©vitĂ© suite a la vitesse de l'armeVraiment tu serat toujours mon idole KayMerci C20 Dit kay en ce retournant vers Yondaime fixant l'homme toujours clouĂ© au murIl a parlĂ© ? Yondaime Nombre de messages 108Date d'inscription 28/12/2007Feuille de personnageAmour Objets Sujet Re recontre imprĂ©vu..pv Kay Mer 13 FĂ©v - 1446 Yondaime qui avait son Kunai a la gorge de l'homme continua de le regarder dans les yeux puis dit a Kay.."...heumm...il n'a toujours rien dit....bon je devrai te faire avouĂ© avec la force, dit t-il sur un ton menacant"Tout a coup, l'homme vit que tout devenait embrouiller autour de lui et que les mur commencait a ondulĂ© et se dĂ©formĂ©... Yondaime n'Ă©tait maintenant plus la et le mur auquel il Ă©tait clouĂ© commencait a le recouvrir puis il vit un de ses bras disparaitre dans le mur... son autre bras lui se vit arracher violement se qui lui fit poussĂ© un crit de douleur attroce... ceci ne se passait que dans le mental de l'homme mais il pouvait ressentir la douleur... ses jambes commencait a se dĂ©former et son ventre lui tournait lentement laissant une douleur insuportable a l'homme...-..haaaaaaaaaaaaaaa...je...haaaa...qu'est ce qui se passe !! haaaaa!tout son corp sauf la tĂȘte Ă©tait maintenant entrain d'ondulĂ© et de dĂ©ttacher a certain endroit puis tout a coup, tout commencait a redevenir normal puis minute par minute il regagnait sa vut normal appercevant maintenant Yondaime et Kay en face de lui..."...maintenant parle ou je recommence....."-d'acc...d'accord...je...je vais parl...je vais parler....nous avons Ă©tĂ© envoy...envoyer pour vous espionez...nous avons Ă©tĂ© aviser de....de votre arriver et...et nous devions vous suivre et rapporter to...tout les dĂ©tails a...a gaar...l'homme nu pas le temp de finir sa phrase puis il se vut transpercer le ventre par un Kunai et mourir, clouĂ© au mur... nous pouvions voirent une marre de sang se créé dans le bas du mur..."...je crois que nous devrions maintenant quitter... quand pense tu..?" InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re recontre imprĂ©vu..pv Kay Mer 13 FĂ©v - 1508 Kay fonçat les sourcis sous sont capuchon puis commença a serĂ©t les point Ă©coutant ce que l'homme avait a dire puis juste comme il allait dire quelque chose Yondaime le tua Kay tourna la tĂȘte et empoigna la gorge du Ninja et le plaquas dans un mur apparament gras suuite au manque d'igienne de cette rue Kay qui apparament n'Ă©tait pas de bonne humeur ce qui fachat un peu YondaimeToi aussi tu as remarquĂ© Kay...Tu n'est qu'un sale Idiot! Merde tu n'as rien vus dans son mensonge...Notre rencontre n'Ă©tait pas prĂ©vus ici! Merde tu t'est fait roulĂ© comme un dĂ©butant...Je t'Ai dit de te chargĂ© de l'interogatoir pas de le tuĂ©...esseille d'ĂȘtre plus vigilant a l'avenir...Saisie ? Dit kay d'un ton de voix colĂšrique tout en relachant la gorge du NinjaJe sais ce que vous pourriez ?regarde çaKay ferma l'oeil droite qui Ă©tait sont oeil normal et dans l'autre une carte s'affichat montrant les plan de la ville et un X rouge indiquait l'emplacement du quartier gĂ©nĂ©ral du gagne de rues...IntĂ©ressant...Yondaime je sais ou ce trouve leurs Qg ça te dis d'allĂ© y faire un tours ou tu prĂ©fert restĂ© ici a te regardĂ© le nombris ? Demanda Kay qui ce doutais bien de la rĂ©ponce du Ninja blond Yondaime Nombre de messages 108Date d'inscription 28/12/2007Feuille de personnageAmour Objets Sujet Re recontre imprĂ©vu..pv Kay Mer 13 FĂ©v - 1527 Yondaime avait maintenant la tĂȘte baisser et sans que Kay ne puisse voir celui-ci serrait les dents... il ferma le poing puis leva la tĂȘte vers Kay..."..ne..me..touche pas..."Celui-ci empoigna a son tour le collet de Kay et celui-ci fit demĂȘme... Il se regardĂšrent, serrant les dents... Puis, Yondaime le repoussa..."....je veux savoir oĂč se trouve ses conards alors allons y..mais...ne remait jamais la main sur moi...Yondaime regardait au bout de la ruelle attendant Kay pour qu'ils aillent rendre une petite visite au gang qui les avait attaquĂ©s... *..eum..je serrai bien obliger de travailler avec lui...pour l'instant...* InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re recontre imprĂ©vu..pv Kay Mer 13 FĂ©v - 1538 ça commença par un sourire suivit d'un pouf de rire avant qu'il ne ce mette a crampĂ© suite a la rĂ©action de croyait faire peur Ă  un homme comme Kay il ce trompais fortement et tout ceux qui connaissait vraiment Kay le savait puis il finit par arrĂȘter de rire et approchat de l'homme au cheveux blond de ça dĂ©marche habituelleCes pas car tu as le rang de Kage que tu me fait peur ,Namikaze Minato. Dit-Kay Sachant parfaitement que Yondaime n'aimerais pas ce faire appeler incis mais cela l'Importait peu puis il partie a courire a travers les rues de la villesVous ĂȘtes suivitj'avait remarquĂ© mais je m'en fou ci il nous suivent ces que l'on s'approche de leur campement Yondaime Nombre de messages 108Date d'inscription 28/12/2007Feuille de personnageAmour Objets Sujet Re recontre imprĂ©vu..pv Kay Mer 13 FĂ©v - 1709 Yondaime regardait Kay maintenant avec amusemant... Il riait car ont aurraient pu croire que celui-ci se croiyait bien supĂ©rieur... Yondaime ne repondit pas et suivis Kay avec un sourir en coin..."...ceux qui nous suives ne son pas bien fort... ont doit approcher..."Yondaime suivais Kay en regardant parfois a l'arriĂšre pour voir si il serrait capable d'appercevoir les tipes qui les suivaient mais non.. aucune trace a la vue mais il pouvait sentir leur aura... Ils Ă©taient cinq... Il regarda derriĂšre puis vient que les hommes Ă©taient derriĂšre eu..." que fesons nous..ont les affrontes ou ont atend d'ĂȘtre arriver a leur QG?"Ils Ă©taient asser grands et avaient de gros muscles mais ils semblaient lent... Contenu sponsorisĂ© recontre imprĂ©vu..pv Kay Cesquestions peuvent porter sur leurs expĂ©riences, leurs favoris, leurs passe-temps, leurs intĂ©rĂȘts et des sujets plus adaptĂ©s aux enfants qui les garderont sous tension pour l'activitĂ© prĂ©vue pour eux. Voici une liste de bonnes questions brise-glace qui aideront les enfants Ă 
Le Deal du moment -33% Jumbee Roundnet – Jeu de plein air Ă  ... Voir le deal € MÉFAITS ACCOMPLISℱ Corbeille &&. ANCIENS RP AuteurMessageMylie d'InvitĂ©Sujet Douce brise et bouche en sang! Mar 13 Juin 2006 - 2109 Il Ă©tait tard mais emportĂ© par sa folie, Mylie ne vit mĂȘme pas qu'elle Ă©tait sortit. Le Bal de NoĂ«l l'avait tellement, on va dire, elle n'Ă©tait rester que quelques minutes assise Ă  regarder. MalgrĂ© cela, Toutes ses personnes Ă©taient lĂ  Ă  s'amuser et Mylie s'imagnina encore et toujours qu'elle Ă©tait subitement Ă©tait tout de mĂȘme partit puisqu'elle s'Ă©tait retrouvĂ© devant le lac. Dans sa robe de bal, la petite frĂȘle se regarda dans le lac et toute la magie de sa folie disparu. Elle saignait abondament de la lĂšvre infĂ©rieur car avec ses canines aguisĂ©es, elle s'Ă©tait mordillĂ©. Mais sans y faire attention elle se posa sur l'herbe froide et observa son reflet grĂące au claire de lune qui devait ĂȘtre propice pour l'Astrologie et l'Astronomie. Elle vit dans ses rĂȘves le professeur de Divination observait le ciel, glissait malencontreusement sur une de ses parchemins et tombait de sa tour en laissant entendre un beau 'crack'.Puis elle se laissa encore rĂȘver un peu tout en regardant le ciel et en efflerant de son doigt l'eau glacĂ©. Elle Ă©tait appuyĂ© d'une main. Elle enleva son petit chapeau, planta difficilement sa canne dans le sol et posa son couvre-chef sur la tĂȘte de son beau et souple roseau [sa canne]. Elle sentait le sang mĂ©langĂ© au noir Ă  lĂšvres couler sur son menton mais la poupĂ©e de porcelaine ne fit rien. De toute façon personne n'allait venir alors Ă  quoi bon paraĂźtre sans vie et sans coeur. Ce liquide rouge Ă©tait la preuve qu'elle vivait, oui elle n'Ă©tait pas sans coeur et on pouvait croire que son Ăąme Ă©tait bien dans son petit corps. La jeune fille ferma les yeux et laissa le vent froid lui caressait le visage. Elle allait surement tomber malade mais elle n'avait pas souvent location de prendre l'air et puis la nuit Ă©tait si belle. De toute façon elle Ă©tait perdu et elle ne savait pas comment revenir Ă  Poudlard. Elle allait sĂ»rement dormir dehors et peut-ĂȘtre mĂȘme mourir de froid sachant que sans manteau et que personne ne se promener au bord du lac la nuit. La sorciĂšre avait vraiment une chance minime de rencontrer quelqu'un ici et puis elle n'avait pas vraiment l'envi de parler en ce moment de relaxation. Le froid commençait Ă  s'emparer de la jeune fille mais la seule chose qu'elle fit, fut de frissonnait lĂ©gĂšrement. Un vampire a Ă©ternellement froid mais pourquoi elle, oui elle, elle devrait avoir la chance de sentir le soleil sur sa peau quand elle l'en laissait l'auccasion. Erwan StInvitĂ©Sujet Re Douce brise et bouche en sang! Mar 13 Juin 2006 - 2124 Erwan Ă©tait assis dans un arbre non prĂšs de la et il observait la scĂšne il vue trĂšs bien que cette fille n'Ă©tait pas habiller normalement puis il se rappela du bal lui n'y allait jamais car il n'avait pas de cavaliĂšre puis il lui dit de loin "Que faite vous ici alors que vous ĂȘtes habiller pour allez au bal se n'est pas logique a moins que vous vous ĂȘtes trompez d'endroit"il descendit de son perchoir e sautant puis s'avança. Cette fille Ă©tait trĂšs mignonne pourquoi Ă©tait telle la au lieu d'ĂȘtre avec un beau jeune homme a danser s'assit a coter de lui et lui dit "Alors" Erwan regarda autour de lui toute cette neige c'Ă©tait magnifique il adorait la neige mais pour lui sa lui rappelait le jour de la mort de c'est parent il Ă©tait calme il regardait le lac tout e regardant le chĂąteau qui resplendissait car le Bal avait commencer puis il la regarda elle Ă©tait encore plus magnifique que de loin avec c'est petite canine puis il vit le sang elle avait du se faire mal mais il ne sent occupa pas et atenda a rĂ©ponse... Mylie d'InvitĂ©Sujet Re Douce brise et bouche en sang! Mar 13 Juin 2006 - 2148 Mylie qui Ă©tait un peu dans ses rĂȘves comme Ă  son habitude, sursauta quand le son d'un voix masculine efflera ses oreilles. Elle se leva avec une vitesse phĂ©nomenale, la jeune fille ne vit pas tout de suite le possĂ©sseur de la voix mais elle entendit un bruit sourd et vit un jeune homme qui venait du haut d'un arbre. Elle fit une petit coubette de courtoisie Ă  la vue de la personne qui lui avait posĂ© un question. Il l'avait vouvoyĂ© quelle bonheur, elle ne serait pas la seule Ă  parler avec cette manie de noble. Elle prit une inspiration profonde et se dĂ©cida Ă  parler quand le jeune homme l'insita Ă  rĂ©pondre avec son 'Alors'. "Euh.... Et bien, vous avez raison, je viens du Bal de NoĂ«l mais normalement je m'habille Ă  peu prĂȘt de la mĂȘme façon quand je ne suis pas en uniforme. Il y avait trop de monde au bal et................ puis personne m'a demandĂ© de l'accompagnĂ© comme cavaliĂšre."Avoua-t-elle avec son accent français en rougissant n'Ă©tait pas de son habitude de rougir, en faite elle ne se rappellait pas d'avoir dĂ©jĂ  rougit de sa vie sauf peut-ĂȘtre un peu avant la mort de son grand frĂšre quand il avait voulu se venger sur la pauvre petite fille qu'elle Ă©tait. Soudain elle se rendit compte que le jeune homme avait repĂ©rer le sang qui coulait sur son menton. Elle avait complĂȘtement oublier ce liquide rouge. Elle prit un mouchoir en tissus et s'Ă©pongea Ă  l'aveuglette le menton et sa lĂšvre se qui ne fut pas un rĂ©sultat satisfaisant. Erwan StInvitĂ©Sujet Re Douce brise et bouche en sang! Mer 14 Juin 2006 - 1341 Erwan la regardait elle Ă©tait s belle sa le dĂ©solait qu'elle n'avait pas pu trouver de Cavalier puis pour cassez cette ambiance il dit "Moi c'est Erwan je suis en 4e annĂ©e a Serpentard et vous"Il ne savait pas quoi dire d'autre c'est vrais il n'avait que sa comme identitĂ© puis il la regarda il craquait devant une telle beautĂ© puis quand elle rougissait elle Ă©tait encore plus belle mais il ne craquerait pas puis la neige s'arrĂȘta de tomber le lac Ă©tait complĂštement geler il le regardait et les voyait tout les deux puis la regarda droit dans les yeux puis il se pencha plutĂŽt sur c'est petite canine elle Ă©tait plutĂŽt mignonne avec puis il atenda vivement sa rĂ©ponse ou plutĂŽt sa prĂ©sentation mais il la laissa rĂ©flĂ©chir autant quelle voulait de toute façon tant que sont frĂšre n'arrivait pas il avait tout le temps... Mylie d'InvitĂ©Sujet Re Douce brise et bouche en sang! Mer 14 Juin 2006 - 1442 Mylie Ă©tait un peu mal Ă  l'aise avec ce jeune homme qui l'examinait comme un rat de laboratoire. Mais son visage ne montra aucune gĂȘne comme Ă  son habitude. la jeune fille passa sa main dans ses cheveux rapidement et se reprit, il fallait analyser discrĂȘtement chaque de ses gestes pour dĂ©busquer sa vrai personnalitĂ©. Elle s'Ă©pongea encore un peu le sang qui essayer de s'Ă©chapper de sa lĂšvre infĂ©rieur et Ă©couta ce qu'il disait. Il s'appellait donc Erwan et Ă©tait dans la mĂȘme maison et la mĂȘme annĂ©e qu'elle mĂȘme."Je me nomme Mylie d'Occido et je suis Ă  Serpentard en quatriĂšme annĂ©e exactement comme vous."Elle resta parfaitement immobile malgrĂ© un peur inexpliquable d'une chose qui n'Ă©tait point descrivable. Elle avait voulu reculer mais Erwan aurait pu se vexer. En faite il lui manquait quelque chose, c'est pour ça que la peur invisible la tourmentait. Mais qu'est-ce qui lui faisait si peur et se tourna lĂ©gĂšrement et vit sa canne et son petit chapeau loin d'elle, elle rangea son mouchoir en soie dans une de ses poches. La poupĂ©e de porcelaine Ă©tait rassurait, sa peur avait disparu en un coup d'oeil Ă  droite. Soudain elle remarqua les yeux rouge du jeune homme, dans la nuit, il Ă©tait difficile de voir les couleurs mais grĂące au blanc pure de la neige, le ciel avait l'air plus claire et on voyait presque comme en plein jour. Mylie frissonna lĂ©gĂšrement encore une fois, il faisait froid mais Mylie ne pouvait rien y faire, elle restait plantĂ© lĂ  Ă  essayer de discuter avec un inconnue alors qu'elle n'Ă©tait pas du tout sociale."Vous vous promenez souvent vers le lac?"Demanda-t-elle ne fassant pas quoi dire d' attendit qu'il rĂ©ponde et le regarda de ses yeux d'un gris profond. Erwan StInvitĂ©Sujet Re Douce brise et bouche en sang! Mer 14 Juin 2006 - 1831 il regardait la lune qui Ă©tait magnifique tout comme cette jeune file puis il lui rĂ©pondit "Que pour les rare ocasion comme aujourd'hui"ce Bal l'avait tourmenter il ne pouvait rien faire mais surtout pas y allez seul Erwan n'avait jamais eut de chance apart la nuits d'hiver de la mort de ses parents ou son frĂšre l'avait Ă©pargner puis lui dit "pourquoi ne retourner vous pas au bal ?"C'est vrais elle Ă©tait bien habiller et tres jolie au lieu de rester ici alors qu'elle aurait froid et qu'elle s'emmurait avec lui mais bon il continua a regarder la lune c'est yeux Ă©tait de plus en plus rouge sang puis il sou ria se qui ne lui Ă©tait pas arriver depuis que son pĂšre l'avait fĂ©liciter avant de mourir puis il attendit la rĂ©ponse de cette jolie jeune fille qui son visage au contact de la lune brillait et la ravissait encore plus dans cette Ă©tat puis elle lui rĂ©pondit... Mylie d'InvitĂ©Sujet Re Douce brise et bouche en sang! Jeu 15 Juin 2006 - 1524 La jeune Serpentard eut le plaisir de voir que le jeune homme avait tournĂ© son regard vers la lune, se qui embarrasserait en peu moins Mylie. Le prĂ©nommĂ© Erwan lui posa encore une question aprĂšs sa rĂ©ponse plutĂŽt Ă©trange. Retourner au bal? Quelle drĂŽle de question. Mais Mylie rĂ©pondit tout de mĂȘme avec son accent français."Je n'aime pas les bals. En faite je n'aime plus les bals. »Confia-t-elle avec un regard lasse vers le sol petite française se retourna vers l'Ă©tranger qui souriait. Personne de ça famille lui avait jamais sourit et elle n'avait jamais sourit Ă  personne mĂȘme pas par courtoisie quand elle croisait quelqu'un dans la rue. De toute façon, elle ne se promenait jamais vraiment et donc elle n'avait pas Ă  sourire aux passants. Alors cela lui faisait bizarre de voir quelqu'un afficher un sourire aussi sincĂšre mais ce n'Ă©tait pas la seul fois oĂč une personne la surprenait comme cela. Elle voyait qu’il n’avait pas l’habitude de sourire mais tout de mĂȘme pour cette jeune fille c’était Ă©trange. En faite elle souriait mais seulement quand elle se prenait pour un vampire et puis c'Ă©tait un sourire carnassier qui apparaissait Ă  coup son regard absent se figĂšrent Ă  la vue des yeux de son compagnon de discussion. Ces yeux Ă©taient d'un dĂ©licieux rouge sang, pendant le bal, il y avait trop de monde et elle n'avait pas su choisir sa 'proie' mais mĂȘme en faisant quelqu'un Ă©tait venu Ă  elle. Mylie Ă©tait comme hypnotisĂ©e, elle Ă©tait devenu une statue qui attendait qu'on la resta pendant un moment immobile Ă  regarder les yeux de son locuteur puis elle fit un tour d'horizon. On pouvait voir au loin les lumiĂšres de Poudlard qui scintillaient dans le noir Ă©clairĂ© par la neige, en faite elle n'Ă©tait pas si perdu que cela. La civilisation Ă©tait loin, ils Ă©taient donc un peu isolĂ©s. Elle s'approcha un peu plus du jeune homme et son visage commença Ă  devenir machiavĂ©lique. Elle avait encore le goĂ»t de son sang dans sa bouche et tout cela lui monta Ă  la tĂȘte rapidement mais avant d'ĂȘtre incontrĂŽlable, elle tourna la tĂȘte pour vĂ©rifier si sa canne et son couvre-chef Ă©taient toujours lĂ  mais comme elle Ă©tait au bord de l'eau, Mylie vit son reflet et toute sa folie disparu d'un coup, son visage redevint sans Ă©motion et elle recula d'un pas. Le pauvre garçon avait risquer d'ĂȘtre mordu alors qu'il avait l'air d'ĂȘtre 'gentil' avec elle. Mais le terme gentil n'Ă©tait de toute façon rien pour Mylie et elle confondait gentillesse et veangence Ă  cause son grand frĂšre dĂ©funt. Elle baissa les yeux dun air déçu, il ne lappartenait pas encore alors elle ne pouvait pas choisit si elle devait le dĂ©guster ou pas. A BeaubĂątons, l’autre gus lui appartenait presque c’était devenu un ami et elle aurait pu le goĂ»ter mais la brute lui en avait en quelque sorte empĂȘchĂ©. Elle voulait en savoir plus sur ce garçon pour mieux possĂ©der aprĂšs, alors elle prit la parole. [b] Veuillez excusez mon indiscrĂ©tion mais que faites-vous ici. Il fait froid et de nombreuses crĂ©atures rodent tout prĂȘt, vous ĂȘtes seul et

 il pourrait vous arriver quelque chose malgrĂ© votre maniement de la baguette et des formules. » Murmurait-t-elle presque, entre ses canines acĂ©rĂ©s. Erwan StInvitĂ©Sujet Re Douce brise et bouche en sang! Jeu 15 Juin 2006 - 1851 Erwan vu que la fille s'approchait puis il la vue commença a devenir blizzard mais il ne broncha pas il fit tout comme si elle Ă©tait normal il continuait a regarder la lune puis ses yeux changea pour devenir un autre oeil puis pour dĂ©tourner sa question il dit "Mord moi si tu veut mais je te prĂ©viens je change facilement en combat..."puis il pensa qu'elle ne lui donnerait pas le privilege de devenir un vampire puis il repensa a son frĂšre et se dit qu'il ne le tuerait pas en restant sans s'entraĂźner mais il ressentait une chose en regardant cette fille une chose qu'il n'avait jamais resentit pour une autre fille au pars avant puis il essaya de faire fuir se sentiment avant de la faire fuir elle ! Puis il attendit la rĂ©action de cette file elle seul dĂ©ciderait de sa mort elle seul Ă©tait la juge, elle seul pouvait dĂ©cider des sentiment de mort ou d'amitiĂ©... Mylie d'InvitĂ©Sujet Re Douce brise et bouche en sang! Jeu 15 Juin 2006 - 1942 Mylie fut Ă©tonnĂ©e par la rĂ©action du jeune homme. Pourquoi disait-il qu'elle pouvait le mordre? Elle ne pouvait pas le savoir. Elle ne le regardait plus dans les yeux de peur de s'emporter un peu trop vite et de le mordre. Elle ne le connaissait pas encore assez pour risquer quoi que se soit. Erwan n'avait pas rĂ©pondu Ă  sa question et ça ne sevirait Ă  rien de la reposer. Elle commençait Ă  avoir des crampes aux jambes alors la poupĂ©e de porcelaine se posa sur la neige foide malgrĂ© ses jambes dĂ©couvertes. Elle aimait bien sentir le froide de la neige la bruler, la piquer alors que normalement la neige Ă©tait si douce si fraĂźche. Non elle n'Ă©tait pas masochiste mais elle n'allait pas tout de mĂȘme rester dans cette position dĂ©sagrĂ©able pendant tout la discussion avec le jeune homme, ĂȘtre debout, parfaitement droite l'ennuyait Ă  un point, cela lui faisait repenser au conduite de bonne maniĂšre avec sa nourice qui punissait tout le temps Junior car il essayait de voir Mylie.*Pauvre frĂšre il a tellement voulu me voir qu'il s'est fait battre par cette affreuse nourice! De toute façon on s'est vu et il s'est vengĂ© comme il avait prĂ©vu!*La jeune fille n'osait plus parler de peur que sa futur proie parte ennuyĂ© par cette conversation inutile. Mais de toute façon il l'allait peut-ĂȘtre partir par l'ennui de cette fille muette. Aucune idĂ©e mais elle ne prĂ©fĂ©ra par entammer une discussion. Alors elle rĂȘvassait tout en Ă©vitant les yeux d'Erwan ne sachant pas qu'ils avaient changĂ©s de couleur. Le ciel Ă©toilĂ©s Ă©tait si beau, cela lui faisait pensĂ©e Ă  rien de spĂ©cial mais elle pouvait toujours s'imaginer qu'il y aurait des mĂ©tĂ©orite qui s'abbatraient sur la pauvre planĂȘte Terre et que tout ces moldus ennuyant succomberaient et que tout ses sorciers qui ne servent Ă  rien un peu comme elle pĂ©riraient avant mĂȘme de sortir leurs baguettes. Toutes ses idĂ©es morbides, elle se les gardaient pour elle et dans un silence infinie, elle resta immobile dans la neige attendant que le temps passe. Erwan StInvitĂ©Sujet Re Douce brise et bouche en sang! Jeu 15 Juin 2006 - 2018 Ne savant pas quoi faire il regarda cette fille puis il se dit qu'il n'aurait pas du la dĂ©ranger puis il repensa a son frĂšre et la haine commença a passer mais il ne fit aucune expression pouvant le montrer puis il entendu un bruit derriĂšre lui et se leva a une vitesse. IL avait vu juste il y avait un loup qui Ă©tait sortit de la foret Erwan sortit sa baguette et se dit *C'est le moment de me dĂ©fouler un peu* pointa l'animal qui lest avait vu et qu'il leurs fonçait dessus puis il dit pour en finir il dit en criant avec une expression de haine sur le visage "NERICTO VERTARETE " l'animal fut projeter dans la foret mort bien sur puis il se retourna vers la jeune fille et son visage n'avait plus de haine mais c'est yeux Ă©tait de plus en plus rouge puis il dit "Sa rĂ©pond a votre question ?" puis il attendit une rĂ©action de cette fille... Mylie d'InvitĂ©Sujet Re Douce brise et bouche en sang! Jeu 15 Juin 2006 - 2238 Mylie entendit quelque chose foncĂ© sur eux mais n'eut mĂȘme pas le temps de se tourner que le jeune homme hurlait une formule dont la Serpentard n'avait pas bien compris la diction. La pauvre bĂȘte fut balancĂ© vers la forĂȘt interdite, la jeune fille Ă©tait un peu déçu que se soit si rapide, elle adorait les combats long. Effectivement Erwan avait rĂ©pondu Ă  sa question mais elle n'Ă©tait pas satisfaite pour autant."Il n'y a pas que des loups dans cette forĂȘt."rĂ©torqua-t-elle simplement sans le regarder dans les yeux comme elle avait prit rapidement l' Ă©tait restĂ© assise le regardant du coin de l'oeil. Il avait l'air d'ĂȘtre furieux. Elle avait tout ratĂ©, ce n'Ă©tait pas la bonne proie peut-ĂȘtre. De toute façon elle n'Ă©tait pas un vampire et elle n'en serait sĂ»rement jamais un Ă  son grand malheur. Les vampires ne s'attaquĂ© pas au jeune gens et puis il tuait directement les personne Ă  l'aspect de faible. La seule chose qu'elle avait naturellement en commun avec ces crĂ©atures sanguinaires Ă©tait son Ă©trange charme qui ne plaisait pas Ă  tous. Elle devait l'ennuyer horriblement, le pauvre endurait le mystĂ©rieux caractĂšre de la petit française. Elle fut secouait d'un frisson encore un fois, elle allait vraiment tomber malade, d'ailleurs lui aussi. Malheureusement elle n'avait pas du tout envie de rentrer. Il restait juste par courtoisie Ă  l'avi de Mylie. Elle soupira et enfonça ses mains dans la neige pour s'appuier sur ses bras maigres puis elle leva la tĂȘte au ciel, toujours silencieuse soudain elle dit d'une voix douce."Je dois vous ennuier, j'espĂšre que je ne vous empĂȘche pas de partir ou de contempler cette magnifique lune qui s'offre Ă  nous."*Je suis si dĂ©testable pour qu'il soit si violent avec cette pauvre bĂȘte affamĂ©. Heureusement que mon frĂšre n'a pas Ă©tĂ© aussi cruelle avec le vampire qu'en ils se sont rencontrer pour la premiĂšre et derniĂšre fois.*pensa-t-elleLa neige la piquait atrocement mais elle faisait comme si de rien Ă©tait on avait l'impression qu'elle voulait se rendre malade. Soudain elle reprit la parole sans avoir vraiment rĂ©flĂ©chir Ă  se qu'elle allait dire."Etes-vous triste?""Toute haine Ă©tait engendrĂ© par de la tristesse" avait dit la mĂšre de Mylie un jour quand un enfant avait frapper la petite fille qui Ă©tait Mylie Ă  l'Ă©poque. La jeune fille voulait savoir si c'Ă©tait une vĂ©ritĂ© gĂ©nĂ©ral. Le garçon moldu de l'Ă©cole primaire de Mylie avait Ă©tĂ© violent avec elle car le grand bout de chou quelque jour avant avait vu Mylie s'entraĂźnait Ă  mordre une fille dont il Ă©tait amoureux, il avait Ă©tĂ© triste de voir sa copine se laisser faire et la haine l'emporta vers la violence et il offrit de nombreux petit coup de poing qui Ă©tait souvent Ă©vitĂ© par la petite mordeuse. Erwan Ă©tait peut-ĂȘtre triste lui aussi pour avoir tuer un loup avec tant de haine. Erwan StInvitĂ©Sujet Re Douce brise et bouche en sang! Ven 16 Juin 2006 - 1710 Erwan qui regardait lui la lune debout se dit *Elle me dĂ©teste sa se voit* puis il rĂ©pondit a sa question "Non vous ne m'ennuyer pas du tout et au faite je m'excuse pour mon comportement façe au loup" il savait trĂšs bien quelle le dĂ©testait pour pouvoir dire une chose pareille puis elle lui demanda si il Ă©tait triste puis il lui rĂ©pondit en souriant "Qu'es ?je ne voit pas de quoi vous parler" Erwan n'avait jamais connu la tristesse puis plus il continuait a regarder la lune plus c'est yeux changeait et maintenant il Ă©tait devenue tout rouge complĂštement sans pupille puis il dit a la fille en se retournant et la regardant dans les yeux "Tu ferait mieux de partir dans qu'elle que instant je ne vais plus me contrĂŽler" puis un sourire mĂ©chant commença a apparaitre il ne se contrĂŽlait plus soit elle fuyait soit elle mourait... Mylie d'InvitĂ©Sujet Re Douce brise et bouche en sang! Ven 16 Juin 2006 - 1919 Il s'excusait mais pourquoi. C'Ă©tait elle qui n'Ă©tait pas trĂšs amical avec lui et qui Ă©tait indiscrĂȘte avec toutes les questions qu'elle pouvait lui poser. Qui'est se qu'elle en avait Ă  faire du loup. La seule chose qu'elle aimait chez ses animaux de meute c'Ă©tait leur peau, oui elle adorait toucher le poil des bĂȘtes mortes dommage que le loup Ă©tait dans la forĂȘt Ă  rĂ©pondit Ă  la deuxiĂšme question, celle qui Ă©tait plus importante. Il insinuait ne pas connaĂźtre la tristesse. Il n'avait donc vĂ©cu heureux toute sa vie tout en Ă©tant haineux sans avoir de raisons. Etrange, vraiment Ă©trange, peut-ĂȘtre que c'Ă©tait Ă  cause d'elle, de la voir ici l'avait peut-ĂȘtre dĂ©rangĂ©. De toute façon elle ne pouvait rien y faire si cette hypothĂšse Ă©tait il voulait qu'elle parte cette fois. Oh non elle perdait sa proie lĂ . Peut-ĂȘtre qu'il n'allait plus se contrĂŽler mais ce n'Ă©tait pas une raison pour la chasser. Comme elle Ă©tait déçu! En plus il l'avait tutoyer qu'elle dĂ©shonneur. Elle se retourna vers lui, c'est vrai qu'il faisait peur avec son sourire peu amical mais elle n'avait pas envie partir pour autant. La jeune fille n'allait pas le laisser dans cette Ă©tat lĂ . "Donc vous voulez que je parte."Elle se leva, essaya de lutter contre la douleur qui envahissait ses jambes sans le montrer pour autant. Elle attrapa sa canne et mit son petit chapeau sur sa tĂȘte. Puis elle se dĂ©cida Ă  avancer vers le jeune homme. Elle Ă©tait Ă  prĂ©sent tout prĂšs de lui. Elle regarda ses yeux qui pourrait l'envouter si elle s'y attardait plus longtemps. La fille de porcelaine l'embrassa sur la joue et profitant de cette faiblesse, elle lui fit un croche patte et appuya sur la rĂȘte du jeune homme pour qu'il tombe et que sa figure s'enfonce dans la neige. Elle avait agis avec une vitesse incroyable et Erwan n'aurait pas eu le temps de se risquer Ă  contre-attaquer."Vous devez me haĂŻr mais la neige est bon calmant. Je ne crois pas que c'est la peine de m'excuser puisque vous ne me pardonnerez pas de toute façon. Au plaisir de vous revoir tout de mĂȘme!'Et voila elle avait perdu sa proie, elle Ă©tait triste tout d'un coup, elle ne pourrait pas le goĂ»ter comme c'est dommage. Elle partit toute déçu sa canne sous son bras. La jeune Serpentard ne savait pas oĂč aller, elle aurait bien voulu rester dans la neige. Erwan StInvitĂ©Sujet Re Douce brise et bouche en sang! Ven 16 Juin 2006 - 1942 Erwan tomba dans la neige puis se releva comme c'est yeux n'Ă©tait plus relier a la lune il rĂ©cupĂ©ra sa pupille et sa peau puis il eut une attaque au coeur puis serra sa poitrine il ne ressentait plus rien la neige ne lui cosait rien c'Ă©tait comme si il flottait puis son mal de coeur passa et s'avança vers la jeune fille et dit "Je suis dĂ©soler quand je regarde la lune trop longtemps je ne suis plus moi mĂȘme c'est comme si un autre moi beaucoup plus mĂ©chant prenait le dessus"puis il baissa les yeux et prit son couteau dans sa poche et se coupa a bras fessant couler son sang et dit "Tenez je sais que vous en voulez prenez le en gage de remerciement"il lui tenda son bras qui fessait couler du sang a flots il attendant quelle lui suse pour qu'elle se nourrie un peu... Mylie d'InvitĂ©Sujet Re Douce brise et bouche en sang! Ven 16 Juin 2006 - 2028 Ah en faite, il l'avait rattrapĂ©. Elle avait l'impression qu'il ne voulait pas qu'elle parte. Il avait l'air d'ĂȘtre redevenu normal enfin Ă  premiĂšre vu. Erwan lui expliqua se qu'il lui avait pris. Donc il pouvait ĂȘtre plus mĂ©chant mais avant il n'Ă©tait pas mĂ©chant...... si quand il a envoyĂ© valdinguer la pauvre bĂȘte mais elle allait les attaquer tout de mĂȘme. Et puis pourquoi avait-il regardĂ© la lune s'il ne pouvait supporter de la regarder infiniment. Elle allait lui demandĂ© mais tout Ă  coup elle vit des tache de sang dans la neige. Oh non il s'Ă©tait entaillĂ© le bras et il saignait, saignait! Ce n'Ă©tait plus sa proie et mĂȘme si il l'Ă©tait. C'Ă©tait Ă  elle de decider si oui ou non elle le goĂ»terait. Le sang continuait de couler, ce liquide si parfait qui luisait dans la nuit ne pouvait que l'attirer. Non il ne fallait pas qu'elle s'incline Ă  la volontĂ© d'un jeune masochiste. Pourtant elle avait soif, si soif. HĂ© voilĂ  la folie de la pseudo vampire la fit avancer. Elle ne pouvait pas rĂ©sister... Si, il fallait rĂ©sistait c'Ă©tait elle qui dĂ©cidait! Elle prit son courage Ă  deux main et arracha un morceau de sa robe en veloure. La jeune fille regarda Erwan d'un air interrogeur et lui fit un bandage pour que le sang cesse sa fugue. Mylie soupira, elle Ă©tait dĂ©goutĂ©. Elle avait laissĂ© passer du sang frais. Il fallait qu'elle arrete la française n'Ă©tait pas un vampire. "Je n'ai pas soif! Et puis......... je ne suis pas un vampire!"Dit-elle avait parler sur un ton agressif. Elle n'Ă©tait pas contente! Pourquoi il avait fallu qu'elle sorte et qu'elle se dirige vers le lac? Elle ne le savait pas, personne ne le savait. Elle se passa la main sur son visage, malheureusement ses mains Ă©taient pleine de sang alors vous devinez le rĂ©sultat. De tout façon ça lui Ă©tait Ă©gale, elle se posa sur la neige, balança son canne car elle la gĂȘnait et regarda le sang dans la neige d'un air boudeur. Soudain d'un geste de sa main elle prit un peu de neige rouge et est la gouta pour essayer d'enlever sa peine. Erwan StInvitĂ©Sujet Re Douce brise et bouche en sang! Ven 16 Juin 2006 - 2118 s'assĂźt a coter d'elle puis lui dit "Pour en revenir si je suis triste j'ai toujours vĂ©cu dans l'incomprention de ma famille mon pĂšre se servait de moi comme une arme" pour tout dire Erwan est rechercher par son frĂšre car il est trop dangereux puis il lui demanda " Pourquoi reste tu avec moi. Je ne suis pas trĂšs frĂ©quentable vous savez !" puis il la regardait elle Ă©tait belle ravissante intelligente et lui Ă©tait tellement perdu... Il ne savait plus quoi faire sans amis sans famille puis il dit "Que me trouvez vous" puis il releva sa manche de son bras droit puis regarda sa marque. Celle des mange mort mais la elle Ă©tait devenue gris trĂšs clair c'est a dire qu'il n'y avait plus de danger enfin apart si celui de toujours celui qu'il avait dĂ©truit son frĂšre... Mylie d'InvitĂ©Sujet Re Douce brise et bouche en sang! Ven 16 Juin 2006 - 2259 Mylie l'Ă©couta en lĂ©chant le sorbet au sang qui fondait lentement dans sa main. La neige Ă©tait propre, elle venait de tomber donc la jeune fille ne craigniait rien. Elle se tourna vers Erwan qui Ă©tait assis Ă  cĂŽtĂ© d'elle. Le pauvre! Il avait l'air tellement perdu et presque malheureux. La française fit comme de rien Ă©tait comme si elle ne l'avait jamais plaint. Oh il hĂ©sitait entre le vouvoiment et le tutoiment, il lui semblait. Elle ne voulait pas parraĂźtre trop amical mais pas antipathique pour autant. Toujours avec son air enfantin, la jeune fille se decida Ă  rĂ©pondre Ă  la question d' toi qui m'as rattrapĂ© si tu ne voulais pas que je reste avec toi, il fallait me laisser partir! Et puis moi aussi je ne suis pas du tout elle l'avait tutoyĂ©, s'il se permettait cette honneur pourquoi elle se priverait. La jeune fille prit son mouchoir en soie mais malheureusement il Ă©tait dĂ©jĂ  tachetĂ©. Elle ne pourrait pas s'essuyer le visage. Comment ferait-elle pour rentrer avec le visage en sang et puis sa robe Ă©tait fichu, c'Ă©tait un mini robe Ă  prĂ©sent. On pouvait voir si on regardait bien sur le dĂ©but de sa cicatrice de sa cuisse. Si ses parents le sauraient, il mourrirait d'un crise cardiaque. C'Ă©tait sa plus belle robe oui c'Ă©tait. Heureusement qu'elle ne les verait plus. Erwan lui posa un seconde question qui Ă©tonna la jeune Serpentard. Qu'est ce qu'elle lui trouvait? Mais qu'est-ce que c'Ă©tait que cette question? La rĂ©ponse aurait Ă©tait rien, oui elle lui trouvait rien et cette rĂ©ponse allait rester tel qu'elle puisque que la petite française ne trouvait rien d'autre Ă  rĂ©pondre."Je ne te trouve rien de spĂ©cial."Mylie s'Ă©tait lancĂ© sur le tutoiment pourquoi s'arreterait-elle maintenant. Elle arreta de lĂ©cher son 'sorbet' et regarda discretement se que le jeune homme observait. A se qu'elle pouvait voir c'Ă©tait......... mais oui, c'Ă©tait bien ça. Elle n'Ă©tait pas aveugle."Jolie marque!"S'exclama-t-elle ironiquement en laissant Ă©chapper un sourire de elle avait sourit se qui Ă©tait un exploi. D'ailleurs il avait dĂ©jĂ  disparu de ses lĂšvres. C'Ă©tait donc un mangemort si cette marque Ă©tait sur sa peau. Pourtant il n'Ă©tait pas comme son oncle au faite s'il Ă©tait mangemort peut-ĂȘtre qu'il le connaĂźtrait. "Connais-tu......... non c'est ridicule. Oublie ce que j'ai dit."Changea-t-elle d'avis soudainement. Erwan StInvitĂ©Sujet Re Douce brise et bouche en sang! Sam 17 Juin 2006 - 1041 Puis Erwan vue qu'elle la tutoyait puis il sentit la prĂ©sence la prĂ©sence d'un ĂȘtre qu'il dĂ©testait un ĂȘtre sans pitiĂ© puis il baissa son regard et dit "Le voila fuit ne reste pas la !" Puis il la regarda c'est yeux avait encore changer de forme il voyait que sur son jolie visage plein de sang se cachait un visage qu'il l'interogait puis il reprit en disant "Mon frĂšre ...est la pour me tuer" puis il se leva et reprit encore une fois " Soit tu choisis de m'aider soit tu fuit..." Puis il sortit sa baguette et regarda les alentour qui aurait cru qu'il viendrait aujourd'hui, le jour du bal de NoĂ«l, a cette endroit prĂ©cis... Puis il regarda la jeune fille qui Ă©tait si mignonne et sortit un petit chiffon blanc avec un serpend noir dessus c'Ă©tait le seul souvenir de sa famille mais comme elle avait sacrifier sa robe alors il lui devait sa puis il lui tendit tout en regardant tout autour de lui... Mylie d'InvitĂ©Sujet Re Douce brise et bouche en sang! Sam 17 Juin 2006 - 1638 Oh mais ce n'est pas possible, il voulait vraiment qu'elle parte. Fuir, tout le temps fuir, il voulait qu'elle fuit, mais qui. Lui? Il lui expliqua qu'elle devait fuir son frĂšre.... Erwan souhaitait tuer son frĂšre. Mais pourquoi? MĂȘme si l'autre gus voulait lui aussi l'assassiner, ce n'Ă©tait pas une raison..... enfin si c'Ă©tait un bonne raison. Mais Mylie, elle n'avait rien fait quand Junior voulait la tuer. Erwan avait aussi un frĂšre qui voulait se venger comme elle. Ils avaient un point commun c'Ă©tait triste, deux frĂšre qui voulaient se trucider mutuellement. Si ça se trouve il racontait ça pour la faire partir."J'avais aussi un frĂšre qui voulait se venger."Il lui demandait de choisir ou la lĂąchetĂ© ou la coopĂ©ration. Et d'ailleurs elle ne savait pas pourquoi son frĂšre voulait le tuer. Peut-ĂȘtre qu'il avait fait quelque chose de mal. Elle en doutait un peu. * Personne m'a aidĂ© quand Junior m'a entaillĂ© la cuisse. *Pensa-t-elle."Je ne suis pas lĂąche."Dit-elle n'Ă©tait pas lĂąche mais elle n'allait pas l'aider pour autant. En faite cela dĂ©pendait de son envie, peut-ĂȘtre allait-elle le soutenir si elle dĂ©cidait que c'Ă©tait de nouveau sa proie et alors elle ne supporterait pas que l'on touche Ă  sa propriĂ©tĂ© sans sa permission. Mylie prit le tissus blanc que tendait Erwan, le remercia et hĂ©sita un moment avant de s'essuyer le visage. Ce chiffon Ă©tait vraiment jolie et elle l'avait complĂštement sali. Elle aurait bien gardĂ© se mouchoir en tissus souillĂ©. De toute façon il Ă©tait fichu comme sa robe et son mouchoir en soie. Soudain Mylie se rendit compte qu'Erwan ne pouvait pas se battre puisqu'il Ă©tait blessĂ©. "Il faut te soigner, tu vas te faire dĂ©foncer si ce que tu dit est vrai. Pourquoi tu t'es coupĂ©?"Elle ne pouvait pas le laisser dans cette Ă©tat lĂ . Mais que faire? Attendre? Oui pour l'instant il n'y avait que ça Ă  faire. Attendre que le jeune blessĂ©e rĂ©agisse. Il y avait tant de chose qui se passer en seulement une dizaine de minutes. Tout cela allait trop vite. La jeune fille ne contrĂŽlait plus rien, ça l'agaçait. Mais elle ne pouvait rien faire. Mylie Ă©tait une spectatrice qui endurait toute cette scĂšne. Erwan StInvitĂ©Sujet Re Douce brise et bouche en sang! Sam 17 Juin 2006 - 1911 Il regardait les alentour avec peur puis vu de la lumiĂšre venir de l'autre coter du lac puis il se dĂ©tendit et dit a Mylie "Pardonne moi je ne voulait pas que tu voit sa je suis vraiment dĂ©soler" des qu'il dit le mot dĂ©soler un Ă©clair vert fusa sur lui et lui transperça le ventre et il tomba par terre en crachant un litre de sang par sa bouche il n'Ă©tait pas mort mais en piteux Ă©tait se qu'il venait de se passez Ă©tait dĂ©solant car se n'Ă©tait pas le sortilĂšge interdit qui venait de lui traverser le ventre mais un sortilĂšge banal puis il rĂ©pondit a Mylie par terre avec Beaucoup de mal "Je t'aime" puis il s'Ă©vanouie dans quelque instant il ne serait plus de se monde si elle ne faisait rien pour lui puis la lumiĂšre de la baguette qui venait de lui lancer se sort s'Ă©teignit il soufrait, soufrait Ă©normĂ©ment... Mylie d'InvitĂ©Sujet Re Douce brise et bouche en sang! Sam 17 Juin 2006 - 1956 Tout c'Ă©tait passĂ© si vite et Mylie n'eut le temps de rien faire. Pourquoi il s'excusait? Elle avait vu bien pire. Mais bon ce n'Ă©tait pas trĂšs beau Ă  voir tout de mĂȘme. Elle sortit sa baguette et commença Ă  la pointer au loin en essayant de voir si quelqu'un arriver ou si un sortilĂšge Ă©tait lançé pour qu'elle le contre. Elle s'accroupit prĂšs d'Erwan toujours en regardant d'oĂč avait provenu la lumiĂšre verte. Soudain elle entendit un 'je t'aime' provenant du jeune homme en piteuse Ă©tat. Il parlait Ă  elle? Ce 'je'taime' Ă©tait dit pour elle. Cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas entendit une choe pareille. De toute façon, Mylie ne comprenait plus depuis longtemps le sens aimer. La fille Serpentard avait un jour demandĂ© Ă  son frĂšre s'il l'aimait, il lui avait rĂ©pondu oui et dans la seconde qui venait, il l'avait plantĂ© un scalpel dans la cuisse. Ce souvenir la fit se braquer, ce mot Ă©tait comme maudit de son point de vue. Elle resta un moment immobile comme paralysĂ©e. Elle aurait pu se faire tuer cent fois Ă  avant de se reprendre et de pointer sa baguette sur la plaie d'Erwan. "EPISKEY" blessures d'Erwan cicatrisĂšrent et il allait sĂ»rement reprendre conscience. En attendant la jeune fille se leva et pointa sa baguette droit devant elle et de son air absent et de ses yeux vide, elle cria sans la moindre colĂšre et avec comme toujours son insĂ©parable accent français. "OĂč vous cachez vous? Ne me dites pas que vous avez peur d'une pauvre petite fille avec un baton dans la main! Vous ne m'avez mĂȘme pas demander la permission! Quelle insolence!"L'homme qui avait attaquĂ© Erwan devait ĂȘtre furieux Ă  prĂ©sent. Il allait sĂ»rement la tuer mais elle n'attendait que ça. La française ne pouvait pas s'empĂȘcher de jouer avec la mort. Comme elle avait fait avec son oncle, la grosse brute de son ancienne Ă©cole et beaucoup d'autres gens. Elle scruta l'horizon avec un regard soudainement malsain. Peut-ĂȘtre Ă©tait-il partit, se serait tellement dommage. Elle s'amusait comme une folle tout d'un coup. S'il Ă©tait encore lĂ , elle n'allait pas tardait Ă  recevoir un sort en pleine face. Elle se pencha pour attrapper sa canne et elle appuya son coude sur celle-ci, de façon Ă  ĂȘtre en Ă©quilibre. Maintenant Mylie attendait, elle attendait patiemment, peut-ĂȘtre que c'Ă©tait la mort qu'elle attendait en tout cas elle attendait sagemment. Erwan StInvitĂ©Sujet Re Douce brise et bouche en sang! Sam 17 Juin 2006 - 2022 Erwan recracha de sang et se leva en sursaut puis prit sa baguette puis regarda la lune et dit a Mylie "Silteplait emmene mon corps au chĂąteau si je meurt je n'ai pas envie qu'il pourrisse ici"lui sourit une derriĂšre fois puis c'est yeux devin tout rouge c'Ă©tait pour lui comme une sorte de pouvoir pouvant les augmenter il pointa sa baguette et dit tout bas "Adieux Mylie ... et souvient toi ...je t'aime"il pointa sa baguette puis vu un sort foncer sur lui un autre sort vert et il dit en criant de toute c'est force" EVERTE STATIS "Une lumiĂšre verte sortit de sa baguette et se cogna sur l'autre et crĂ©a un lien les deux sort se contrait Erwan se demanda si il rĂ©vĂ©rait Mylie Mylie d'InvitĂ©Sujet Re Douce brise et bouche en sang! Sam 17 Juin 2006 - 2121 Pourquoi disait-il qu'il allait mourir? Ce serait un trop grand honneur de mourir maintenant. Mylie ne laisserait pas passer ça aussi facilement. La jeune fille reflĂ©chissait au pourquoi et au comment de la situation, qu'est-ce qu'elle pourrait bien faire. HĂ© voilĂ , Erwan la dĂ©concentra, Pourquoi Adieux et pourquoi je t'aime! Elle, elle n'aimait personne! Un garçon tombait trop facilement 'amoureux' Ă  son goĂ»t. Et puis elle ne comprenait pas comment cela pouvait ĂȘtre possible d'aimer. C'Ă©tait vraiment un sentiment de faible, elle n'aimait personne et personne ne l'aimera, foi de Mylie d'Occido. Il n'y avait que son frĂšre qui avait pu l'aimer et c'Ă©tait tout! La fille de porcelaine allait le dĂ©goutĂ© de l'avoir vit les deux sorts s'entre choquer violemment. Les deux adversaire n'avaient aucune chance de ce vaincre, ils Ă©taient d'Ă  peu prĂšs la mĂȘme force. Comme c'Ă©tait dommage qu'elle devait intervenir. Elle adorait voir les gens se battre, elle aurait bien voulu voir l'issu de ce combat haineux mais bon on ne pouvait pas avoir tout ce que l'on voulait tout le temps. Ce n'Ă©tait pas non plus un fille pourrit gatĂ©, n'allait pas croire ça, c'Ă©tait loin de lĂ  mais quand elle pouvait souhaiter plusieurs chose elle le faisait avec beaucoup d' il Ă©tait temps de faire quelque chose. Mylie leva sa baguette vers le milieu des deux sorts, elle soupira d'un air agacer. "Tu ne m'as toujours pas demander le permission que je sache! Tout d'un coup, Mylie mumura la mĂȘme formule qu'Erwan avait fait subirent au loup. Les deux autres sorts virvoltĂšrent un peu n'importe oĂč. Elle les avait deviĂ©. Elle se tourna en direction de Poudlard et elle dit d'un ton peu amical."Je n'aime personne et il faudra vous y faire!"Il avait dit trop de je t'aime et ça l'avait Ă©nervĂ©. Mylie Ă©tait sans pitiĂ© avec Erwan mais c'Ă©tait dans son caractĂšre. Soudain elle partit d'un pas rapide, le laissant avec son prĂ©tendu frĂšre.[quelque part] Erwan StInvitĂ©Sujet Re Douce brise et bouche en sang! Sam 17 Juin 2006 - 2235 Erwan vit que Mylie le dĂ©testait aprĂšs se qu'il avait dit il nef allait plus que sa pour qu'il disparaĂźtre et que le mal prenne le dessus donc Erwan tomba a genou et cria comme si on le torturerait puis un rire narquois puis se releva avec la tĂšte baisser pus il leva la tĂšte et dit a son frĂšre "C'est trop tard je suis sortit" leva sa baguette et tua son frĂšre sur le coup puis rigola mĂ©chamment trĂšs fort trĂšs trĂšs fort et dit "Je t'ait tuer Erwan . Je t'ait tuer " Il rigola encore plus la bonne partit d'Erwan etait dĂ©finitivement perdu dans les en-trille de son corps et a jamais en attendant l'amour il y restera enfermer Contenu sponsorisĂ©Sujet Re Douce brise et bouche en sang! Douce brise et bouche en sang! Page 1 sur 1 Sujets similaires» Douce nuit de retour d'AlyssonnaPermission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumMÉFAITS ACCOMPLISℱ Corbeille &&. ANCIENS RPSauter vers
Maisvous savez, la dĂ©cision appartient au joueur. Il m’a demandĂ© du temps pour pouvoir se prononcer. J’attends toujours, mais il faut savoir que je n’ai pas tout le temps. A un moment, il faut que je puisse prendre des dĂ©cisions, car je suis dans l’urgence », a confiĂ© Rigobert Song dans un entretien avec le magazine CORNER de la Que se passe-t-il si vous recevez une amende avec voiture de location ? Quels sont vos droits et les recours possibles ? Carigami rĂ©pond Ă  ces questions pour que vous puissiez faire face si la situation venait Ă  se d’une location de voiture, qui reçoit l’amende et que se passe-t-il ?Voici quelques exemples d’infraction liste non exhaustive pouvant entraĂźner une amende Infraction du code de la routeNon-respect de la limitation de vitesseStationnement non autorisĂ©Ticket de stationnement non payĂ©C’est le loueur de la voiture qui est informĂ© en premier de l’amende. En effet, puisque le vĂ©hicule est immatriculĂ© Ă  son nom, c’est lui qui reçoit le procĂšs-verbal et qui doit en rĂ©pondre vis-Ă -vis de la loueur, non responsable, dĂ©nonce » le conducteur du vĂ©hicule alors enregistrĂ© lors de l’infraction. Le conducteur principal enregistrĂ© sur le contrat de location recevra donc l’amende. Peu importe si un conducteur additionnel Ă©tait enregistrĂ© sur le contrat de location. Le conducteur principal, c’est-Ă -dire le locataire du vĂ©hicule, engage sa responsabilitĂ© pĂ©cuniaire, en signant le contrat de location⚠ À retenir Le conducteur enregistrĂ© reçoit chez lui l’amende pour l’infraction. ⚠Conseil CarigamiLors d’une location de voiture en France, vous pouvez aussi perdre vos points de permis. Le permis de conduire français est constituĂ© de 12 points, que l’on peut perdre en plus en moins grand nombre suivant l’infraction. Il est donc important de vĂ©rifier son nombre actuel de points et de faire des stages de rattrapage » pour en rĂ©cupĂ©rer au possible d’une amende avec voiture de location ?Le conducteur principal doit dans tous les cas rĂ©gler l’amende. Cela n’importe pas s’il ne conduisait pas le vĂ©hicule au moment de l’infraction. Mais il est possible de sauver des points. Nous vous expliquons comment Si c’est le conducteur additionnel qui conduisait lorsque l’infraction a Ă©tĂ© commise, il est possible de le dĂ©noncer Ă  votre tour. Il doit ĂȘtre inscrit sur le contrat de location pour que les assurances soient toujours valables. Soyez donc prudent si vous dĂ©cidez de dĂ©noncer un conducteur non enregistrĂ© vous pensez qu’il n’est pas possible de reconnaĂźtre la personne qui conduisait au moment de l’infraction, il est envisageable de demander une photographie prise par le radar mobile ou fixe par exemple. Le plus souvent, ce sont les plaques d’immatriculation qui sont flashĂ©es, et non le conducteur. Soyez tout de mĂȘme trĂšs prudent, car si la photographie prouve que vous Ă©tiez bien au volant, vous aurez perdu du temps et des points. S’il n’est pas possible d’identifier le conducteur, vos points seront existe une exception pour expliquer un excĂšs de vitesse soudain le cas de force majeur. Les cas de force majeur peuvent ĂȘtre un vol ou un accouchement par exemple. Il faut cependant prouver au moyen de documents Ă©crits que le conducteur a dĂ» accĂ©lĂ©rer dans cette situation particuliĂšre.⚠ À retenir Rares sont les cas oĂč vous pourrez Ă©viter de rĂ©gler l’amende. Par ailleurs, le loueur vous demandera de rĂ©gler des frais de traitement de l’amende. Pour Ă©conomiser, respectez le code de la route ! ⚠RĂ©gler une amende avec voiture de location Ă  l’étranger ?Le processus constatĂ© Ă  l’étranger pour une amende avec voiture de location est similaire. La diffĂ©rence est que le loueur, dĂšs lors qu’il reçoit l’amende, peut dĂ©biter la carte de crĂ©dit du client pour rĂ©gler le montant de la client peut aussi recevoir la contravention par la poste. Mais cela ne vaut que si le pays a intĂ©grĂ© une directive europĂ©enne dans sa lĂ©gislation nationale ou conclu un accord bilatĂ©ral avec la France pour la transmission des avez des questions Ă  ce sujet ? N’hĂ©sitez pas Ă  laisser Ă  commentaire, nous y rĂ©pondrons ! Et surtout, restez prudent sur la route !
CekalĂ©idoscope nommĂ© Niska ! Elle me fait l’effet d’une tornade. Une jeune femme qui laisse son empreinte et son aura partout oĂč elle passe. BourrĂ©e d’énergie, des Ă©toiles plein les yeux et des rĂȘves plein la tĂȘte. Une jeune femme sĂ»re d’elle, de son talent, de sa beautĂ©.
De Marie Ă  Mme GuĂ©rin. 9 aoĂ»t 1877. 9 aoĂ»t 1877 Ma chĂšre tante, Depuis votre dĂ©part, maman souffre de plus en plus, tous les jours ce sont de nouvelles souffrances depuis deux ou trois jours. Elle se plaint constamment du mal de cƓur. Elle passe de trĂšs mauvaises nuits et cela fend le cƓur de l’entendre gĂ©mir. Hier soir, elle souffrait tant qu’elle disait tout haut Oh! mon Dieu, vous voyez bien que mes forces m’abandonnent pour souffrir, ayez pitiĂ© de moi ! Puisqu’il faut que je reste lĂ  dans ce lit de douleur sans qu’on puisse me soulager, je vous en supplie ne m’abandonnez pas ! » Elle pleure quelquefois, elle nous regarde tous les uns aprĂšs les autres puis, elle nous dit Ah! mes pauvres enfants, je ne pourrai donc pas aller vous promener, moi qui voulais vous rendre si heureuses ! Ma Pauline Ă  qui je dĂ©sirais procurer tant de plaisir pendant les vacances. il faut donc que je la laisse lĂ , ou qu’elle sorte sans moi ! Mes petites filles si je pouvais aller avec vous, dites, que nous serions heureuses ! » Enfin notre pauvre petite MĂšre s’oublie tellement qu’elle n’est heureuse que lorsqu’elle nous voit parties. Pour lui faire plaisir, papa fait faire Ă  mes sƓurs des promenades en bateau. Mais quel charme peut-on trouver Ă  se promener lorsqu’on sait sa mĂšre si malade; Pauline n’y va qu’à contrecƓur. Pour moi, c’est un vĂ©ritable supplice, j’aime cent fois mieux rester Ă  la maison, les promenades que jaimais autrefois me paraissent si tristes Ă  prĂ©sent, la campagne me semble si dĂ©serte! La Fuie » ce chemin ombragĂ© que maman aimait tant et oĂč elle ne peut plus venir, Ă  prĂ©sent, me rappelle de tels souvenirs que je ne puis y aller sans Ă©prouver d’amĂšres tristesses en pensant qu’elle n’y reviendra peut-ĂȘtre plus jamais! Cette pensĂ©e me brise le cƓur et je rĂ©pĂšte ces vers de Lamartine Fleuves, rochers, forĂȘts, solitudes si chĂšres Un seul ĂȘtre vous manque et tout est dĂ©peuplĂ© » Oh ! oui tout est dĂ©jĂ  dĂ©peuplĂ© pour moi, Ă  prĂ©sent aucun plaisir ne m’est agrĂ©able. Maman a Ă©crit dimanche Ă  Mr l’abbĂ© Martignon et aux sƓurs de Lourdes et nous avons commencĂ© lundi la neuvaine qui doit se terminer Ă  l’Assomption. Je la fais avec une grande confiance. J’espĂšre que la Ste Vierge ne nous abandonnera pas et, si elle ne veut pas guĂ©rir maman, du moins qu’elle la soulage et diminue ses souffrances qui deviennent si grandes. Qui protĂšgera-t-elle si elle ne protĂšge pas maman qui est si bonne et si gĂ©nĂ©reuse ? Quand je pense que dimanche matin elle a voulu encore aller Ă  la premiĂšre messe parce que son cou lui paraissait moins malade et plus facile Ă  remuer. Et si vous saviez, ma tante, toute la peine que j’ai eue pour l’empĂȘcher de se lever. Si elle avait pu s’habiller, certainement elle l’aurait fait, mais comme c’était moi qu’il fallait attendre, j’ai fait exprĂšs d’ĂȘtre bien longtemps Ă  ma toilette pour qu’à la fin, il soit trop tard. Et j’ai Ă©tĂ© bien inspirĂ©e, car il faisait beaucoup de vent et je suis sĂ»re que maman en aurait Ă©tĂ© plus malade. Vendredi, elle est allĂ©e Ă  la messe de sept heures parce que c’était le premier vendredi du mois. Papa l’a conduite, car sans lui, elle n’aurait pu y aller. Elle nous a dit qu’en arrivant Ă  la messe, si elle n’avait pas eu quelqu’un pour lui pousser les portes de l’église, elle n’aurait jamais pu y entrer. Cela vous prouve, ma chĂšre tante, dans quel Ă©tat de faiblesse elle se trouve. Et vouloir aller Ă  la messe quand mĂȘme n’est-ce pas inconcevable ? Vraiment, si la Ste Vierge ne lui accorde pas quelque grĂące Ă  la fin de notre neuvaine, je serai bien Ă©tonnĂ©e. Vous m’avez dit, ma bonne tante, de vous donner des nouvelles de LĂ©onie lorsque je vous Ă©crirais. Je vous assure que c’est trĂšs embarrassant pour moi. Je ne voudrais pas toujours vous en donner de mauvaises et comment faire pour vous en donner de bonnes ?
Je ne sais comment m’y prendre avec cette pauvre enfant. Je l’embrasse, je lui dis que je l’aime afin de gagner son cƓur, je lui promets des rĂ©compenses si elle veut se corriger; surtout maintenant que maman ne peut plus s’occuper d’elle, je voudrais si bien qu’elle m’écoute ! Mais non, elle ne veut rien faire de ce que je lui dis. Souvent je me retiens de pleurer car j’ai deux si gros chagrins la maladie de maman et LĂ©onie, que mon courage m’échappe quelquefois. . . Maman est dĂ©solĂ©e comme jamais je ne l’ai vue au point qu’elle a pleurĂ© toute la journĂ©e de samedi Ă  cause de LĂ©onie. Elle se demande avec anxiĂ©tĂ© ce qu’elle deviendra et croit qu’il faudra la mettre en pension, que l’assujettissement Ă  une rĂšgle pourra seul l’assouplir. Elle m’a dit d’un ton si angoissĂ© que je ne l’oublierai jamais Qui s’occupera de cette pauvre enfant quand je ne serai plus lĂ , qui pourra lui prodiguer le dĂ©vouement d’une mĂšre ?. . . » je lui ai rĂ©pondu. O maman, ce sera moi je te le promets ! » Mais j’espĂšre bien plus en la protection de ma sainte maman que dans mes faibles efforts pour achever du haut du Ciel, de transformer ma pauvre petite sƓur. . . Je vous ai donnĂ© des nouvelles de tout le monde ma chĂšre tante, exceptĂ© de mes deux petites filles CĂ©line et ThĂ©rĂšse. Je veux pourtant vous en parler, j’ai de trop intĂ©ressantes choses Ă  vous dire. Il faut que je vous raconte la belle distribution de prix qui a eu lieu le lendemain de votre dĂ©part Ă  La Visitation Ste Marie d’Alençon » ! c’est ainsi que se nomme notre pensionnat! Je vous assure que c’était tout Ă  fait beau. J’avais ornĂ© ma chambre de guirlandes de pervenches entremĂȘlĂ©es de bouquets de roses. De distance en distance, des couronnes de fleurs Ă©taient suspendues. Un tapis couvrait le parquet et deux fauteuils attendaient les PrĂ©sidents de l’auguste cĂ©rĂ©monie M. et Mme Martin. Oui, ma tante, maman aussi Ă  voulu assister Ă  nos prix, Quel dommage que vous n’ayez pas Ă©tĂ© lĂ , vous auriez bien ri malgrĂ© le sĂ©rieux de la cĂ©rĂ©monie. Nos deux petites Ă©taient en blanc et il fallait voir avec quelles figures triomphantes elles arrivaient chercher leurs prix et leurs couronnes. C’étaient papa et maman qui distribuaient les rĂ©compenses et moi qui appelais mes Ă©lĂšves. J’avais quelquefois bien envie de rire de ma belle Distribution » et je retenais mon sĂ©rieux le mieux possible, surtout en prononçant le discours que Pauline et moi avions composĂ© la veille. Vous le voyez, ma chĂšre tante, cette petite fĂȘte nous a fait oublier un instant nos amĂšres prĂ©occupations. Pauvres enfants ! elles sont maintenant dans la joie, les vacances sont commencĂ©es, hĂ©las ! pourtant bien tristes vacances ! Ă  cause de notre chĂšre maman qui est si malade.
Je me brise au Whisky glace et m'allume au Malibu". 55 likes. I love cigarette ? No I prefer Vodka
Leslie Basham Dans la vie, on connaĂźt parfois des dĂ©ceptions. Mais est-ce que c’est forcĂ©ment parce qu’on a fait quelque chose de faux, ou de mal ? On va voir aujourd’hui que mĂȘme les personnes qui cheminent avec Dieu doivent faire face Ă  la dĂ©ception. Nancy DeMoss Wolgemuth Vous pouvez marcher avec Dieu et vivre dans l’obĂ©issance, et pourtant, ça ne vous empĂȘchera pas de connaĂźtre la dĂ©ception et l’insatisfaction. Leslie Bienvenue Ă  l’écoute de RĂ©veille Nos CƓurs. Nous commençons aujourd’hui une nouvelle sĂ©rie nommĂ©e Un portrait d’Élisabeth ». Nancy Si vous l’avez avec vous, je vous encourage Ă  prendre votre Bible ou Ă  suivre avec moi le texte sur une application. Et on va lire ensemble le premier chapitre de l’Évangile de Luc. Je vous encourage toujours Ă  suivre avec moi quand on lit les Écritures, pour autant que vous ne soyez pas au volant de votre voiture. Je vous y encourage parce que c’est la Parole inspirĂ©e par Dieu. C’est la Parole de Dieu qui nous parle, qui nous change et qui nous transforme. Aujourd’hui, on va s’immerger dans le premier chapitre de l’Évangile de Luc. Et j’aimerais que vous puissiez en faire l’expĂ©rience par vous-mĂȘme, que vous laissiez l’Esprit de Dieu parler Ă  votre cƓur, tout comme il m’a parlĂ© Ă  moi Ă  travers ces textes. Alors j’aimerais prier avec vous Seigneur ! Ouvre nos oreilles, ouvre nos yeux et ouvre notre cƓur ! Merci, parce que Ta parole est magnifique. Elle est merveilleuse. Elle est puissante. Qu’elle puisse se rĂ©pandre, prendre racine en nous et produire beaucoup de fruits pour Ta gloire durant ce podcast, aujourd’hui. Nous Te prions au nom de JĂ©sus, amen. Il y a certaines personnes qui ne lisent le premier chapitre de l’Évangile de Luc qu’au moment de NoĂ«l. Alors, pourquoi lire le chapitre un Ă  un autre moment de l’annĂ©e ? Tout simplement parce que c’est un passage clĂ©. Il reprĂ©sente en effet la transition entre l’époque de l’Ancien Testament et celle du Nouveau Testament, c’est-Ă -dire l’émergence de l’alliance de la grĂące. Il montre la lumiĂšre de la bonne nouvelle de l’Évangile qui se lĂšve sur un monde qui est en ruines. Il y a une femme qui joue un rĂŽle important dans cette histoire et on va justement parler d’elle dans les quatre Ă©pisodes de cette sĂ©rie de podcasts. Alors, je suis sĂ»re que vous pensez qu’il s’agit de Marie, la mĂšre de JĂ©sus. AprĂšs tout, c’est le personnage principal de cette histoire, n’est-ce pas ? Mais, j’aimerais vous parler d’une personne moins connue qui s’appelle Élisabeth. On trouve son histoire dans ce premier chapitre de Luc. En fait, c’est le seul passage des Écritures oĂč Élisabeth est mentionnĂ©e. Seulement lĂ . Aujourd’hui, on va Ă©tudier ensemble seulement le dĂ©but du chapitre, les versets 5 Ă  7, qui nous donnent des informations sur le contexte et la vie d’Élisabeth. Donc, on va lire ces trois versets, et les examiner ensuite phrase par phrase. Du temps d’HĂ©rode, roi de JudĂ©e, il y avait un sacrificateur, nommĂ© Zacharie, de la classe d’Abia ; sa femme Ă©tait d’entre les filles d’Aaron, et s’appelait Élisabeth. Tous deux Ă©taient justes devant Dieu, observant d’une maniĂšre irrĂ©prochable tous les commandements et toutes les ordonnances du Seigneur. Ils n’avaient pas d’enfants, parce qu’Élisabeth Ă©tait stĂ©rile ; et ils Ă©taient l’un et l’autre avancĂ©s en Ăąge. » Je m’arrĂȘte lĂ . Avant de voir en dĂ©tail l’histoire d’Élisabeth, j’aimerais vous donner un petit peu de contexte. La premiĂšre phrase nous donne l’arriĂšre-plan historique et politique de cette histoire qui se dĂ©roule au temps de HĂ©rode, roi de Juda. Il s’agit d’HĂ©rode le Grand, qui a rĂ©gnĂ© de l’an 37 av. Ă  l’an 4 av. Et mĂȘme s’il s’appelait HĂ©rode le Grand, il n’avait rien de glorieux ! En fait, c’était un tyran. C’était un homme cruel. Il avait Ă©tĂ© choisi par Rome. C’était un peu un gouverneur fantoche, sans parler de sa santĂ© mentale qui laissait vraiment Ă  dĂ©sirer. Et l’histoire rapporte qu’il a eu 10 femmes et qu’il en a fait exĂ©cuter au moins une. Et quand son fils a conspirĂ© contre lui pour l’empoisonner, il s’est arrangĂ© pour le faire mettre Ă  mort. AprĂšs la naissance de JĂ©sus, c’est ce mĂȘme HĂ©rode qui a ordonnĂ© le massacre de tous les bĂ©bĂ©s, les petits garçons ĂągĂ©s de moins de deux ans, Ă  BethlĂ©em. Il a fait ça pour protĂ©ger son trĂŽne. Et il a souillĂ© le pays des juifs en construisant de magnifiques temples paĂŻens remplis d’idoles sur tout le territoire de Juda. Et ça a conduit Ă  des annĂ©es de peur, de haine, de dĂ©cadence et de corruption. Non seulement du cĂŽtĂ© du gouvernement romain, mais aussi parmi le peuple juif. La religion, et il suffit de voir le comportement des prĂȘtres dans les Évangiles, Ă©tait devenue une mascarade. Un grand nombre de prĂȘtres juifs Ă©taient eux-mĂȘmes corrompus ! Ils Ă©taient contrĂŽlĂ©s et manipulĂ©s par Rome. On pourrait dire que les tĂ©nĂšbres rĂ©gnaient depuis longtemps dans le monde et surtout pour le peuple de Dieu. Mais l’Éternel s’apprĂȘte Ă  faire resplendir Sa lumiĂšre dans le monde la lumiĂšre de Christ, la lumiĂšre de l’Évangile ! C’est pour un temps comme celui-ci » que Dieu a suscitĂ© des serviteurs particuliers. Et Élisabeth en faisait partie. Au verset 5, on a quelques informations sur sa vie et sur sa famille du temps d’HĂ©rode, roi de JudĂ©e, il y avait un sacrificateur, nommĂ© Zacharie, de la classe d’Abia ; sa femme Ă©tait d’entre les filles d’Aaron, et s’appelait Élisabeth. » Vous vous souvenez qu’Aaron Ă©tait le premier souverain sacrificateur du peuple d’IsraĂ«l. Et la femme de Zacharie s’appelait Élisabeth. » Élisabeth et Zacharie, son mari, reprĂ©sentaient les rares croyants fidĂšles du peuple de Dieu. Ils Ă©taient trĂšs diffĂ©rents du reste de la population de cette Ă©poque. Zacharie Ă©tait sacrificateur. Zacharie signifie Dieu se rappelle ». Et ce nom est vraiment incroyable Ă©tant donnĂ© le contexte de l’histoire ! Parce que, entre la fin de l’Ancien Testament et le dĂ©but du Nouveau, il y a eu 400 ans de silence. 400 ans durant lesquels Dieu n’a pas parlĂ© ! En tout cas, il n’y a aucun texte de cela. Alors, le peuple de Dieu aurait facilement pu se dire Dieu a oubliĂ©. Il nous a oubliĂ©s ! Il a oubliĂ© Ses promesses ! » Pourtant, ce n’était pas vrai. Dieu n’avait pas oubliĂ©. Dieu se souvient toujours. Seulement, Il n’a pas la mĂȘme notion du temps que nous. Et rien ici-bas, rien sur cette terre, ne peut contrer Ses plans Ă©ternels. Pensez-y un instant, avant mĂȘme la venue du Christ sur cette terre, avant mĂȘme le dĂ©but de cette histoire que nous sommes sur le point de lire, les parents de Zacharie avaient appelĂ© leur fils Dieu se rappelle ». Dieu se souvient ! Pourtant, ses parents vivaient justement Ă  cette pĂ©riode sombre, cette Ă©poque oĂč Dieu avait l’air de les avoir oubliĂ©s. Ils ne pouvaient pas savoir ce que Dieu se prĂ©parait Ă  faire, et pourtant, ils avaient appelĂ© leur fils Zacharie Dieu se souvient. Et de son cĂŽtĂ©, la femme de Zacharie s’appelait Élisabeth. Élisabeth c’est la version grecque d’un prĂ©nom hĂ©breu de l’époque de l’Ancien Testament Elisheba. » C’est le nom de la femme d’Aaron, le premier souverain sacrificateur, l’ancĂȘtre de Zacharie et de l’Élisabeth de notre histoire. Elle s’appelait donc Elisheba c’est le nom hĂ©breux, qui veut dire le serment de Dieu, la promesse de Dieu », ou encore suivant les traductions Mon Dieu a jurĂ© ». Les parents d’Élisabeth avaient bien conscience de la fidĂ©litĂ© de Dieu, leur fille en est la preuve, la parole de Dieu est puissante, elle est digne de confiance. Dieu n’oublie pas Ses promesses. Et les parents d’Élisabeth ont montrĂ© leur confiance en Lui en appelant leur fille Élisabeth. VoilĂ , nous avons donc Élisabeth, issue d’une longue lignĂ©e de prĂȘtres qui remonte jusqu’à Aaron, et qui est mariĂ©e Ă  un homme Ă©galement issu d’une grande famille de prĂȘtres. Et tous les deux, tant le mari que la femme, avaient grandi dans la connaissance de la Parole de Dieu et de Ses promesses. Et leurs prĂ©noms mĂȘmes leur rappelaient cela. Le verset 6 nous donne une description Ă©tonnante de leur parcours spirituel Tous deux Ă©taient justes devant Dieu, observant d’une maniĂšre irrĂ©prochable tous les commandements et toutes les ordonnances du Seigneur ». On lit donc qu’ils Ă©taient tous les deux justes devant Dieu. Or, il n’y a qu’une façon d’ĂȘtre juste devant Dieu, c’est par la foi. C’est pas du tout par leur propre justice. C’est la justice que Dieu leur avait accordĂ©e, parce que tous les deux croyaient fermement en Sa Parole et leur cƓur Ă©tait bien disposĂ© envers Lui. Leur mode de vie, leurs habitudes quotidiennes, Ă©taient la preuve mĂȘme de leur foi et de leur justice. Le verset dit qu’ils observaient tous les commandements », c’est-Ă -dire la loi morale de Dieu, et qu’ils respectaient toutes Ses ordonnances », c’est Ă  dire les lois cĂ©rĂ©monielles, et on en trouve beaucoup dans l’Ancien Testament ! La Parole de Dieu rĂ©gissait tous les aspects de leur vie, les petites choses comme les grandes
 bref, tout. Ils prenaient tout cela trĂšs au sĂ©rieux, mais c’est surtout Dieu qu’ils prenaient au sĂ©rieux. Zacharie et Élisabeth Ă©taient sur la mĂȘme longueur d’onde. Et vous savez, il n’y a pas de mariage plus heureux que quand les deux conjoints respectent et honorent l’Éternel Dieu, quand ils l’adorent et qu’ils marchent dans Ses voies avec confiance ! Ce n’est peut-ĂȘtre pas votre cas. Si vous ĂȘtes mariĂ©e, il se peut que votre mari ou si vous ĂȘtes un homme, votre femme ne partage pas ces valeurs. Ça ne veut pas dire que vous ĂȘtes contraint de les abandonner, vous pouvez trĂšs bien marcher seul dans les voies de Dieu. Mais c’est tellement bon quand le mari et la femme sont sur la mĂȘme longueur d’onde ! Zacharie et Élisabeth Ă©taient tous les deux justes devant Dieu. Et moi, ça me plaĂźt beaucoup, que Zacharie ne soit pas le seul Ă  ĂȘtre dĂ©crit de cette maniĂšre-lĂ , mais que ce soit aussi le cas d’Élisabeth. Elle avait sa propre relation avec Dieu. Elle ne se contentait pas de suivre son mari
 elle ne se reposait pas sur sa spiritualitĂ© Ă  lui. AprĂšs tout, c’est lui le prĂȘtre. C’est lui qui est le responsable spirituel ici. Moi, je vais juste vivre ma vie comme je le veux
 » Non, elle aussi Ă©tait juste et elle marchait fidĂšlement dans tous les commandements du Seigneur. Pour ce couple, le service pour Dieu, le ministĂšre, ce n’était pas simplement un travail, c’était un vĂ©ritable mode de vie. Ils Ă©taient intĂšgres et ils vivaient concrĂštement selon les valeurs qui leur Ă©taient chĂšres. Et du fait de leur obĂ©issance, Élisabeth et son mari se trouvaient donc dans une position qu’on pourrait qualifier de propice Ă  recevoir la bĂ©nĂ©diction divine. Pourtant, quand on arrive au verset 7, on remarque que la justice d’Élisabeth, son obĂ©issance et sa fidĂ©litĂ© ne lui ont pas Ă©pargnĂ© les dĂ©ceptions, les problĂšmes et les blessures. Sa vie n’était pas un petit cocon oĂč tout allait bien et oĂč les blessures n’existaient pas. On peut voir que ce couple avait des dĂ©sirs qui n’avaient pas Ă©tĂ© comblĂ©s. Il y avait un mais
 ». Ils Ă©taient justes. Ils Ă©taient issus d’une longue lignĂ©e de prĂȘtres. Ils marchaient fidĂšlement dans tous les commandements et dans toutes les ordonnances du Seigneur. Mais ils n’avaient pas d’enfants, parce qu’Élisabeth Ă©tait stĂ©rile ; et ils Ă©taient l’un et l’autre avancĂ©s en Ăąge. » C’est ce qu’on lit au verset 7. Cette phrase avait de quoi dĂ©sespĂ©rer, surtout pour une femme qui vivait Ă  cette Ă©poque-lĂ . Ça reprĂ©sentait de longues annĂ©es d’attente, d’espoir diffĂ©rĂ© et de dĂ©ception, mois aprĂšs mois, annĂ©e aprĂšs annĂ©e, dĂ©cennie aprĂšs dĂ©cennie ! Au verset 13, on n’y est pas encore arrivĂ©s, on verra qu’ils avaient priĂ©, Élisabeth et Zacharie. Ils avaient fait savoir au Seigneur ce qu’ils voulaient, ce qu’ils dĂ©siraient. Mais leur situation n’avait pas changĂ©. Et pour couronner le tout, ils Ă©taient tous les deux avancĂ©s en Ăąge ! Vous remarquerez que c’est mentionnĂ© trois fois dans ce chapitre. Ils Ă©taient vieux ! C’est bien ce que ça veut dire. Ils Ă©taient vieux et ils avaient dĂ©passĂ© l’ñge d’avoir des enfants. Élisabeth Ă©tait stĂ©rile ». Ce mot vient d’un mot hĂ©breu, steira », qui ressemble beaucoup au mot français terre ». Steira » peut dĂ©signer la terre
 une terre infertile, dĂ©sertique, aride. Et ça veut dire aussi incapable de produire des fruits, improductif, incapable de produire une descendance. Certaines de ces descriptions traduisent peut-ĂȘtre ce que vous ressentez en ce moment de votre vie improductive, stĂ©rile, morne, et sans vie. Ça peut s’appliquer lorsqu’on ne peut pas avoir d’enfants, mais Ă©galement dans de nombreux autres domaines. Peut-ĂȘtre que vous sentez-vous stĂ©rile dans vos relations avec les autres. Peut-ĂȘtre que vous avez une santĂ© qui vous limite, et vous ne pouvez pas servir le Seigneur comme vous l’aimeriez. Vous savez, rĂ©cemment j’ai rencontrĂ© plusieurs femmes atteintes de la maladie de Lyme, une maladie qui leur impose pas mal de contraintes et de limitations au quotidien. Peut-ĂȘtre que vous vous sentez infructueuses sur le plan financier et que votre budget est tellement serrĂ© que vous avez du mal Ă  joindre les deux bouts. Peut-ĂȘtre que vous combattez le dĂ©couragement ou la dĂ©pression et que vous vous sentez vides Ă  l’intĂ©rieur. Peut-ĂȘtre que votre passĂ© vous a laissĂ©e stĂ©rile », et vous ressentez de la culpabilitĂ© ou de la honte et vous pensez que vous ne pourrez pas vraiment servir Dieu. Ou vous n’avez peut-ĂȘtre pas l’impression d’ĂȘtre productive parce qu’en ce moment, vous ĂȘtes dĂ©bordĂ©e avec des enfants en bas Ăąge, ou encore que vous vous occupez de vos parents ĂągĂ©s. J’ai des amies avec lesquelles j’ai travaillĂ©, on a Ă©tĂ© impliquĂ©es ensemble dans ce mouvement de rĂ©veil spirituel pendant des annĂ©es. Et puis ensuite, ces femmes ont dĂ» s’occuper de leur maman veuve, atteinte de la maladie d’Alzheimer, pendant plusieurs annĂ©es, des annĂ©es difficiles ! Et c’était pour elles une pĂ©riode infructueuse, stĂ©rile. Elles avaient eu par le passĂ© un ministĂšre florissant, et lĂ , elles se retrouvaient comme coincĂ©es, en tout cas d’un point de vue humain, Ă  devoir s’occuper de leur maman. Peut-ĂȘtre que vous sentez-vous infructueuse comme dans les situations que je viens de dĂ©crire, mais votre cas est peut-ĂȘtre encore complĂštement diffĂ©rent. Et alors que je mĂ©ditais sur ce passage de l’Évangile de Luc, j’ai pensĂ© aussi Ă  l’ordre donnĂ© par Dieu Ă  Adam et Ève dans le premier chapitre de la GenĂšse, au verset 27, quand il est dit Dieu crĂ©a l’homme et la femme. Il les bĂ©nit et Il leur dit Soyez fĂ©conds, multipliez, remplissez la terre. » Mais lĂ , dans l’histoire d’Élisabeth, on a une femme, et peut-ĂȘtre que vous vous identifiez Ă  elle, une femme qui ne pouvait mĂȘme pas rĂ©pondre Ă  cet appel divin. Et si, comme le dit la Bible, les enfants sont une bĂ©nĂ©diction du Ciel, alors pourquoi Dieu est-ce que Dieu l’empĂȘchait d’en profiter ? Aujourd’hui, il y a beaucoup de femmes choisissent de ne pas avoir d’enfants, mais du temps d’Élisabeth, ne pas en avoir c’était considĂ©rĂ© comme un chĂątiment divin, une punition pour un pĂ©chĂ© cachĂ©. C’était considĂ©rĂ© comme un reproche. Et on verra cela dans la suite du chapitre. C’était une honte, une stigmatisation sociale. C’était humiliant ! Et sans compter qu’Élisabeth et Zacharie n’auraient jamais d’hĂ©ritier, leur nom de leur famille allait donc se perdre. Avant eux, il y a eu d’autres couples qui avaient connu cette expĂ©rience, notamment dans l’Ancien Testament. Il y avait Abraham et Sarah, Anne et Elkana, Jacob et Rachel
 Toutes, des personnes dĂ©siraient avoir des enfants et honorer l’Éternel avec leur descendance, et pourtant, Dieu les a fait attendre bien longtemps avant de leur rĂ©pondre. On a lu ensemble que Élisabeth et son mari Ă©taient justes. Mais dans l’Ancien Testament, Dieu avait pourtant promis que les justes allaient prospĂ©rer. Alors Ă  cette Ă©poque, les enfants Ă©taient un bon moyen de montrer qu’une femme Ă©tait prospĂšre et fĂ©conde. Mais dans notre histoire, voilĂ  qu’Élisabeth est stĂ©rile et qu’elle est ĂągĂ©e. Est-ce que ça veut dire que Dieu n’a pas tenu Sa promesse ? Est-ce qu’Élisabeth allait Lui faire confiance alors qu’elle ne semblait pas du tout prospĂ©rer et porter des fruits comme elle le dĂ©sirait ? Et en plus de ça, Dieu avait promis qu’un jour, une femme allait enfanter le Messie qui allait racheter le peuple de ses pĂ©chĂ©s. Alors les femmes juives, du moins les fidĂšles croyantes, espĂ©raient toutes ĂȘtre l’heureuse Ă©lue. Mais la pauvre Élisabeth ne pourrait jamais ĂȘtre choisie, elle le savait bien. Elle n’avait aucun espoir que la situation s’amĂ©liore un jour. Elle savait bien que son mari et elle n’auraient pas d’enfant. Alors elle aurait trĂšs bien pu se sentir mise de cĂŽtĂ© par Dieu et vouloir obtenir des explications de Sa part. Mais tout cela n’a aucunement Ă©branlĂ© sa foi et sa confiance en Lui. Elle a continuĂ© Ă  Lui obĂ©ir, parce qu’elle ne Le servait pas par intĂ©rĂȘt, mais elle le servait parce qu’Il est Dieu et qu’Il est digne de notre confiance et de notre adoration. Ce qu’Élisabeth ne savait pas Ă  l’époque, c’est que si Dieu lui avait refusĂ© un enfant jusque-lĂ , c’est qu’Il avait une bonne raison. En effet, Il voulait montrer que cette naissance avait quelque chose d’extraordinaire, mais il fallait attendre le bon moment. AprĂšs avoir perdu tout espoir d’avoir un jour un enfant, Élisabeth va dĂ©couvrir que Dieu allait lui en accorder un pour montrer que cette naissance Ă©tait vraiment extraordinaire. Écoutez-bien. Vous pouvez marcher avec Dieu et vivre dans l’obĂ©issance et pourtant, ça ne vous empĂȘchera pas de connaĂźtre la dĂ©ception et l’insatisfaction. La Bible dit qu’Élisabeth Ă©tait juste, mais qu’elle Ă©tait stĂ©rile. Elle marchait fidĂšlement dans tous les commandements et toutes les ordonnances du Seigneur, mais elle Ă©tait stĂ©rile. Vous pouvez trĂšs bien ĂȘtre juste
 et ne pas avoir d’enfant. Vous pouvez trĂšs bien ĂȘtre juste
 et rester cĂ©libataire. Vous pouvez trĂšs bien ĂȘtre juste devant Dieu
 et perdre votre emploi. Vous pouvez trĂšs bien ĂȘtre juste devant Dieu
 et avoir une maladie incurable. Vous pouvez trĂšs bien ĂȘtre juste devant Dieu, obĂ©ir Ă  ses ordonnances 
 et avoir un fils, une fille ou l’un ou l’autre de vos petits-enfants, qui est loin de Dieu. Vous pouvez trĂšs bien ĂȘtre juste devant Dieu
 et avoir un conjoint qui ne partage pas votre foi en Lui. Vous pouvez trĂšs bien ĂȘtre juste devant Dieu
 et devoir faire face Ă  des situations difficiles et douloureuses. Il y a quelques annĂ©es, j’ai eu l’occasion d’assister Ă  une commĂ©moration avec Robert, mon mari. L’homme Ă  qui on rendait hommage ce jour-lĂ , avait habitĂ© avec sa famille dans notre rĂ©gion pendant longtemps. Je le connaissais assez bien. On avait un contact professionnel et on avait fait des affaires ensemble. C’était quelqu’un qui Ă©tait bien connu pour son amour pour Dieu et pour son engagement Ă  Son service. Il s’appelait Charles Wesco et avec sa femme StĂ©phanie, ils Ă©taient mariĂ©s depuis 14 ans. Dieu les avait bĂ©nis en leur donnant 8 enfants. Et ils avaient une entreprise dans la rĂ©gion. Et je me souviens trĂšs bien quand Charles m’avait dit quelques annĂ©es auparavant Je crois que le Seigneur me pousse Ă  quitter notre entreprise et Ă  partir comme missionnaires en Afrique, au Cameroun ». Et, en famille ils ont passĂ© prĂšs de deux ans, je crois, tous les dix, Ă  parcourir le pays dans un petit camping-car. Ils voyageaient pour expliquer ce que Dieu leur avait mis Ă  cƓur et ils levaient des fonds pour pouvoir partir comme missionnaires lĂ -bas. Dieu a rĂ©pondu Ă  leurs priĂšres. Ils Ă©taient prĂȘts. Le jour du dĂ©part est arrivĂ© et leur Ă©glise et leurs familles leur ont dit au revoir. Ils Ă©taient tous les deux issus de grandes familles de pasteurs. Ils me rappelaient un petit peu Zacharie et Élisabeth, sauf que dans leur cas, ils avaient huit jeunes enfants. Ils ont donc bouclĂ© leurs valises et ils ont pris l’avion pour le Cameroun. Et Ă  peine douze jours depuis leur arrivĂ©e, Charles s’est fait tuer dans un Ă©change de tirs entre la police et les forces rebelles des insurgĂ©s. Pour autant que je sache, il n’était pas directement visĂ© par l’attaque. Ce jour-lĂ , il Ă©tait accompagnĂ© de sa femme et d’un de leurs enfants qui se trouvaient aussi dans la voiture. Et ce n’est que le lendemain que StĂ©phanie a pu quitter ce lieu et aller prĂ©venir les sept autres enfants de ce qui Ă©tait arrivĂ©. Ensuite elle et sa famille ont eu seulement trois heures pour faire leurs valises avant de quitter le pays et de rentrer aux États-Unis. Tout cela seulement douze jours aprĂšs leur arrivĂ©e au Cameroun oĂč ils pensaient passer le reste de leur vie. Alors, nous avons donc participĂ© Ă  cette cĂ©rĂ©monie de commĂ©moration. Leur Ă©glise n’était pas assez grande pour cet Ă©vĂšnement, parce qu’il y avait des centaines et des centaines de personnes qui voulaient venir lui rendre hommage. Donc ils ont dĂ» choisir une Ă©glise plus grande. Et lors de cette cĂ©rĂ©monie, toute la famille a honorĂ© le Christ, mĂȘme StĂ©phanie, cette jeune veuve trentenaire avec 8 enfants
 Et dans les messages qu’elle a postĂ©s sur les rĂ©seaux sociaux, c’est incroyable comme StĂ©phanie a pu rendre gloire Ă  Dieu malgrĂ© ces terribles circonstances. Et lors de la cĂ©rĂ©monie, elle n’a pas souhaitĂ© prendre la parole, c’est un des officiants qui a lu le texte qu’elle avait prĂ©parĂ©. Et je suis retournĂ© voir la vidĂ©o de la cĂ©rĂ©monie pour transcrire le texte, parce que j’avais envie de le partager avec vous aujourd’hui. StĂ©phanie a commencĂ© en citant les paroles d’un cantique que vous connaissez peut-ĂȘtre Mon Sauveur me conduit sur le chemin De quoi pourrais-je avoir besoin ? Pourrais-je douter de Sa sollicitude Lui qui toute ma vie a Ă©tĂ© mon Guide ? Ô paix Ă©ternelle, ĂŽ rĂ©confort divin ! Mes soupirs ne sont jamais vains ! Peu importe ce qui m’arrivera JĂ©sus sous Son aile me prendra. »* Et ensuite StĂ©phanie a Ă©crit Je suis tellement reconnaissante pour les quatorze ans de mariage que le Seigneur m’a donnĂ©s avec Charles. Je garderai toujours au fond de mon cƓur les prĂ©cieux souvenirs de quand on servait le Seigneur ensemble, quand on Ă©levait nos enfants, quand on priait et qu’on s’aimait tendrement. Charles aimait ses enfants, il m’aimait aussi, mais le Seigneur avait la premiĂšre place dans son cƓur ! Ces douze jours que le Seigneur nous a donnĂ©s au Cameroun resteront dans le cƓur de toute la famille. L’amour qu’Il nous a donnĂ© pour les Camerounais reste inchangĂ©. On a Ă©tĂ© obligĂ©s de partir, mais ça nous a brisĂ© le cƓur. Par la grĂące divine, parce que Dieu vit en nous, mais surtout par Sa force, notre famille continuera de servir le Dieu que notre mari et pĂšre aimait de tout son cƓur. Et nous dĂ©sirons que JĂ©sus-Christ soit Ă©levĂ© et glorifiĂ© aujourd’hui et pour toujours. Que JĂ©sus, l’Agneau qui a Ă©tĂ© immolĂ©, reçoive la rĂ©compense de Ses souffrances. » Cette perspective sur ces Ă©vĂšnements est formidable. Elle est incroyable. Alors mĂȘme si Zacharie et Élisabeth n’avaient pas obtenu le dĂ©sir de leur cƓur, mĂȘme s’ils n’avaient pas reçu de rĂ©ponse Ă  leurs priĂšres, ils avaient confiance en Dieu. Ils avaient confiance en Son plan Ă©ternel, Ă©tabli depuis la fondation du monde, un plan qui est bon. MĂȘme quand les souffrances de la vie et la honte de la stĂ©rilitĂ© les frappaient, ils voulaient rester justes, irrĂ©prochables et fidĂšles. Et ils continuaient Ă  servir Dieu mĂȘme si leurs dĂ©sirs n’étaient pas exaucĂ©s. On ne peut jamais savoir ce que Dieu souhaite faire avec nous aujourd’hui, oĂč Il veut nous conduire, ni comment Il aimerait nous guider. On ne peut pas anticiper comment Il va rĂ©pondre Ă  nos besoins ou si Il va rĂ©soudre nos problĂšmes
 du moins de notre vivant. La question Ă  se poser c’est Est-ce qu’on va ĂȘtre des personnes obĂ©issantes ? Est-ce qu’on va marcher dans les voies de Dieu, mĂȘme si la vie ne se dĂ©roule pas comme prĂ©vu ? MĂȘme quand nos plans sont contrariĂ©s ? Est-ce qu’on va continuer Ă  Le servir ? MĂȘme si on ne peut pas voir le moindre signe d’une rĂ©ponse Ă  nos espoirs les plus chers ? J’aimerais qu’on prie ensemble maintenant Dieu Éternel, j’aimerais dire, j’aimerais reconnaĂźtre que Tu es digne de notre confiance. Nous voulons marcher dans Tes voies et dans Ta justice. On veut obĂ©ir Ă  Tes commandements, mĂȘme quand on traverse des lieux arides, quand il semble qu’on n’a aucune rĂ©ponse Ă  nos espoirs, Ă  nos dĂ©sirs. Nous Te faisons confiance, parce que nous savons que Tu es Dieu et nous voulons continuer Ă  T’adorer malgrĂ© les circonstances, quelles que soient nos situations. Nous Te prions au nom de JĂ©sus, amen. Leslie Vous venez d’écouter le premier podcast de la sĂ©rie Un portrait d’Élisabeth ». Si vous dĂ©sirez lire toute l’histoire de cette femme de la Bible, vous la trouverez dans le premier chapitre de l’Évangile de Luc. C’est trĂšs facile de perdre espoir quand on ne trouve pas de rĂ©ponse Ă  nos questions ou quand nos rĂȘves sont balayĂ©s comme d’un revers de la main. La prochaine fois, nous verrons que, dans ces situations, c’est important d’avoir une vue d’ensemble. On se retrouve donc bientĂŽt pour un nouvel Ă©pisode. Et merci de nous avoir Ă©coutĂ©s. Tous les extraits de la Bible sont tirĂ©s de la version Segond 21 sauf spĂ©cifiĂ© dans le texte. RĂ©veille Nos CƓurs est le ministĂšre francophone de Revive Our Hearts, initiative de Life Action Ministries avec Nancy DeMoss Wolgemuth. Avec les voix de Christine Reymond et Jeannette Kossmann. Quelle que soit la saison de votre vie, RĂ©veille Nos Coeurs vous encourage Ă  trouver la libertĂ©, la plĂ©nitude, et Ă  porter du fruit en Christ ! Pour des raisons de confort de langage et de lecture, ces transcriptions peuvent prĂ©senter des diffĂ©rences mineures entre ce qui est Ă©crit et ce qui est parlĂ©. CatĂ©gories Souffrances & Ă©preuves. Femmes de la Bible ROH Podcast series A Portrait of Elizabeth *Traduction libre de All the Way My Savior Leads Me » par Fanny Crosby
X72O. 387 94 227 54 36 397 20 187 44

je me brise lorsqu on me nomme